fcgniîe «il scqnîepar «a revoit*., la "droit de donner des lois et des souverains au Portugal lorsque I accès du Brésil est interdit au* lois et la dynastie portugai- ecc Snoposons un instant que don Pèdre fut mort avant son père, qui serait échus la nouvelle couton. re brésilienne N'est-ce pas au fils de don Pèi re l'exclusion de Jean VI, bien que celui-ci portât le titre d'empereur du Brésil? Celte exclusion aurait eu lieu en vrrtu do chartet>rériiiciirî€cî d:: traite de séparation du 59 août 1826. Pour que les choses fussent égaies entre deux états égalemsni indépendans il ta liait donc qu'à la mort de Jean VI sa succession revînt son fils non le Brésilien mais le Portugaisc'est-à-dire don Miguel autrement il faudrait admettre que I acte qui affranchit le Brésil du Portugal a prononcé l'asservisse ment du Portugal au Brésil. La raison et l'équité s'ac cordent pour décider que don Pèdre ne saurait être la fois le chef des dynasties de l'un et de l'autre pays. N0U3 ne nous expliquerons pas plus amplement sur la conduite do don PèJre envers son père, avant ia mort de celui-ci. Demeuré seul au Brésilet en qua lité de regentdon Pèdre a éiigé celle partie des do maines du Portugal cd souveraineté particulière, dont il l'est déclaré le chef. Un traité solennel a reconnu l'é mancipation politique du Brésil, et le nouveau litre de don Pèdre. Nous ne contestons ni l'un ni l'autre nous croyons même que le nouvel empereur du Brésil satisfait d'avoir réussi dans ses projets, ne se serait pas mêlé des affaires du Portugal a la mort de Je an VI s'il n'y avait été poussé par une politique tuibulente étrangère aux deux pays en un mot par la politique de M. Canning. C'est ce ministre qu'il faut attribuer les intrigues mises en oeuvre depuis la mort du roi Jean pour intervenir dans le Portugal l'ordre naturel de succession ail trône. De là cette constitution appor tée toute faite au Brésilet que don Pèdre semble avoir méditéeécrite et promulgue en trots jours seule nient do là ces actes de souveraineté de la part d'un prince devenu étranger au Portugal et que le traité de 1825 dicté par lui même. Au milieu du désordre crée en Portugal par M. Canning nous avons vu proclamer dans ce pays trois souverains ddférens: don Pèdre IV, dons Maria Glo- tia II et don Miguel 1er. Dans l'espace d'une année deux régences et plusieurs ministères se sont succédés. F.ofin on a vu cg malhoureux pays subissant la guerre civile et l'occupation étrangère. La mort du ministre angtois, auteur de tout ces rnaut. est venue apporter de grands chnngemens dans les affaires du Potlugal. L'infant don Miguel est sorti de l'espèce de captivité où il était retenu; il est revenu dans son pays natalqui a salué son retour par des dé monstrations de joie universelle. Les événemens qui avaient précédé la mort du roi Jean VI l'absence de don Miguelles actes de don Pèdre et ceux de la ré gence les discordes civiles et l'occupation anglaise avaient créé dans le Portugal uu ordre de choses qu'en peut appeler de l'anarchie. Dans ce moment le royau me des Bragances ne se trouveni sons le régime de ces anciennes institutionsni sous l'empire des nou velles lois uu'on a essayé de lui imposer. La tâche du jeune prince qui a pris les rênes du gouvernement pré sente donc de grandes difficultés surmonter. Les droits de ce prnee la couronne ayant été mis en doute il a pris la sage résolution de soumettre la diffi culté aux états du royaume, qui de tout temps furent appelés prononcer dans les hautes questions d'état. Nous ferons remarquer que ces états véritable repré sentation des intérêts dont se compose la monarchie portugaise après la mort de lean VI ne furent con sultés, ni pour le renversement des anciennes institu tions, ni pour l'établissement