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Spectacle, par la troupe de bruges.
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LITTERATURE NATIONALE. FOÈSlE.y
Z. K. H. DEN PR1NS VAN ORANJE.
i (M pieds on aigle qui n'était blcsie qu'à l'aile. Cet
oiseau que le garde nourrit chez luia s<:pt pieds
d'envergure.
Le 14 du mois passe un fâcheux événement est
arrivé un cultivateur nommé Fontaine, la petite
ferme da Garrimontprès de Neuf-Château grand-
duché de Luxembourg Le berger ayant négligé de
fermer la porte de la bergaric, tous les moutons au
sombre de io5 aoot sortiset trois loups en out fait
une horrible boucherie et dispersé le troupeau au
point qu'il n'en est réchappé dit-on que 7Déjà il
y a cinq ans ce malheureux cultivateur a vu toute sa
récolte détruite par la grêle.
Cette catastrophe ne peut manquer de procurer une
prompte exécution l'arrêté de S. Esc. le grand-ve-
sear, qui ordonne des battues pour la destruction des
loups sangliers etc,
Du 6. Suivant des détails qu'un journal de Gand
donne comme exacts sur la dame de Jersey condam
née eu dernier lieu pour escroquerie, elle s'appelle
Cécile Moulin. Fille d'un fermier au village deVy prés
de Villers-Cotteretdépartement de l'Aisne elle avait
dpousé un nommé Miniac, deutle père était valet du
père du duc d'Orléans actuel: ce Miniac est-mort
l'bôpital. On assuro qu'elle est très-conteote la pri
son de St.-Bernard et qu'elle s'y livre an travail.
Un enfantâgé de 4 5 ans 61s de Pierre Tcr-
ryn journalier, Gand, a péri, le 1 do ce mois btùlé
par ses vètemens qui avaient pris feu au peele. Cet en
fant avait été laissé seul dans la maisoo.
Le Slilderia journal do Copenhague, évalue
la population' du Danemark y compris les îleé et pos
sessions lointaines dépendantes de ce royaume
a,o37,8a3 ames.
M. Robertson Gis du célèbre physicien de
Liège continue d'étonner les atnéticaios par la har
diesse de ses ascensions aérostatique*. Le 8 octobre
il s'est élevé une cinquième (ois au milieu des drapeaux
français et américains, et l'intérêt de ce spectacle a
été porté au comble par l'intrépidité avec laquelle une
jeune et jolie personne fille d'un riche négocianta
osé s'embarquer au moment des équiooxes et par le
temps le plus affreux. M. Robertson s'est séparé de sa
jeune compagne six lieues de la capitaleet seul il
a'eat élève de nouveau pour faire dei observations sur
Ja marche rapide du ballon comparativement celle
du veut. Le ballon a parcouru dix lieues en moins de
deux heures. Ce jeune aérouante est parti pour la Nou
velle-Orléans.
Voici l'extrait d'une lettre de Groningueen
date du ug novembre
La nature de la maladie a beaucoup changé les
daogers ont disparu. Enfin ceux qui n'ont point encore
été atteint* par l'épidemie aoot comptés pour sauvés.
Tout a changé en bien les nombreux malades qui se
trouvent encore icisont des convalescens qui ont eu
des rechutes. Las terribles fièvres quiau bout de
heures, mirent tant de malheureux au tombeau, n'exi*.
tent plus Groningue et le nombre des morts est
considérablement diminué, a
On lit dans une lettre de Berlio, une bien qu'on
n'ait pas encore de communications officielles sur le
mariage prochain des deux princes, fils puînés du roi
on croit pourtant savoir que l'époque en est fixée vers
le temps ou l'empereur Nicolas se rendra Varsovie
pour 6on couronnementalors ce moDarque fera une
visite la cour de Berlin, ainsi qu'à celle* de Bruxelles
et de Weimsr.
Ypres 9 novembre
Mercredi et Jeudi j3 et i4 courront.
Le spectacle du Mercredi sera composé de Enfant
[Trouvé Comédie nouvelle en 3 actes, du theâlie
Français; TOJàon, par M. Picard, auteur de la
Dente ville des A/aisonnettes eto. Cet ouvrage est
mis au nombre des plus piquantes nouveautés
S iivi du Charlatanismenouvel opéra vaudeville,
par M. Seribe. Cette production jouit du plus grand
succès ae théâtre de Gymnace.
£f=» Très-incessamment, la Dame Blanche, nouvel
opéra en 3 actes cbef-doeuvre de M. Boieldieu.
Le sujetéminemment patriotique et louable de
celle pièce de vers nous a portés lui accorder une
place dans notre Journalbien qu'il soit rédige en
.français.
