LE PROPAGATEUR, JOURNAL D'YPRES, N.° go4. itEncREDr, g Mai, 1827. POLITIQUE, LITTÉRAIRE, COMMERCIAL, JUDICIAIRE, ACTES DU GOUVERNEMENT AFFICHES, ANNONCES, AVIS DIVERS. L ordouuauce qui licencie L gai de nei.ouaie, était Aîiirii DE LA PROVINCE DE LA FLANDRE OCCIDENTALE. OUVERTURE DES PORTES DE EA VILLE. I lu 1 an i mii i heures FERMETURE DES PORTES DE LA VILLE. llu I au iS uieij, 8 heures ei demi. Le prix de 1' abonnement est de 8 florins 5 t;a cents pur année, 4 florius 5o cents pngr 6 m-is. 1 florins Î6 cents pour 3 mr:» Le prix des insertions dans ce Journal, est de 7 1/1 oenis par I itjiieet celles au-dessous de 7 ligues »e paient \-j 17/ ce a Oi s'a bon ue chea l'éditeur et tous les bureaux des postes anx lettres du royaume. P H M E R l D E S. Le S mai 1645 Turenne est défait JUanendal par le général Mercy. Ce fut le fieut échec qu'éprouva ce grand capitaine commandant en chef les troupes du Roi encore fut il aussii glorieux pour lui que la plus éclatante victoire par la belle et savante retraite qu'il fit faire a son armée. i66\, fête donné Versailles par Louis XIV. Jamais fête ne fut plus magnifique. La cavalcade était suivi d'un char doréde jti pieds de haut st.r *4 de longreprésentant le char du soleil. Le 6 mai iôiyprise et pi'loge de Rome. Celte ville a été saccagée par les Gaulois par si lare Roi des Goths par Genseric Rai des Vandalcs par OdoacreRoi des JJérules par Totila t Roi des Goths enfin par les troupes de Charles-Quint. 1810 prise d' As tor»a en Espagne par les français après quinze jouis de tran chée ouverte Le y mai 161 ymort du président de Thou l'historien On connaît les quatre vers que Louis XVI avait fait mettre au bas de sa statue Tel fut ce grave historien Intégre magtsnal et zélé citoyen Dont la plume sans fiel mutine sans flatterie Défendit les autels, le tiône et la palri.-. Le 8 mai ,i8oç bataille de la Pi ave. Pendant que Napoléon marchait sur Vienne le prince Eugène s'avançait vers cette ca pitale travers le TyrolLes Autrichiens après avoir successivement abandonné Padotie Viçence et Trevi-e se retirent sur la rive gauche de laPiave. Le prince Eugène force le passage de cette rivière met en déroute l'armée ennemie qui perd dans cette jour née six mille hommes cinquante caissons seize pièces de canons et une quantité de munitions. TURQUIE. Constat inapte nq avril. Par voie extraordinaire. Toutes les demarchee.diyiomatiqiie» aupiès de la Porte relativement lu pacification Je lu Grèce ont été infructueuses; la Pot te a delà manière ia plus formelle proteste contre toute intervention. Le nouveau reis efleudl accompagné ses déclara- lions déplus d'ironie encore, et d'energ e que sort prédécesseur dont il e«t l'elève. Tous Its rt g irtls' Péra se poi'erl sut les envoyés de Russie et d'Ang'e- lerie. 1 0116 les ministr's européens ont expédie des court eis avec dts dépêches a leut» rouis respec tives. Du 11 au soir. Les ministres de Russie et d'Angleterre ont encore reçu d une niauièie gifle elle une réponse fo nielle la noi-' elti t.gique qu'ils avaient adics't e au divan, t a la quelle les monstre» de Vienne de Faits et de tier n pat rissent avoir été étrangers Cette epçrnse porte ca tégoriquement que ta Po'te ne consentirait juniat* A une intervention (jueLo que et qu'elle mimerait mieux périr. M. fie R beatipie t> tt sir Sm ioid- Canning, après ayotr accuse rec plion de cette note ont sur le-cbantp quille Pera pont se tendre la tint- pigne. IL ont eu avant leur départdes co-Trente* avec les autres ministres européens peut tr pour I s engager se reunir avec eu* mais il parai que ri ux- ci veulent attendis des ins menons avant de taire une pareille demande. G. LiJ ANGLETERRE. avril. w Lindies, z8 a La Gazeithfde Philadelphie, 1 u une Roi'Va'é ksptratt a la dorn d 1 qu'elle A toujours ci u que t>oli*a> Aspirait a la domination universelle du continent méiitlidnal et qu'il n'est que trop probable que le prétendu libérateur Gnua par réussi' au moins pour ce qui concerne Bu ivta, le Pérou et la Colombie, FRANCE. Parti1 mai. g Le devoir le plus sacré pour la garde national® était de ne latte entendre sous les armes que f'evj.'es- siott du t oeur que le cri tout Ira çais de v ve le 101 ce n'était pas sur la place publique, enrore moins ds a un Ci tt p, que l'opposition devait se tahe .ntendre ,t| le be*o n le mieux senti la plniroe ia plus légitima pnnail dans t elle 1 irions! a m e un t a rat été d'int on ve nante que !e simple bon sens devait indiquer, Ls ins titutions que la royauté cous a 1 onnees son' asstz lar ge» pour que la platn'e 1 tout e une legt ime t xpression. Voici les rt flexions du Journal de débats sur le grand coup d'état qui Vient il êt-e frapp

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 1