de» nouvelles. Les actes l'infant don Miguelbien différens de ceux qui ont précédé son retour n'ont aucun caractère de violence ri d'mbitraire. La sagesse les a dictés et bientôt les étais du royaume, exerçant un pouvoir légal et incon testable décideront celte question Quel est le sou- uerain légitime du Portugal? Ils diront également,si ce psjrs doit dire ré^i par deslo-j venues d'Auerique. et sur la formation desquelles aucune classe de Porta* gais o'a été consultée, ils diront enfin si le Portugal es; un pays iudépendaot ou une colonie du Brésil. 23ois son économique faite avec des cosses poids verts. Les cosses de poids verts contiennent tout de sub stances sucrées, qu'elle offrentlorsqu'on les met cuira dans l'eau une liqueur parfaitement semblable au moût de bierre, tant pour le goût que pour l'odeur; en mî'ant cette liqueur un peu de sauge verveine ou d* houblonet en la faisant fermenter, on obtient une boisson excellente. Le procédé en est très-simple je tez une certaine quantité de cosses dans un choudroo, recouvrez les d'un demi-pouce d'eau exposez au feu pendant i heures filtrez, puis ajoutez une quantité suffisante de sauge ou de houblon livrez ensuite la fermentation comme on agit pour la bierre. Vous don nerez plus de force votre liqueur si vous ajoutez une seconde quantité de cosses dans la liqueut obtenue avant qu'elle ne soit refroidie. ACTES DU GOUVERNEMENT. Par arrêté du i3 de ce mois, S. M. a nommé les officiers de la garde communale active dans les villes suivantes .- Courtrai. Capitaines MM. A. J. Bischof, F. D. J. GotlbalsL. Eggerroont et F. J. V'ercruysse, premiers lieulenans M VI. L. F. de BrabanderB. Voisin, II. J. van Lerberghe et L. J. Hocedez; lieu- tenons en second MM. F. J. de Coene F. J Ver- cruysse-Soete B. Singier P. J. Malfait, J. B. van Dale-Jocohz, P. F. Petit, G. Marne! et P. J. vaa Dalefils.' Osiende. Capitaines MM, B. van der Hcyde et A. Liebaert.- premiers lieulenans MM. C. de Ridder et II. Setruys lieulenans en second MM. D. LantzweertE. van der DeydeF. Verpooi ten et J. Brasseur. Mcnio. Premier lieutenant: M. L. van Swieten lieulenans en second .-MM, F. Casleleiu et V. Bour- gois Nieuport. Premier lieutenant M. J, Demazière lieutenans en second MM. 11. de Biouwere et L. Meyooe. Dixmude. Premier lieutenant: M. P. de Bruy- ne, lieutenans en second MM. Woets et C. WuU lents. Poperinge. Capitaines MM. J. van Renyoghe et L. Danneel premiers lieutenans MM. A. Ghe- loin et C. van Reuinghe lieutenans en second MM. C. MulsL. Cilliuu A. de Bruyne et C, Delbacre, lsengtneu. Capitaines: MM. F. Ameye et P. J. Leftvere: premiers lieutenans MM A. Angillis et P. J. Beellieuienans en second M M. P. Geilyntk, P. vaa MeliaertsE. de Vos et F. Maes. Wervicq. lieutenans en second: MM. J. de LaereptC. Delefortrie Annonces. (86) Dinsdag 17 juoij 1828,01010 uren des voormiddags in de groote Sacristie van Ste.-3Jaer- tons Kerl te Yperen, zal dea Raad der zelver kt rk openbaarlijk verpacliten het reçût op de sloelea aldaar vour 18 rtaareenvo'gende maanden iategaa» 1 Julij aanstaanda ingevolge de voorwaarden rus« tende ten k.intoore van den Notaris Vandermeersch. (87) Zaturdag 14 junij 1828, ten 2 ureu oa middag in de afspanning het Zwaard op de Groo-e Maïkt le Yperen, zal door het atnbî vao den Notaiis Vandesmeersch openbaarlijk verpacht worden voor 9 jaren integaan 1 october naastkomeude eene zeer schoone wel bebouvvde hofstedo groot onder vetie gras, eo zaatland 27 buuderen, t.j roeden 18 ellen gelegeo te C-vereu palende z tid aau het dorp Rousbrugge west aan de straat heieii d« naar Beveren, en cost aan de rivier den Dyser, thans ia gebruik b j de weduwe van Pieter-Jacob Candaele*

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1828 | | pagina 4