ZEGEZANG
tu Btv renJJJlFÊElT Mit GEBOOBTt rja
tje» Wlntermcsand182G.
In nalii pair uni virais frotesrjue crtantur
farubus, et nullas aquuae genuere coliunbas
Yeiheng n, Nederlaud! Ou aller datikbre Larten
fhaua apallen, saam, (en bocxeai ail!
VDichteis, arma ik aan wilt ifeedlen kuntlrijd larten!
Geen vreexe uw gloéude roemxucht sltiilM
Trioraf! op 'I beuglijksle uur, ooit 't Yaderland beschoren,,
WVril n doorluchlig Pans, uit Nassao's bloed, geboren/
Geheiligd Bardt-ukoor, Iriomf! op 't aalige uur,
Oet IIeldee lof uw veôr besluur
Ecn VoatT uit Nasais'a bloed, eoo weèrgaloos in wairde]
Un BsAaDEaaoact vrochibaren schoot!
Geaegend NcJeiland, geeu volksnug, op cauch da aarde
Jj als nw rang oneindigt groot
Ja, Nederlaud is de eif dier groolsche JTeldeuloten,
J-, kroon en scbepier m bun ileel
Die 't apaanache blocdjuk heefl van Balo1» nek geatooten,
Levo, eenwig op *t gescbichtlooneel
i)e» GaooTtr.-VVii.LEus geest, scbnUengel «user Lsnrten,
Ue geesi vsn Maosiîs woell in 's Psi a ses ingewandeu
ïuig Watealoo, tuigl gij 't Daar slroumde OaaaJt's bloed:
Fuig VYillems uuverschrokkeu njucd
Lof, Namad, duistraaal lof VVie kan uw roem voliiogcn?
VYal pea beachrijft uwe ooilogsdaâu
Triomf, clk Bard muet uuar dit edelst doclwit diogen:
Ja, 'kbeu eeu Barde, ea durf 'l btsuan
]k aokik bru een Btlg, en streed bij Neêrlands dapptfU
Js, >k dorst OaAua'a Va.u op Piudas «pus dnen wappren
'Kontiukte Apol xi|0 lier, daar'kvaaudel bad sepUut
Eu, daukbaar, audg voor Vortl eu Lauu!
K xoDg, WareaLoo, Pana! In schaJuw vau uw glorie
'Kvlocht om miju kruin eeu l.uweruk.
Daar Ktio m.j ontboud de grijse volkabislorie
Volgde ik der Dicbtreu Kuuxlrijk vak.
Mijn lier slaat vaardig; spreekl op 'tboog gebod beveiligd,
'K xweer'l bij mrj«i leven, gansch den Nassau» toegeh.-iligd j
'Keweer 't bij uw krijgsirofeéu! weldra mijn roembasuin
Scîielt, liuldouile op Paruassua krnin
Barmbarlig Kunso reeda stortte uw volkminnend Vaoeb
Op m.j aijn nulde weldaàn ait .-
Hij schonk m.j vaijheiu, meer dan 'l levest eaa,tegader;
Ja. rad ie, in niijeijns Adels spruil.'
Maarlaas! de Last r gierl, en de Afgunst suerpt, aan 't joeijen:
Men klinkt, nuscbuldigwt-ér uw ranger in de boeijen-...
T Vooroordeel 'tvnnuis veltdjarsuebteude, om geae,
Gt-slrengo Theini» roept lespa!
o Willem! jauge HeloI Bescbermgnd van nw hraven
Subraag thana, o.vs Diclilers loflxe vaart;
Scbraag 't lxeerli|l.s( pogen dat ooit Zanger kau handhaven
Daar bij der M ^eu Lrans is waard
Ach si a op hein uw o^igdsar dondert 'a Lots ooweder
Eeu ijsslijk slormorkaanuw Runslig oogtoneder!
Acb lenig s jne smartlaaf Ysijheids gloéude clorai
Jabreek zijn kluisters, inagtig VoasT M!
Leef met uwe Aisi met uw dierbre Gemlh»«b,
Een lool uit Gsootb» - Peteus bloed!
Der Ciareu Zusler worde eens Neéilaruls K'.aiaciaaa,
W ier boexem NassAos aUm behoed'
Leef «net 't glsusvutdig Kroost door Asrrra ons gesebouken
Tiioinf! in aller hall, aie 'a Vanaa»_ mord outvoukrn
Zoo baai l de vroome Leeow, Orioje's Wapes'Lbeow
Zijn dapper Kroost, van ecuw tôt eeuw
Léopold, Er/riddcr Lupus van Wolff),
lBiprineii* R. GAMBART-MORTIER Libraire tue île Bousinfrtte Nm4 près la Petite 1W
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