LE PROPAGATEUR, JOURNAL D'YPRES, f N-. o»6 ïicnrnEDr, so Juin, 1837. POLITIQUE, LITTÉRAIRE, COMMERCIAL, JUDICIAIRE, ACTES DU GOUVERNEMENT AFFICHES, ANNONCES, AVIS DIVERS. TURQUIE. ITALIE. f r).m* AiTNir DE LA PHOV1NCE DE LA FLANDRE OCCIDENTALE. OUVERTURE UT S PORTES DE TA VILLE. l>u tiii 1 juin 3 hnire- et demie. rtRMETJRE DES PORTES DE TA VILLE. t)o 1 an i5 juiu, a 9 heur.» «t demi. T e prix de P ahom emeot e*t de 8 fl. rim 3 173 cent» p«r «eoee, 4 ""tini 3o cents ponr fi m is, 3 florin Wtfll» pnor 3 m<!«. -m t« rte* iniritriut dan* te Journal r*i de 7 171 ce.us par ligna, *1 c.llea ap-deMOU» de 7 lignes te paient 47 ifi «eu C>u .'aîi,o-a rli IVI.ieur et «ont le» bureaux île» potlï* «nx lettres du rry.iume P IIÉMÉR IDES. îs i4 jun 1800 bataille de Alarenge gagi.é. par l'armée française aux vrares du .premier onsul. 180- b /aille de Friidland, gagné* par l Empereur Napoléon sur les Prusso- 'Pusses i8og b 1 taille de Raahoù le prince Eugène défit complètement les Nu n chu ns i moins de a x ans voilà trois victoires décisives remportées le mente tour par une sente nation il est inutile d'ajOUter que c'est la nation française L" là Juin 455 les Vandales ayant pris la vite de Rom-, ta pi/l< nt pendant qua torze jours le upe Saint-l.eon obtint de p.oi Gensenc qu'on ne cornait tirait ni meur t/es ni incendies et qu'on ne toucherait point aux tiois principales basiliques. i443 le concile de BAle finit après voir du v onze ans il y fut ordonné qu'au- tun neveu du pape ne pan tendrait cardinal 'et- que le nombre des prélats serait réduit j-é. Le r6 ju'n m654 Christine Reine de Suéde, ab 'i que solennellement la couronne t n'est pas quelle eût jamais paru inca pable de la portermais elle aimait les b an x a ts et voulait vivre libre et tran quille. 77yj,mart de G'esset il naquit Jdmiens et peut etie regardé comme te poète le plus original de ce siècle c'est le seul, qui ne soit d aucune école et qui postérieur a f^oltauen'en ait pas imité ta maniéré générale. Le 17 juin 6rj6mort du grand Sobies- ti Jeun bob c-kt est le plus g>and Roi qu ai eu la Pologne il délivra sa patrie du joug des Tut es et les empêcha de s empa rer de païenne dont la prise eut entraîné la perte de toute [Allemagne. Ce prim e avait autant d'esprit qm de valeuret par lait toutes les la .gués de l'Europe. tj$4, mort du maréchal de Pillars Son courage et sa capacité annoncèrent de benne heure la France celui qui devail la sauver un jour sur le penchant de sd ruine. - Con latin pie a5 mai, Correspondance particulière. Au'ès de» détails «ur le combat du 6 mai «t ses l<î#J ta» suites relativement l'Aciopo'is te torifcspondaet joute que les G'ecs ont petdu l'elite de leurs trou* pns. On s'est baliu avec une opiniâtreté sans etempla les Ipsarioie» et 1er \3issolunghtotcs se sont couvert do g'uite. Lorsque tout espoir de sauver l'Acropolis fut évanoui, foid Cochrsue invita l'amiral français da Rigny de proposer au spraikter Une Capitulation pouf la garnison. FGdi hid-paiha n'y paraissait' point dispo sé mais enfin il y consentit condition que .'es Giccl missent bas les armes. Des parlementaires se rendireut en conséquence dan» la citadelle pour effectuer Cetta capitulation, niais la garnison héroïque pressentant sort sortdrclata qu'elle ne déposerait pas les armes et qu'elle aimerait mieux se faire sauter ivec les detuiers monument dé l'ancienne HeilaS. Après cette réro'ution qui doit exciter l'intérêt plu* vit de toute I Europe le sort de l'ActOpolis est facile prévoir et b'en que la bannière de le crois lù' encore arborée sur les murs le 16 Athènes pi tentera son» peu le même aspect de rujnea qu'fpsera S io et Missclunghi. On peu' se faire une idee de la sensation que ce* evenemms ont produite ici les d'-r<e nier» regards des Grecs sont tournes veti la Oegoeiflv leur russe M. «ie Ribeaupierre. TrieAe 5 juin, Dne lettre de Zaotedigne de foi, an data du tê mal contient ce qui suit Le 14 de ce m >is il est arrivé a prévéta un tar- rare qui a apporte la nouvelle que dans les premiers ictus de mu, le serasquier a remporté devant Athènes une victoire décisive sur les Grecs. Les particularités de cet événement, qui aura sùiemer.t de grandes en* tiquent*. ne son» pas enrore tonnues. L> Gn-ev rux-n èm-s mettent au nombre de» morale généra, en chet Rit ik.ki. On dit au«si que M. le lieu'ei «a co.qqcI bavarois de Utitieggcr qui a vilit qut depuis

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 1