jerre et de la Rossie. La démarche faite darts ce sens par le chaigé d'affaire de S. M..le coi de Prusse -avait cause une grande sensation parmi les membres du divan qui a nu ainsi la preuvo du parfait accord qui régnait partn) les grandes puissances pour faire cesser l'effusion du sang dans le Peloponèse. Jde Paris.) Le situation des travaux relatifs l'exécution de la loi d'indemnité, l'époque dupremier février, 1827, présente- en sommes liquidées par la commission oa total de 5z8,246 5;6 fr. 78 centet en liquidations dont l'inscription est autoriséeuo total en capi tal do 458,lia, 5o5 fr. et en rentes 13,744.084. On peût regarder comme officiel l'article suivant, publié par l'Etoile, sous la date de Madrid, 25 janvier* D'après les détails que l'on continue recueillir sur l altaire de Coructte il paraîtrait que les insurgés qui y ont pris part étaient au nombre do près de 11,000, tandis que les troupes de U régence com mandées par le comte de Villailor ne dépassaient guère 7 o<io que durant toute la journée la victoire fut assez chaudement disputée et parut peu près indé cise, tna-s que le bruit du débarquement des trou pes anglaises s'etant répandu pendant la nuit dans le camp du marquis de Chaves, avec le faux bruit qu'elles s'étaient mises aussitôt en marche pour la province de Beira il en est résulté une terreur pani que suivie d'une confusion et d'un desordre géné ral. Les officiers et les cbefs eux-mêmes, l'excep tion du viiomte de Canellas ont été les premiers prendre la fuite. Les soldats n'ont pas tardé les suivre, et même un très grand nombre a passé dans les rangs opposes. u âir'ves s.Aimeida, les fugitifs commençaient peine a s'y ri organiser, lorsque le corps presque entier du brigadier Magessi, informé de l'amnistie publie par la regentr. est pa.ti en masse pour aller se mettre a la disposition de M de Viilatlor, L'épouvante s est empa- fte de nouveau du reste des insurges ils ont fui jus que sur le lerritoiie espagnol et la dan» une assem blée tumultueuse, le matquis de Chaves a été déposé du 1 ommandi ment en 1 hef qu'on a iranstéré au vi comte dé Montealègre. Néanmoins ce dernier n'a pu rt untr qu'un peu plus de mille hommes, avec lesquels a îi est rentré, dt on, eo Portugal par le Trss os-Montés. Les autres se sont disperses par petits détacheinens dont plusieurs sans doute auront anssi repasse la frontière comme semblent l'avoir lait le marquis de Chaves et plusieurs chefs. On a cru pendant plusieurs jours Madrid, que la ma-quise de Chaves venait d'arriver dans celte ca pitale, lt fait eai inexact, elle continue d'accompagner ■on m»ri. Un ancien guerrillero espagnol qui avait fait du cô-e de la Galice, une irruption sur le territoire portu gais, est rentré en Espagne le 8. l'approche des trou pes que les autorités portugaises avaient dirigées con tre lut. Son expédition s'est bornée au pillage de la petite ville de Melgaço. 1^ Il n'est pas vrai, comme on l'avait dit, que. l'ex-gouverneur d'Ayamont# ait été nommé au gou vernement «te Mutril. L'infant D. Sebastien est presque entièreroont rétabli. La p.tnresse-de Beira ^est indisposée. Nouvelles de la Péninsule venues des bords de r Adour, Une drpé-he du général Aymeric goavecnenr de x-auii snnonie qu'un regitne.it q,n PM j, Ceuta et qui est destiné pour être envoyé aux i es Csnarie» a manifeste Imention de faire proclamer la constitution s Ceuta,et quilest nécessaire que le gouvernement prenne quelque mesure do précaution coutré ce ANGLETERRE, Londres 7 lévrier. Un cem:s'cal assemblée New-York pour aviser aux moyens de laire passer aux Grecs des secours en vivres el en habiilemeus. Indépendamment des sous criptions particulières il est question de démarchés aitjuès du congrès pour obteuir une somme de 5o,ooo livres. Nous avons reçu do nouvelles de Batavia en date dh li octobre Vers le premier octobre unioro- bat a eu lieu entre les forces hollandaises commandées par le général van Geen el les insurgés commandés par L> epo Negoro el nous avons le regret d'annon cer que les forces hollandaises ont été anéanties. La général lui-même est revenu Sam rang, sans être accompagné d une seule personne. Le combat s'est donne entre Solo el Samarang. Palambang est encore au pouvoir des insurgés. Les Hollandais ayant retiré une grande partie de leurs troupes de Celèbesla reine do Boni s'est mise en campagne el l'on craignait que les Hollandais ne fussent chasses de celte lie. (Courier.) Il est a remarquer que le Courier est en contra diction manifesté avec ce quu disait le Globe au resie, toutes les nouvelles de c ite nature venues de la ntétna souri e y ont été pour la plupart demeuties par les ga zelles de Batavia. D'après une autre version un prince du pays au service des Hollandais aurait ete fait prisonnier et mis mort m.igré l'olfre d'une forte lançon j tous les cegocians seraient sous les armes. Il parait,que ces avis auraient été apportés par un Là imenlanive lie Smg.pore. ALLEMAGNE. Francfort1 février. Vu les progrè»les améliorations et les essais qui ont eu lieu dans ces defuiets lemps pour ce qui con cerne l'artillerie en Angleterre eri France et dans les Pays- Bas le gouvernement bavarois doit envoyer, le pitnienips prochain dans ces trois états un offi cier d'état ma|or et deux officiels d'artillerie pour prendre connaissance du peiiectionnetzietil de celte aime. PRUSSE. Berlin ier février Le prince Charles, fils du roi, a fait le voyage de Weimar dans uu traîneau construit de manière qu'en cas Je uégelou peui y adapter des roues. Ce voyage de S. A R. et de ses trères a pour objet d'assister VV eim-r la celebr&i'ou de l'anniversaire de la nats- san e de la princesse fiaacee du prince Charles. L'empereur de Russie a envoyé Berlin un défis- chement d environ vingt hommes officiers sous offi ciers et soldats des diliérens régimens de la garde im périale pied et cheval pour appreudre l'exetcice prussien, ils ont ete présentes avant hier S. M. UN PETIT MOT sur ta SE»TtneLLE des des pais bas. Correspon dance n' 5 4 février ou réponse de M. Tfdu Paop"., M. II'., de ta Sem. 1m Sentinelle des Pays-Baiau front de bandiére des estimables el spirituels rédacteurs de laquelle fi gure Monsieur Ch. Froment (1), dontsur toutla mérité le talent littéraire est incontestable La Sen tinelle toute martiale et quicomme les Anglais (1) Ses articles polémiques, sa rédaction ses poésies, etc. i L eut a juste titre place au pieaticr rang.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 2