rtcoes depuis son entrée au service de M> Mars elle n'a pu représenter bien qu elle en ait d'a- trii fait l'offre avec assurance. Il a été constaté par i livre du portier que ces lettres étaient au nombre de i, deux du port de trois sous taxe de l'intérieur fpiriset une du port de quatre sous qui est la jse de l'a banlieue. On acquit par là une présomp JJ jn très forte que Mulon n'avait pas quitte Paris ou jrtenvirons, et depuis il a été découvert qu'en effet i il n'avait quitté que la veille du crtnie une chambre u'il occupait rue de la B'enfaisance. Au nombre des Icbiets voles se trouvent malheureusement deux billets ie banque de mille francs et trois ou quatre cents francs eu écus qui donnent au voleur des moyens d'évasion et d'existence sans qu'il soil réduit vendre trop précipitamment quelque partie des diamans ou de» bijoux. Les fragmens des perles fausses trouvés dans la rue audessous de la fenêtre a confirmé l'tdee que l'on avait conçue que les objets volés avait été i descendus ou jetés par cette fenêtre un individu I «posté dans la rue. Un homme de petite taille, vé.'u d'une blouze bleue a été vu daus les derniers jours; rôdant autour de la maison. On l'a remarque encore, dir on, le jour même de l'événement faisant un signe dirigé vers la croisée de la femme de chambre et te nant la main quelque chose qui ressemblait one pe lée corde. Dans de précédentes conversations avec les autres domestiques, la femme Mulon avait ar nonce qu'elle possédait trente mille francs d'argent placé et qu'elle Comptait quitter bientôt le service de MMars qu'elle avait pourtant sollicitée avec ardeur quelques semaines auparavant pour vivre chez elle de I intérêt de ces fonds elle n'a pu ensuite indiquer le lien ni la nature de ce placemeutson mari sachant seul, a-t- elle prétendu, où il avait été fait Celte femme répond i toutes les questions par des dénégations complètes. On vient de faire, a très-peu de distance de la limite qui sépare le département de la Côte d Or de celui de la Haute-Saône, deux cents pas de Rosières, sur le territoire d'Atricourt, une dé couverte importante en objets d'arts antiques ce sont des clnpitaux taillés avec le goût le plus pur, des fûts de colonnes, et uu très-beau pavé. Ces morceaux sont des beaux temps de la sculpture. j\ ouvelles de la Péninsule venues des bords de lAdour. S. M. a donné l'ordre que toutes les mairies re mettent immédiatement la royale audience une liste nominale de tous les hommes qui se trouvent faire partie des révoltés. Uu autre ordre du roi defend de molester par des voies de fait, par des parolos ou même par des actions qui iudiqueul l'intention d'oll'cnser les amnisties Jep dels Estanys persiste soutenir que le roi n'est pas libre. Ce chef, qui donne au corps qu'il a sous ses ordres le nom d'armée royaleexécu trices des décrets souverainsdit dans sa der nière proclamation que le roi est Tatragoune Comme San-Lorenzo, esclave du parti révolu tionnaire et maçonnique. {J. de Toulouse.) Le to, un combat a été livré sous les murs de Giionne. Les agraviados ont perdu beaucoup de monde, mais pas un pouce de terrainils étaient de i5 16,000 hommes. J3ul.de la G. U. de Lyon.) Les rebelles, les méconlens, les agraviados, ou comme on voudra les appeler ont disparu devant les années du roi. La roule de Gironne est tout-à- fait libre niaintemant il n'est rien resté de la fa meuse junte Manresa; Vich, Berga, Cerveia et toutes les autres positions, ont été abandonnées par j, s agraviados. Ils errent maintenant daus les mon tagnes, soil pour chercher se jeter eu France soit pour se ménager les occasions d'une soumis sion. Eu attendant les principaux chefs ont en voyé leurs familles eu France. fBull. de la Quot.) PAYS BAS. Lié ge, 11 octobre. On dit ici f» Tournay que M Oadenarde, curé de la Chapelle Bruxelles, a refusé l'évéché de Na- uiur. Courrier Tourriaisien Nous pouvons assurer que ce bruit n'a 9ucun fon dement et que MOndenard n'a point refusé l'évé ché de Namur. Ce vénérable ecclésiastique est trop honoré, sans doute, du choix qui a été fait par sa sainteté et par notre monarque, pour refuser une dig nité laquelle l'appelaient également ses vertus ses talens et la considération publique. Bruxelles, a 3 octobre. Les personnes du sexe féminin, qui de'sirent parti ciper aux bourses et demi bourses, pour suivre les leçons dans l'art des occouchemensl'école établi l'hôpital de S Pierre en celte ville en exécution de l'arrêté royal du 15 septembre dernier doivent adres ser leurs demandes cet effet accompagnres des déclarations nécessaires, l'bôtel-de-ville avant le 10 novembre prochain. Le il au matin une vieille dame demeurant rue St-Jacques, Maastricht, a été trouvée asphixiée dans son lit, une jeune fille, qui couchait avec elle était sans mouvement ses côtés; mais on a qoelqu'es- poir de lui sauver la vie. On s'est assuré que ce malheur est dû I imprudence; un poêle allumé fermé clef, a occasionné l'aspbixie. D'après le Catholiquece sont les anciens reli gieux de Tongerloo mêmes qui ont fait la remise de la bibliothèque dite des Bollandistes; Les riligieux de l'ancienne abbaye de Tongerloo, dit-il, qui comptaient dans leurs nombre pluisieurs sa» vans distingues et qui avaient donné un asjyle aux der niers succès eurs de Bollandus et d'Henschenius avaient eu la prudence de mettre en lieu sûr leur riche bibliothèque. Ils espéraient d être rendus tôt ou tard leur pieux et doctes travaux. Comme le concordat n'a piis accune disposition cet égard ces religieux viennent de ceder au gouvernement cette bibliothèque». Un |ournal allemand du qu'une négociation a lieu en ce moment dans une grande capitale, et qu elle a pour but un résultat de la nature du traité du 6 juillet, et auquel prendront part presque tous les souverains de l'Europe. Cette nouvelle négociation dont d'autres journaux ont déjà parlé aurait été provoquée primiti vement par un puissant monarque du nord afin de s'entendre avec ses allies sur les moyens prendre si les demonsirarions actuelles n'amenaient pas, de la part de la Turquie le but qu'on s est proposé par la premier traite, et de mettre un terme aux tergiversa tions continuelles da cette puissance. Du u5 - S. M. par arrêté du q de ce moi6, a accordé M le baron C. de Croeser, sa démission honorable des fonctions de bourgmestre de Bruges, et a nomma pour le remplacer M1. P. j. J. Verannemao, actuelle ment commissaire du district de Bruges. Par a<été du même jour, M le barou de Croeser, a été éleve la dignité de vicomte. Un particulier de cette vtile qui avait suivi les Autrichiens dans leur retraite, il y a 35 ans et qu'on avait cru mort, vient de retrouver sa femme veuve d'un second époux et mariée uo troisième. il vient de paraître l'imprimerie de l'état, La Haye, le Rapport relatif aux fouilles du bâtiraeat ro main découvert près de V'oorburg. On va mettre sous pressé incessamment les Oeu vres dramatique de Mr A. Clavareau. Un éditeur des provinces septentrionales va en- treprendte la publication d'un catalogue de tous les libraires de notre royaume, en y ajoutant les noms de ura commissionnaires et de leurs coattuetiaus Amsterdam et Bruxelles.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 3