(4J par an correspondant trompé k son le or te Catho lique a cru devoir meure celle plaisante métamor phose en tlolc le tout encore sans songer mal mrnsongn calomnie, eicMais il y a malil y a mensonge il y a çalomrùe, alorsque 1 on insulte, de p«roies et d'actions, de caricatures ou pasquiordes les digoes ministres des autels quirigides observa teurs des impassibles devoirs que l'Eglise, que Dieu même leur délégua, (ont entendre, du haut de la chaire de vérité, la parole sacrée leurs ouailles.non psscomme on l'ose avancer, «en éoergumènes, en fa natiques en prêtres h) pocritcs etc. r> mais en pères de famille, en guides tutélaiées qui gémissent jur les brebis égarées, déplorent leur triste sort, el font des Vœu* au ciel, pour qu'eclairëes par l'esprit saint, elles s'amendent et rentrent au bercail Telle est toujours la parole pleine de bonté, d'onction mais de majesté de nos prédicateur», etsur tout, du res pectable piêirequi, le premier, signala les graves abus d'un Ermite tudesque VA En dernière analyse tout s'use, et les injurieuses épilhètes des clabaudeurs, et de leurs bassets ou limiers trappenlen vain les échos européens. Le contre fanatisme puisque l'on jappe le fanatisme tous cris)le contre fanatisme est vieux, il est l'agonie .- tout l'art d'Esculape même, tout le talent de M. M***, par exemple de M M*** qui manie l'épée comme la plume etc. et que l'on dit être le Casttl- Blase du Théâtre, peu près comme les héros de ceituin roman et de certaine pièce ad ministraient les pilules ou opéraient la phlebotomisa- lion; tout cet art-là est nulest en pure perte La raison, la vérité, la justit e celles-là seules triomphent e' sont immortelles !l! Quel dommage et quels re grets Bequiescant in paceAmen Conclusion. Nous proclamonsici, que nulle aigreur nulie partialité n'a guidé notre plume que Bous estimons et honorons ces .M M A'Alpha elUmegat dont deux des principaux membres sur»toul sont l'appui l'honneur de notre littérature yprotse que nous estimons et honorons, avant tout, M Ch. Pro ment, la belliqueuse Sentinelle; bref que nous vou drions vivre en bo.ine harmonie, en paix avec toutes les sociétés des S parties du globe ierraqué el avec tous ces M M. nos coulières mais que, dussions- nous voir se ligner tous It-s bans contre nous périr enfin sans gloire et sans récompense cinéraire nous combattrons toujours pour la |usiice la vérité et l'honneur 11! Puisque tout le monde s'est tû ici Y près et puisque 1 on n'a pas même osé eifleurer la question telle est la réponse du Pro/xigateur mar chant au rri de Belges Libertéet répondant l'appel martial, fraternel et généreux de qui vive} La Sen tinelle des Pays-Bas. Enfin nous le savons: le rêve du bon abbé de St.- Pierre I utopie n'est qu'uu système idéal et tous les êtres, de l'atome imperceptible au monstrueux kra- ken s'entredetruisent.... Voilà pour nous. Nous le proclamons elle soutenous hautement; Y près n'est point un repaire de sois de fanatiques d'eteignoirs etc.; mais Ypres est juste équitable; des freluquets imberbes ou de ridicules demi-pedans seuls peu vent le nier 11! Au restenous ne sommes point les «gesseuis; esclaves, il est vraides vieux radotages ou préjugés religieux et classiques nous ne détrônons ni Racine ni Alolière pour elever, jusqu'à l'apodiéose, tel ou tel ideolog.-e et nebuleux romancier dramaturge, pas mêaie M Al"*, ni nous ne renversons point la statue de Jehovab, pour placer Belial ou fisal dans son temple; et si, dans tout ceci, VAlpha el Oméga se croit lesee ou plaindre qu'elle ne s'en prenne qu'à elle même nous nous avons dit pt propagé la vérité tout entière. Qui vive Le Propagateur !1| W. r— AFFICHES, ANNONCES ET AVIS DIVERS. Zuturdag 17e" februarij 18x7 om a ure es raiddag, in de «fspannitig het Zwaard-, te Yperen, zal voor deo Notaris V ANDERMEERSCH op het gewio van verhoogpenningen den overslng gebeuren van het navolgende patritnonicgoed Eene velte weide grool t blinder, ro roeden, a4 ellen gebruikl doot de erfgenamen Pteter Breytie, fl 54-ou 's jaars tôt eersien octoher i8xy en eenen cqnsgrond alvvaar de herb-r» fEestidaanderen is itsande, groot o-i3-5y roeden, gebiuikt door Mr. Vergeelzoone, fl. 3 y 43, 's [asrs; vveiken chijns eindigt den eersien oc ober i83y. Al te eener blok gelegen leSt. - Jacobs nevens Yperen^ langs den steenweg naar Zonoebclte, voor de berberg Eauwkens Slaande op fl 3,ioo-oo c. i Dingsdag, i3eI» februarij, 18x7, le beginnet» 'smorgens om ro uren in de gew zen woonst van den Heer koionel Vermersch in de Vulderstraat te Yperen, zd aien openbaa<h|k verkoopen een zeer schoon Mobilier bestaanJe in lafels Muelen bedsteden al in acajou; spivgels kristaal por- selein koper-lin tizer-werk en aedere voorwerpen te veel om te melden. r GESTICHT TE MEESSEN- Torwijcing bi] afdag. Op dingsdag, xoB» februarij, 1827, des voor- taiddags ten negen u'e xal in de ziltingi-ial van het tiesticht, te Meesseo, voortgegaan \vor- den aan de toewi|zing bij afslag der voor déni dienst van het gemelde Gesiicht noo i-ge voor-' Werpengedureude het jaar 18x7, te weten; i*, gist x". tarvve 3* vlp-stb 4°, boter, 5°,zou., 6" bieraz'jn y", hier, 8° .w «f win y", zwarte zeep to°, steenkool ti" houtskool ix*, gezuijverde raapzaadolieen t3*,kaarsen. Nadere information eijn te hekotnen ten k«n- tore van den Notaris THEEFEN,te Nieuwke ke, en ten secretaiiate vau het bcatuur van t gemelde Gesiicht. 1 Groole en schoone verloling van dp heerlt)k» heid PFaFFENBERG-, biigenaam I HEM EL door deszetts overschoone iiggmg benevens aode- re prijzen in goederen en in gelde bediagende in HC1'. 1. i5B,6ô5,x8. Dcze loten zijn te v»r- krijgen voor de x* klas-e, weike itQ maart, 18 7 plaats heett 1. y zoo Ung het weinlg aanlai nog sterkt bij den oudergpteekenden bij wte" de prijzen of loten door bem uitgegeven, na de trekking zuheu betaald worden. A. Gwihher TVanmoestraat) bi) de l'hchsleeg n° xo6 te Amsterdam. Plnnnen en nadere icfnrmatie te bekomen bij detl Notaris V ANDERMEERSCHle Yptieo Oude- floutmarkt, n° 27, Op donderdag eérsten maerte 1827 ten eed ure na middag zal inen openbaerlyk verkoopeit twaelf koopen groote eyken boomen dteueride voor molen Siaeken assen en andere groote wer< ken sîaende op eene partie bosch greot diieed dertig roeden loebehoorende de keik van St.-Jair, le Popennghe by de herberg den Jaeger. De voorwaerden berusien ten kantoore van den Notaris liERTEN, te Poperinghe. r* Imprimerie R. G AMBART-M. ORT1ER Libraire tue de Boesin^ha JN" tq.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 4