f LE: P5 JOURNAL D'YPRES, ACTES DU GOUVERNEMENT AEL'IGHES, ANNONCES, AVIS DIVERS. TURQUIE. POLITIQUE, LITTÉRAIRE, COMMERCIAL, JUDICIAIRE, DE LA PROVINCE DE LA FLANDRE OCCIDENTALE. OUVERTURE DES FOUTES DE LA VILLE. l>u t a*i îfi Jecetnbffi'B fi ijî FERMETURE DES PORTES DE LA VILLE. Un i in tCi lîecfdiL. e, a 5 heures Le (.-ris de I'abonnement est de 8 ûutins <10 ceijt» par année. -fion::» 5<» c-t>« pour lams. 1 florin* 35 ceofe» pour J nios». ,.f 15 des insertions dans ce Journal, est de 8 cents par ligne, et celles ,u-o^.us d 7 ligues se paient £jo cents. s'abonne cher l'éditeur, et tes Jmrcans des postes ans le-itiis .in - yu'-me P M RIDE S. T.e g décembre r 8of)combat (F A Ifaraz m Espagne. Le général espagnol Blake s étan t 00rte dans Les environs de 'Loriose le général Suchetcommandant F armée française d Ar- ragonordonna au colonel Robert une. recon naissance sur la Noguerra. Cet officier ayant rencontrésur les hauteurs d'A If ara zun corps ennemi de imon hommesauquel s'étaient reunis les habitons d'A Imenara, il les attaqua et les mit en fuiteaprès leurs àvûir fait éprouver une grande perle. Le je décembre 167y. mort du président La- r .oignon.1 Hoç, prise de Giranne en Espa gneCette place, bloquée et assiégée pendant cinq mois, se rendit le 1 o décembre sept heures du soirau maréchal siugereag, com mandant le septième corps de l'armée française cri Espagne. La garnison forte de cinq mille hommesfut prisonnière de guerre. On trouva dans la ville deux cents pièces de canons une grande quantité d'armes de toute espèceet huit drapeaux. Le 11 décembre 1670première représenta tion de Britannicus, tragecliede Racine. 1 686 mort du grand Condé. Condà est le nom dune branche illustre de la maison de Francedes cendue de Louis 1Tprince de Condé, frère puîné d'Antoine roi de Ravare. On a dit du grand Condé qu'il était plus capitaine que César et aussi soldat qu' Alexandre. Il aimait les lettres autant qu'eux et l'on voyait sou vent sa table Bedeau, Racine Senleuiletc. Le i i décembre 1 800 combat de Salzburg- hoffien. Battue ÎJohenlinden l'armée autri chienne, après avoir passé l'J nu, se concentrait vers Salzburg J." 12 décembrele général Recourbecommandant l'aile droite de l'armée française attaqua avec lés divisions Gudin et Monlrichard la reserve de l'ennemiqui oc cupait Salzburghoffen- Cette position est en levée-, 600 hommes et 6 pièces de canon restent au pouvoir des Français. Constantinopia7 novembre. L'embargo vient d'être étendu sur les navires de Joutes les nations sans distinction, ni p u consé quent toutes les affaires ont cessé. Les efforts de inlernonce autrichien pour empêcher la guerre restent infructueux les Anglais i> les Français et les Russes, s'apprêtent partirle? trois ambaisa- deurs veulent partir le 10. M. Cbabcrlse proposa de se rendre a Zunte. On arme ici une nouvelle es cadre. Ausiî't tpie les Russes auront passé le Pruth, 1» saL'cuî mettra nvec le saint étendard en marche pour Andnnople. Le Spectateur-orien tal a clé suspendu pour 4 semaines jusqu'au 16 novembre çatlse d'un article relatif au comte de Tolsloyet au sujet duquel M. de Ribcaupierre avait porté plainte. Nous recevons depuis de iSmyr- nc, des cahiers hebdomadaires intitulés commerce et industrie. RUSSIE. Pëtcrsbourg21 novembre. Nous avons reçu des nouvelles de l'armée de Géorgie, dtt 28 octobre. Nos troupes sont entrées Tauris, résidence de l'héritier présomptif du trône de Perse. Alaï.ir Khan gendre et premier ministre du schali, avait chargé de défendre cette place; mais a l'approche de nos troupes, it se vît abandonné par les Sarbazes et ainsi obligé do s'enfuir. Cependant, notre cavalerie s'avançant de tous côtés, il ne put échapper,- il s'était caché dans une maison de faubourg, où il fut découvert ri a dû se André aux cosaques qui le poursuivaient. Parmi 1rs prisonniers se trouvent aussi Kclb- Ilasseynkhan de Talyche. On a trouvé Tauris 3r canons,9 mortiers, 1 fauconneaux, toiGfu- sils, io,aho boulets une quantité d'objets d'ar tillerie, environ 6000 tschetwerts de froment et d'orge et de munitions et provisions de toute es pèce. A peine le général Peskewitsch avait-il reçu ii nouvelle de la prise de Tauris, qu'un messager arrriva avec une lettre d'Abbas-Mir-sa, dans la quelle ce dernier déclarait qu'il était muni de pleins pouvoirs du scliah, et qu'il voulait négocier lui- même la paix. Le lieu des négociations (levait être fixé incessamment. Le 38 le généra! Paskewitsch se trouvait Marauda, ji se proposait de se mettre le lendemain én marche pour l'auris avec Sou avant garde; le reste de ses troupes devait le suivre en échelons. - Un ordre du jour du géoe'ral Paskewitch son corps d'armée, daté de la forteresse d'Erivëu i i3 octobre, après avoir rappelé les travaux de,^. J campagne et loué la bravoure des conquérant d'Abbas-Abad, de Sardar-Abad et d'Erivan se termine air .si lies villes ouvrent leurs [portes les ha bilans paraissent en supplions devant vons; vous les avez toujours épargnes, leurs oppresseurs les avaient emmené maintenant ils respirent sous votre géné reuse protection. La Russie vous remerciera d'avoir

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Le Propagateur (1818-1871) | 1827 | | pagina 1