LE PROPAGATEUR, JOURNAL D'YPRES, V' 9^9 Mercredi, 10 Octob^'^82^. >y t-g.™ Année ,fK 1 \l r r' POLITIQUE, LITTÉRAIRE, COMMERCIAL, JUDICIAIRE, DE LA PROVINCE DE la FLANDRE OCCIDENTALE. ACTES DU GOUVERNEMENT AFFICHES, ANNONCES, AVIS DIVERS. OUVERTURE DES PORTES DE LA VILLE. Du 1 an i5 Octohre 5 heures et demie FERMETURE DES PORTES DE LA VILLE. Du i au 5 Octobre, a 7 heures Le prix def abonuemeut est de R florins 00 cents par année, 4 florin 5o cents pour 6 mois. 2 florins 35 cents pour 3 mois, le prix 1 1 insertion» dan» ce Jrureal, est de 8 cents par liqnc, et celles au-dessous de 7 ligues se paient 5o cents, ou s'abonna ehez l'éditeur et tons les bureaux des postes aux lettres „n royaume. EF HE MER1D ES. Le icr Octobre 1806, combat de Castel- Novo. Le général Alarmont ayant appris qu'un corps ce six mille Rut ses réuni dix mille Monténégrins s'était rassemblé Castel-Novo et au col de Dehbirichrésolut de l'atta :uer et de le déporter de ce colpar cù il menaçait sa communication avec thiguse. Il y réussit com plètement. L'ennemi, apnnt été délogé de cette position, fui battu devant Castel-JSovbet se retira en désordre sous le canon de cette place et de la flotte russe. Le 3 Octobre 1799. bataille d'Alkmaer entre les armées angio-russe et franco-batave. Le duc d'I'orck commandait la pren.içce.* ci générât BrûnC tâ -t.bade, laquelle était de beaucoup inférieure en nombre. Les avant - postes jurent d'abord réponsesmais l'action s'étant engagée en avant de Berghenet le gé néral Hbercrombie avant dépassé avec sa co lonne la gauche de Tarmée française. Brune se replia en bon ordre et laissa entrer dans Mlk- fnaer. Le 3 Octobre i468, arrestation de Louis xi Féronnepar le duc de Bourgogne. Louis xi voulant terminer les dijjerends qui s'étaient éle vés entre lui et Charles duc de Bourgogne avait demandé a ce duc une conjérence mais dans le même temps,il appuyait secrètement la révolté des Liégeois contre Charles, et pour mieux le tromperil alla seul le trouver Fe- ronne. Le duc de Bourgogne ayant découvert les intelligences du Roi avec les Liégeois le fit arrêter et enfermer dans une tour. Le 4 Octobre 16y 8, le poète Regnard est piis par des corsaires algériens et conduit Hlger Regnard avait du talent pour la cuisine, et J ut fait cuisinier du rnaitre dont il était devenu l esclave. Lis'en fit aimeret gagna aussi le coeur des femmes favorites de celui-ci 11 écouta leur passionfut découvert et livré la justice. Il allait expier son crime par le feu lorsque te con su/ français qu: avait re çu une somme pour le racheters'en servitpour l'arracher au supplice. TURQUIE. Constar.tinopiei« Septembre par Odessa.) (Correspondance particulière J Les familles des ambassadeurs de France, d'Au- gleleri "et de Russie sont toujours embarquées. Les c sférerices de ces ministres entre eux con tinuer toujourset il est certain qu'ils ont remis ,au reij-effendi une nouvelle note, dans laquelle ils lui annoncent le règlement immédiat des mesu res extraordinaires conformément la convention du 6 j; et. La capitale est toujours tranquille, et il n'est survenu aucun changement. G. de France. VALACÏ1ÏE. Bucharest11 Septembre. Des lettres d-'Andrinople du 3i Août annoncent qu'une population grecque d'environ t5oo indi vidus pui habitaient l'île d'Imbro, située dans le v ri- s Durduii elfes -y a é.fc mss.i e.e n5c rr grande partie par les Turcs. On ne dit pas quelle a été la cause de cet événement mais ou supposa qu'il faut la chercher dans l'impression qu'a pro duite sur les Turcs la nouvelle de la convention du 6 juillet. Idem. RUSSIE. Pètersbourgjp Septembre. S. A. I. le grand-duc Michel est parti hier pour Bobruisk afin d'inspecter les fortresses situées sur les frontières occidentales de l'empire. D'après un ordre de l'empereur, il sera, formé pendant la durée de la guerre contre la Peise, un corps volontaire de milice (landwehr) des armé niens qui habitent les provinces transcaucasiennes. En conséquence le gouvernenr militaire de Géor gie, général-adjudant Sissagnya fait un appela ce peuple. Daprès le règlement approuvé par l'empereur, celle milice seia divisée en bataillons, et les volontaires ne doivent pas avoir moins de 1 8 ans ni plus de do. Pendant leur temps de service, ils sont ainsi que leurs femmes et enfans exempts de tout impôt et servitude. A la fin de la guerre ils sont libres de retourner chez eux ou de rester au seivice. Les volontaires doivent se soumettre au règle ment de l'année et prèier serment de fidélité Pempeieur. Chaque Bataillon dont l'uniforme est gris, se composera de compagnies fortes de 100 hommes. Les armes des simples volontaires sont un poignard et des pistolets -, celles desofiieieis, uu salue et des pistolets. Le commandement se tera en langue arménienne. Uu ordre du jour impérial témoigne au corn-

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 1