de leur présence.
Tous les membres de l'ex-garde nationale ions
les honnêtes gens de Péris, vont sinsrnre chez M.
le duc de Doudeauvi.le. Constitutr niel
L'exemple de M. Houel qui a do me son uni
forme de garde nationale aux Gre< s a trouve de itai-
taieurt. M Neurusn ex-grenadier de la ae légion, tre
compagnie, prie également le Constitution el d'adreser
au cornue les deux uniformes de gienadiers de celle
légion qui lui sont devenus inutiles.VI. Ch. Lemor
ex grenadier la le compagnie de l'aecieone garde
naiional annonce dans le même jonrnal que les ire el
a compagnies ir bataillon de la 4e légion de grena
diers ont résolu de continuer leur paie leurs tambours
toui deux vieux soldats pères de famille comptant
plus de vingt ans de service et sans autres moyens
dexistance. Vf Michel, associe de la maison Leperrier
jeune et Michel, rue Saint Denis, donne aussi pour les
G:ecs son habit et son bonnet de gienadter, avec le
plumet
Le bruit de la démission de M. Chabrol ne se
COnli une pas.
Les bruits répandus sur la faillite d'un nob'e duc
•e confirment. Plus d'un million d'elle! échus som pio-
lestes. Des spéculations industrielles ont ame.e ce grand
dtsaslre qui auaqtm une biaoche immense du coni
nierte et la piosp rite du depaitcmeni de la Côie-D'or.
Qii assuie que le toi vient au secours de ce ooble per
sonnage.
Le retrait du projet de loi sur la presse ayant
dispense les nombres île la chambre des pairs, qui
«valent préparé des disrours ce sujel, de les p'ouoti
cei M de Chateaubriand a fait imprimer le S'en et
l'a doune en nombre, au Journal des dcbais qui l'en
voie ses abuones. Ces discours contteut aa colonnes
)u folio.
PAYS-BAS.
Bruxelles 4 mai.
On écrit de Tourcoingque luoJt dernier un fabri
cant ayant voulu diminuer la |ournée des ouvriers
ceux ci ont ref tse de travailler el étant rassembles
avec tes ouvriers des au'ies f,briques ils se sont por
tes chez le f >b .canl ou ils oui brisé .«es métiers m croi
sées. Ou n'a eu que le temps de faire rassembler la gen-
i]s'inerte el l'o est parvenu dispercer les mutins au
Borubre de b a 7 cents.
D après il«s avis de Pelersbourg 16 avril la
Campagne contre les Persans seia poussée avec une
vigueur et un déploiement de forces qui eu assureront
ptutoptemeni le succès et fa fin.
Ramur, le 28 avril 1827.
Plusieurs journaux ayant rendu compte de l'incen
die qui a détruit mon magasin eutieiement mes mar
chandises et rflels se sont tus sur la phiLnttopie des
fiamuroiti,nqui je voue toute l'expression de ma recon
naissance et de mon entier dévouement.
Arrivant de Puy avec ma barque le 3o dernier,
j'apperçus non loin de la ville des fit m mes dépasser la
toiture de m»n magasin avant d'aborder j'eus encore
le temps déformer mon plan de secours. Mais... O
fatalité cinq^banls de poudre reposant dans un gre
nier..... Jetais loin d'esperer que ma fille Philippine)
restee seu'e dans mon magasin les autan arraches des
Il .motos et ainsi sauvé par-la une partie de la ville,
L ignorance dans laquelle 0 ne trouvais m'empê
cha dexecuier mes projets 1 l'd n des braves qui p-r
Jcur géuereux dévouement |ti aient les progtès rapi-
3
dos du feu fut rallenti par mes ordres jusqu'au mo
ment ou ma fille paru' et m'assura qu elle venait d'en
lever les -5 k los de poudre.
Cet accident qui fait epoque dans mes annales
malheureuses m'a fait éprouver moins de sensation
que le zèle toujours croissant et exemplaire, que vien
nent de montrer les principales familles de namur qui
correspondant au devou< ment louable de M Vf. l'abbé
Hissoul et Victor Bodart distillateur ont mis m«
disposition chez ces dernters une somme de 700 tl.
des Pays Bas.
Dé»e«péré de devoir refn«er ce bienfait qui restet*
éternellement gravé dans mon œnr, je prie mes bien
faiteurs de vouloir disposer de celte somme cumin®
bon leur semblera et de vouloir seu'rment en m ac-
ro'daru leur es.imeme favoriser de leur puissante
protextion.
Je les prie aussi de croire que je rejette loin de moi
toui sentiment d orgueil.
H AIN ATP - Raymond.
IIIITIII <-7~7
AFFAIRES DF. LA GRECE.
Correspondance de i/. Fynord a\ec le comitéphtl-
hc lié nique de Bruxelles
Genève, 11 avril 1827.
A l'instani je reçois des lettres de Napoli de Roman!
en date du 1) mars. Ces lettres sont arrivées par le ca>
pila ne Poliwic'b de reiour de Napo'i t il avait et
expeoip avet un ch irgenient de substances. Voici I
resutne des nouvelles qu elles portent: La vii >0 rr
Kaiaiskakt a Disiomo a rendu Ubie toute la G
orientale et occilenialo I exception de» places su;
vames; A'beo s, Livadie ei Missolonghi. Non seu
leraent les Turcs ont abandonne Disiomo mais en
core Salone DoS en.» Turcocbori Darha el le cou-
vent de Jerns .cin. Nous espérons q 1 au moai'iii où
nous éc tvoiis K o ai k >Li est-ous 1er muis J'Allié s.
Le manque Je vivres l'avait anêié mai. heureusement
l'aiitvee rt'un bâtitueol non» a permis de lui en expé-
dicr La citadelle d'Athènes est redui e aux dernières
extrêmitPs et pour surrioit de derresse ellp rst dévo
rée par une épidémie. On soldat sorti le 5 nnrs a an
noncé que si le 10 elle n'eiali pas secom ne elle ne
pourrait plus tenirCette nouvelle a jetie tout le monda
daus la t onsieriia'ion et Je tous les r cs ort par» peur
se réunir aux troupes qui marchent comte KuUchy.
Au Py tee les 1 ôtres ont eu quelques avantages. Le 4
les 1 urcs attaquèrent trois tours dont nous nous p ions
rendus 111 es mais ils furent oo-igés de se retirer
après avoir perdu beaucoup de monde. Hier 25o
hommes soin partis d'ici pour A hènes ils eraienl com
mandes par le trère de Grrvas el George Vaja qui ou*
les deux se sont dislingues l'atiaire d'Arakova.
Nous recevons la nouvelle que du iô de Tripo'itza
Germaios le fils de Colocoirom a tau prisonniers aoo
arabes
Une autre lettre du 12 mars annonce ce qui suit .-
Le lieutenant gene.al Cburelanglais est arrivé
Castre ou il a été reçu avec de grandes démons rati
ons rte |oie par Coiotouoni et toute l'assemblee Plu
sieurs chefs grecs et entre autres Colocotroni N ki as
el K .rackiki ont servi sou, ce général dans les îles io
niennes.
L'assemblée de Cnstri a envoyé une commission
de trois nombres Karaisk..ki pour l« féliciter sur l'im
mense service qu'il vient Un rendre a la Grèce el pour
lai donner les moyens de commuer avec succès. Cette
commission oriait avec elle une somme en argen(
ptOYeuaui d'uoe !juuibuiiou fuurute par le*