les bùtimens neutres ces bàlimens reçoivent mainte
naotsans diilicailé îles lirmans paur aller plus loin.
FRANCE.
FS'is, 10 février.
Un protestantle seul qui habitât la commune
6c Marqnillies, étant mort, M. le curé d'accord
avec le maire, il lui a [ail préparer une fosse dans
un lieu honorable, près de l'église, et il s'est em
pressé d'offrir au pasteur protestant qui est venu
de Lille, le drap mortuaire et tout ce qui pouvait
lui être utiie pour rendre les derniers devoirs au
défunt; sa dépouille mortelle a été accompagnée au
champ du repos par une foule de catholiques.
La veuve du dernier marg-rave d'Auspach
connue sous le nom de lady Cravcn, et dont les
mémoires ont paru il y a deux ans, est morte Na-
ples le ier janvier de celte année. Le chevalier
Craven fils de son premier mari, a été institué
par elle son héritier universel.
nouvelles île la Péninsule venues (les bords
de r Adour.
Les bals masqués, ayant été défendus Madrid,
plusieurs personues^qÛ! 5e rendaient a uu bal don
né par l'ambassadeur du roi de Naples, et auqnel
assistaient l'infant D. Carlos et la princesse sa
femmeont été arrêtées parce qu'elles étaient
masquées. J. des Débats
Mardi prochain i a il y aura dans l'hôtel du
même etuhassadeur un superbe bal masqué auquel
assisteront les iufans et toute la grandesse. Les da
mes de la haute noblesse se fout faire des costu
mes de grand prix. Quant aux bourgeois, il leur
est défendu, sous les peines les plus rigoureuses,
non seulement de paraître masqués dans les rues,
niais même de se déguiser dans les maisons particu
lières.
Jeps dels Eslanysa été transféré a Barcelone ou
son portefeuille été remis au roi cet ancien chef
agraviado avait assure perpignau que les ordres
dont il était porteur étaient signés de la main de
S. M. et contre-signés par son ministre Calomarde.
S. S. avait permis au feu roi Charles IV de
vendre au profit de son trésor, le septième des tous
1 biens-fonds des quatre ordres monacaux. Une
nouvelle bulle, que l'on dit arrivée, autoriserait,
la vente du ciuqueme de ces biens.
Une bande de douze hommes armés et montés
s est présentée dans la nuit dans la maison de
plaisance du roi, appelée Saint Ferdinand; et,""
après s être emparée du gouverneur, de son secré
taire et de son domestique, et les avoir lait fusil
ler, elle eu est repartie.
PAYS-BAS.
Bruxelles19 février.
Nous apprenons que le gouvernement a rejeté
la demaude de la chambre des noiaiiesà Bruxelles
leiidaute a pouvoir faire en français, en même temps
qu'en langue nationale, leurs annonces et affiches
de ventes publiques.
- Le nommé Lievin van Neste, de Thollenbcck,
prévenu d'avoir mis le feu la maison d une pet -
S"iiue qui se refusait a consentir au mai i ige de sa
fide avec luivient d'être arrêté et conduit da.vs
les prisons de cette ville.
D" a 1 - - S. M. a nommé chevalier del'ordredu
liou beigique, M. \an Daalen, commandant du
vaisseau de ligne aterlooet M. Ossewaarde
secrétaire-geuéral au ministère des fiuauces.
Y près février.
La société du Parnasse fait aux indigens une
distribution de pains sur le produit d'une représen
tation théâtrale donné Jeudi 14 de ce mois, la
Huile Salle de spectacle.
Mallliieu Lsensbergh contient une lettre de
Batavia d'un officier qui a fait jiartie de la der
nière expédition. Celte lettre, dont voici un extrait
fut écrite au moment où étaient entamées les né
gociations avec Diepo Negoro
L'arrivée des troupes a fait la plus grande im
pression sur les indigènes. Aucun engagement sé-
licux n'a encore eu lieu, le bataillon de chasseurs,
qui a fait le trajet sur le Zelandais a seul trou
vé l'occasion de se montrer dans une escarmouche.
A la su'te de ce petit combat, Diepe-Negoro doit
avoir diten parlant des Belges Ce ne sont pas
des hommes, mais des lions.
M. le commissaire-général Dobus de Cisignies
et Diepo-Negoro se trouveront en personne au
camp de Snlaliga. Si la paix se faitcomme on a
tout lieu de l'espérer, il y aura de grandes réjouis
sances où l'on déploiera tout le luxe asiatique. L'al
ternative pour nous est celle-ci Irons-nous
au bal ou au combat.
Les Beiges loi s de leur débarquement, ont dé
posé leurs habits de drap puur prendre des vèle-
mens de coton. Samarang et Suiatiga se trouvent
dans la paitie la plus saine de l'île. En ce moment
il ne fait pas si chaud ici que l'été dernier Liège
il est nécessaire seulement d'éviter le soleil l'heu
re du midi. Tout est nouveau pour nous les vé
gétaux les animaux et les iiabitaus.
Le genre de vie que nous y adoptons n'est pas
moins nouveau. Un capitaine d'infanterie doit avoir
au moins trois domestiques et deux chevaux; n'al
lez pas croire cependaut qu'il y ait du luxe en cela.
Deux chevaux enbarnaches, ne coulent guères au
délà «le 200 florins, et ils sont nécessaires dans ce
pays assez inégalli s Javanais sont si indolens
qu'un seul domestique ne peut suffire, il faut
outre un domestique beige espèce d'intendant
pour surveiller les domestiques Javanais qui ont
presque tous ce que vous appelez en Europe la
monomanie du vol. Après avoir fait connaître le
penchant des Javanais la paresse et au vol, deux
défauts qui tiennent sans doute beaucoup au cli
mat et l'état de la civilisationil est juste que
j'ajoute qu'ils sont très-doux, très dociles, et
qu'ils paraissent pleins d'intelligence. Pour les
pousser la révolte il faut l'ambition d'un chef,
ou les excès les plus graves.
Le camp est foi nié de cabanes faites de bambous
et assez commodes. Nous vivons assez bon
compte. Les officiers paient pour leur nourriture
un florin par jour leur table est liés bonne et
bien fournie, ils prennent le thé ou le café 7 heu
res du matin, il déjeunent la fourchette dix,
et ils dînent quatre ils reçoivent chacun un de
mi {bouteille de vin. Les soldats 11e reçoivent que
de l'urac espèce d'eau-de-vie. Les officiers ont
eu outre le droit de prendre dans les magasins du
gouvernement du vin, raison d'un florin la bou-
t. iî'e c'est-à-dire, pour la moitié de cc qu'il se
vend chez les marchands.
1. estaussi iies-îuvorab'e a la chasse les che-
v e .ils, les sangliers s'y montrent par vingtaines
malueureusemeni ia race des tigres n'y est pas ex
tirpée c-.ci rend le plaisir tic la chasse un peu
dangereux.
i'11 t Dingsdag 18 Maart 1828, om 2 uren
naaiiddag, op het itadhnis te xMeessen, zal voor
de corcmissie helast met het besluur over deu we"
van Meessen naar IJpereu, publiek Yerp^uvor^
den, voor drie j3ieD begiunende met eersten April
1*28, het hefïen van het tolregt op gemeldeu
v eg aan de Paal het Staan-IJzer.