Des exprès on! également été expédias ans mem bres du ia famille royale, M. Fuelsecrétaire-d'état au lord chambe.isn et d'autres personnes. Peu de temps après que le duc de Susses qui fut profondément allecte du triste spectacle dont il avait été témoin et les médecins eurent quitté Ilu'.land- liouse M. Masb, attaché au bureau du lord-cbatn- heilan y arriva et fut mis en possession du corps, qui est environne de tout le lugubre appareil des pompes mortuaires» Morn-Hér. Leduc d'York était dans ss soixante quatrième an née. Il est né le >6 août n6i. Ses titres étaient prince Frédéric duc d'York et d'Aibany comte d'Ulster en Irlande, evêque d'Osnabruk (eld maréchal com mandant en chef les forces de terre colonel du i.er régiment des gardes p'ed, colonel en chef du Go" ré giment d'infanterie, grand-maître remplaçant le roi aux cérémonies de l'ordre du bain grand intendant de New-Windsor gardien de New Forestchevalier de la larreltère et de divers ordres étrangers etc. Le a y septembre 1791, G. A. R a épousé, Berlin la princesse Frédérique Charlotte Ulrique Catherine, fitie aînée du roi de Prusse. 11 n'y a eu aucun entant issu de ce mariage. En iey'jet 1799, le duc d York 0 commandé les troupes anglaises sur le confinant, S. A- R. a été nommée en 1795 commandant en chef des forces de letre de la Grande Bretagne En 1809. il se démit de ce poste, mais il le reprit en 1811 et l'a occupé jusqu'à sa mort. Par la mort du duc d York la succession au trône est dévolue S. A. R, le duc de Clarence etdans la cas où il mourrait sans entans la nièce de S. M. Alexandrina-Vicioria fille du feu duc de Kent. Si cette princesse meurt aussi sans eniansla couronne arrive S. AR. le duc de Cumhnrlaod, et après lui, îi son fils aîné le prince George-Fréderic. Ce prince ie même âge 8 ans J que U princesse Alexandrin». Viennent ensui e le duc Je Susscx et après lui le duc deCi mbriJge, et ses entans, supposant que tes princes précédemment nommés meurent sans laisser de posté rité. Le Bristish Travellor dit positivement que le duc de Wi'llingto 1 est nommé commandant en chef en remplacement du duc d'York. Le même journal assure que in A. R. le duc de Cambridge a refusé d'accepter ce poste, La Qu.ylicltenno donne comnig positif les ren- teignemens ci-dessous sur la iorce et les positions des insurgés portugais Nous sommes informés qu'avant do quitter la pro vince de Fra-los-Montés pour se porter sur celle do Beira, le marquis de Chaves, g«"';ral en chel des troupes royalistes et président de-la junle de gouver nement, avait réglé l'administration de la première de ces provinces et pourvu sa défense, il avait armé toute la population des villas et des campagnes et chargé quelques corps de milico du soin de garder les passages des montagnes de Gerez et de Mareo qui séparent l'Entre-Duero et Minho deTra los-Montès. A son départ de Lamégo pour Viseu l'armée royaliste comptait 10,00a hommes de troupes de ligne et 18 ao,ooo part.sans organisés en guérillas. Cette armée était pourvue d'un matériel considérable et avait sa solde assurée pour plusienrs mois. Le matquis de Chaves commandait l'aile droite le centre qui a marché directement de Lsraégo Viseu était sous les ordres du marquis de Montalègre l'aile gauche était conduite pat le générai Joardon. Telle était l'armée du nord au moment où elle a quitté les bords du Duero pour rapprocher de ia capitale, Au midi, le a* régiment de ligno chargé de comprimer l'esprit d insurrection dan? les Algarves s'éîant déclaré eenlre la régence la province eniièrs avait proclamé don Miguel. Dans Test, le brigadier M»gess:, ayant sous ses ordres des milices le i4° régiment de ligue et 'o a* de chasseurs en total 3,000 fantassins et 5oo he- vaux s'était avancé jusqu'au delà d'Exirruios dans les derniers jours de novembre mais oblige de c-der de» forces supérieures ce 1 îief royaliste était rentré en Espagne en dérobant sa marche aux constitution nels. Fendant celle première esrursio.i plusieurs olfi tiers et soldati de Tarmee constitutionnelleau* 01 dres de Villaflor avaient passé du côté de Magessù Après s'être arrêté quelques jours aux environs d'Alcantara d'où il menaçait le Ceira inférieur lu brigadier Magessi avait pris tout-à-coup la direction du nord et longeant la frontière de Portugal dans une longueur de a5 Jitues enviroB, i! l'avait franchie aux environs d'Aiméida dont la garnison s'est dé clarée 00 peu plus tard pour les royalistes, et il était venu joindre Labugaldans le haut Buira, l'aile gau che de l'armee royaliste aux ordres du général Jaoc- dan. C'est ce mouvement rapide de Magessi qui avait forcé Villaflor passer le Tage, et venir joindre Castel-Branco le commandant du Beira inférieur. A la date de la lettre où nous puisons ces détails, on ignorait si l aite droite aux ordres du marquis de Chaves marchait vers Coïmbre parallèlement avec te corps du matquis de Montalègre, ou s'il avait suivi ie Duero pour tourner les positions du général Siubbs sur leTamega et pour marcher eosuite sur Porto.» FRANCE. Paris7 janvier. La lettre que M- de Châteaubriand a fait insé-er dans le Journal des débats sur le projet de lo- c ûiirft la ptesse vient d'être réimprimée; elle sera tirée 3oo,ooo exemplaires l'imprimeur n'y a joint que cette seule note Si nous étions en ce moment idgis par la loi projetée dont chaque article renferme dans sou sein un germe de mort pour l'imprimerie et pour In lih airie les frais de timbre de cette publication s'é- leveraient 3oo,ooofr. MChr.rles de llaller fils aine de M. de Hailer, vient d'embrasser la religion catholique au collège de Jmlly c'est lu dernier de» enians de Mde Hailer qui ait imité son exemple. M. Benjamin Constant a remis aujourd'hui M. le président de la chambre, trois pétitions l'une des ouvriers de l'imprimerie de M. Gu< tûer l'autre des ouvriers de M Casimir la troisième de ceux de ia typographie do M. Firmin Diiot. Le nombre des signatures pour ces trois éiablissemens seuls se monte 3i8. RI. C Perrier a remis M. le président ,'une pé tition des ouvriers de l'imprimerie de M Cravelet. Les ouviiers de l'imprimerie de M. Joseph Tastu au nombre de 6? ont adressé aussi la chambre une péi'tion contre ce projet de loi, Du 8. Le célèbre voyageur Beltrami a décou vert dans un couvent de l'intérieur du Mexique un manuscrit de la plus grande rareté c'est Evangile tel qu'il fut dicté par les premiers moines espagnols connus sous le nom de Moines conquérons, qui abor dèrent dans ces parages, et qni fut traduit par Monté- zuma en langue mexicaine, lorsqu'il embrassa le culte catholique. Ce manuscrit grand in-folio est d'une écri ture elegante sur un papier indigène qui ressemble au parchemin, mais plus large que le Papyrus. On écrit de Madrid sous la uate du i.er jan vier que fe marquis de Chaves s'est rendu traître «la Viseu. Moniteur Viseu n'est point une place forte c'est une jo'ia ville de la province de Beira située 18 lieues N. E.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 3