„..e .muucnon rompléle de Perse. Ces traductions sont écrites sur 'e' marges d'un exemplaire deies deux poetes. Eiles formeront un volin-8" qu'on pourra joindre ;outes les éditions de Boileau. E i individu prévenu Anvers d'assassinat »ur la personne de sa >œur, avait lui en Belgique. Ar- rê.e a Anvers il y a peu de tempsson- extraduion avait'ete obtenu il vient d'être amené Lille par la maiecbausée. Il doit être incessamment transféré Angres. La Chronique de NeVers annonce que M le lieutenant-genéral Alltx s'est présente la maison d ar rôt de celte vi le, et s'est constitué prisonnier eu vertu du jugement qui l'a condamne a un bjois d'etuprison- Dénient. En journal de Lyon a prétendu que lord Co- cbrane croyait tellement un arrangement en faveur de la Grèce qu'il altispendu tout a coup ses prépara tifs du départ les janvier, M. Livingtton a demande au con fiés des Etats Unis qt» on destinât 5o ooo uollais aux. Gieis. Cette propesi.ton a ete adoptée. Il est arrivé le 5 fcvrier Lyon une batterie d'ar tilluie de campagne du nom eau sys'éme actompa- geée d'une commission ptecidee par M. le colonel Pai he, et chargée pour juger de son de gre de peilec- tton de suivre ladite batterie dan» le voyage d'essai qu'elle a lait de Vin»ennes a Suaisbourg. En pt rtoti- Del d'artillerie de la garde rcyali et de la ancra p-gr>e cette batterie qui sejouinera Laon et parcouri la les abo'ds et esrarpement de cette ville. affaihes de la gk'ece. La Gozrtte de Lau.urn.e tonnent les nouvelles suivai. es Tous 1rs jour.» ou nous confirme la défaite desTurc» n Athènes, Dcbrena et a Arathova.. Fsbvier est reste ton-mandant de l'Acropolis d'Athènes Kar<-ï ka ki apren l'affaire d'Aracbova, s'est rendu a Salona, avec riuteiilion de pénétrer dans le Gtète Oicioenlale et de rejoindra le commandant M a tri qui depuis qt.e ques jours, est déjà entre a liacovi distant de six l.eues de Mirtolonght A .Arta les Tutcs éprouve nt la plus vive inquiétude. Ils Ci atg'*en! le mouv. trn-nl inattendu qui a de ou»e*u Se u le V e et ranime b. G rie. Car «lasso est dans la pio- vu ce de la Beoiie et occupe 'ou» les passages Le» fi lm les turques qui étaient se ues Misso.o >ghi pour y b-biiei oui loutes été renvoyées a Eievesa. On prétend qu'Ibrahim eheicbe a abandonner le Peroponèse, et s'embatquer bord de sa flotte («pur Alexandrie, bi lete nouvelle merue confirmation -il est au moins certain que depu.s long temps il s'est retire Mo'don ou il se tiouve én quelque so/te as- s egé avec une armée alfatbiie par ues tieque ns com« bats. Des lettres de Truste du janvier annoncent d'après les lettres de Zante du t" que l'amiral Miatilts-a attaque la flotte tuiquc près de 1 île de Zea lui a p- s deux rorvettes et trois bricks, et dispersé oucou'é a fond le reste. Des lettres de Zantedu g janvier, annoncent aussi qu'Ibrahim pacha se trouvait retranche entre les for teresses de Mo don et de Navann, fut attaqué par l'ar- Diée combinée de Colocotront Nikilas Geueus et bo'iaria lorte de 3,ooo hommes. La bataille fut - s«ngl»ole, et le biuii du cauou tel qU o i l'entendait cinq lieues a ronde lb<»biuj a 'a-êtede3ooo bon mes dente, chercha enfer; ser les troupes de Gei eu» niais il fut repoussé avec perte et après une tmiee de cinq heutes«es lioupes se rcfuR,erent dans Motion laissant i,5oo hommes sur le champ de bttai le, un grand nombre de blessés et de prison- un.isi4 drapeaux 8 canons et 3oo iheveaui- Une lettre le bruit courait que Kiutarhy après avoir battu en Eubee availp°.ià laN-su>te d'uno affaire sanglante que I» ville de Caristo était tombée entre les ma'ns des Grecs et que Miaulis avnit battu pour la seconda lois la floue égyptienne entre les eaux de cacdie et de Cerigo. ANGLETERRE. Londres 5 février. Un conseil du cabinet so tiendra le G Brigh'on. Les nouvelles qu'on reçoit sur l'état de la santé de M. Canntng sont loin d'être satisfaisantes. l.e président Bolivar a publié, avant son de'part pour Maraeaibo la pioclamalion servante portant la date du a3 novembre, comme le décret par lequel il s'attribue les pouvoirs spécifiés par l'article 128 de la constitution de Colombie. Colombiens il-y a cinq ans que j'ai quitté cet te capital* pour m'avancer la téte de l'armee libé ratrice des bords du Cauca jusqu'aux montagnes da Potosi un m lion d'hommes, deux républiques soeurs ont obtenu l'indépendance sous l'égide de vos diapeaux et le monde de Chrisiophe Colombie a cesse d'être espagnol. Vçs malheurs m'ont rappelé d-ns la Colombie. Je suis plein de zèle pour me dé vouer la volonté nationale (jui sera mon code pane qu'elle est infaillible. La voix de la nation m'o blige a me charger du commandement suprême. Je l'abhorre mortellementparce qu'on m'accuse d'avoir de l'ambilinn et de viser a la monarchie. Eh quoi peiise-l-on que |e sois assez insensé pour aspirer a me dégrader mui même Ne sait-on pas que*la destiné* du Libérateur est plus sublime que le nône Colom biens, |e reviens parmi 'vous pour me soumettre an fardeau insupportable de la magistrature car ii y au rait de la lâ. iieté et non dt la modération a y renon cer dans des monieo. de danger. Cependant ne comp tez sur moi que jusqu'à ce que les lois et le peuple aient recouvre leur souveraineté. Permettez moi «lois de vous servir comme un simple soldat et comme un vrai républicain comme un soldat t armé pour la de- fente des beaux trophées de nos victoires, de vos droits. Signé Bolivaz. ALLEMAGNE. FrancfortG février. La Gazette cf A'ugsbourg du 4 ('e ce tnois y a't qu'elle m ete invitée publier une lettre antogtaphe do oi de Prusse au prince de Salm Salm par laquelle S. M. loue les monts qui ont déterminé ce prince passer de l'egbse catholique la communion evangeli- que, etajouu que cet acte sert de contrepoids im portant a un amre triste phénomène. Ceci ootis pa rai; être une allusion au paru pris par la duchesse île Ce* lien d euibras er le culte catholique. La gazelle decoeihen publie des lettres de S. A. S. le duc souverain de ce pays en réponse a des offres faites par un grand nombre de ses sujets bourgeois el cultivateurs de fournir les moyens de transport pour les matéiiaux nécessaires la construcion de l'eglise catholique dans la resideuce de Coeiheri. Le prince exprime la p'us vive reconnaissance de ies notables té moignages d'attachement sa personne. L'observateur Autrichien annonce que le «ice roi d Egypte va faire présent l'empereur d'Autriche d une giralfe on sa t que Mohammed a fait un sein* blab.e présent aux tots de France et d'Angleterre. L'empereur d'Auiru he vient de defendie ceuz da ses sujets qui professent la religion protestante de sa livre au «ommerce de tous objets quelconques con- cernant le cube catholique. De la SE i bSE3 févriers. On mande de Chaoïbery en date du i4 janvier, ce qui suit r

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 2