ItOlâSÂl1® «m®VAS. rmœs. PUMR iD E S. Janvier, i85o I PAR AUTORISATION DE BL LE IlOr LA VILLE. ÏSÏ EKfEÉ R. PAYS-I&V& r Yprèsi3 jan fier. Le message royaldu 11 décembre» dit Le Cath'otiqua, dans sou n° du a pa rait destine |>atcourirvtoute l'éclïtJMé àdmîriis- irativedepuis l Excellence qui l'a coin u et rédigé, jusqu'au plus jîuiublucoroiiiis-surnu méraire. Ôn l'a expédié, a tous et partout, avec uue circulaire plus où nioins pressante. Les principes de ce documenl royal doivent, désor mais, former un di oit public a pai'fr uti supplé ment la loi fondamentale, l'usage seulement de ceux qui se trouvent engagés dans lés rang* du pouvoir. Nous auïows deux manières de chartes; savoir: l'une pour les PAYANS et l'autre, avec appendiceppur les l'A Y ES. Le ICamuro'os j «lit le même jAuiD.il dans un article que la Gazette des Pays-Bas a complaisaruin'eut répété ci oit qu'on n'a pais encore fait asSez. Il voudrait qu'on lui le mes sage en présence de la uuihitude et qu'on l'ailtchât; Nous proposons en outre, qp'ou le grave sur des labiés <f airain, ci que tous les citoyens soient tenus de le réciter, en entier par coeur, dès qu'ils demandent uue plaCe, Naguèrepour discréditer les pétitions, le mi nistère et ses organçs disaient que les principes d« la responsabilité ministérielledë la libellé de l'instruction, etc., né sont pas la portée des pétitionnaiieS; Aujourd'hui on demande des contre*pétitions'sur les mêmes Objets, et l'on adresse uue interprétation de la loi fondamentale aux employés les plus infimes, en exigeant d'eux une pioiession de foi politique. - Les journaux opl publié les circulaires des gouverneurs des deux Flandres, de Liège, du Hainaut et du Luxembourg. Celles des gouverneurs du Bra- bant méridional, du Linibotirg, de ÎNapiur, ne sont pas encoie connues. On est étonné que'/a Gazette des Pays-Bas n'ait pas encore pu blié lé tëxte de la missive de M. van dfcé Fosse, oncle*d'e M' de La CoSt'e. - La palipe d'Auvers a» faii'défehdre, sur le théâtre de la' ville br.répié- - sentation de Pierre cfû Portugal tragédie dé JYK Lucien Ârnault, Monsieur Glorieux de Coartraico'ttrttr, datis le motidé politique par ses uombreuses jxHiiions, vient de prendre rihitialiveven sous crivant pour 5b fldrins', etl acompte d'acquil- tetnenf dés douitnag'es'-iiitéièts, monta ni tl. 3,bbo-oO-, auxquels "éditeur du Catholique M. de Nève,, vient1 d'être condamné, dans son procès avré MM. les*bui»rgmestre, éclievios et sëcfëtaii'è d'e Wérvicq Flandre occidetit aie parla cour supérieure tfé justice, Bruxelles t clLmbre d'accusation. -- Un si bel et phi- labUiro^iiqne exemplfe rié mabquera point sans dottife',' 'd'iwit'alVurs;- et*, comme dire nouvelle souscription expiatoire se présente., ttes-na- itiréllemetit dans l'espèce, tout nous portteiàrr (boire que la* ville d'Y ptes aiïsbr tiendra lion»— ùeOr et devoir de se rendre, de plu» en plus-, digne etes ovations' landatives du Journal Ca~ tholique. eb présentant des le premier appel de M. Glorieux, une I gne parallèle de souscrip teurs pour l'amende nu ourue, égale, au moins, ouX 1,18<) (inlrà mutas extra mur os et $t-Jièn-îez-Ypres signataires* de la pétition en redressement drs griërs; - V. le Propaga-* leur, n° t itîB. Noos recevrons, au bureau du J oukfsir. les souscriptions ou dons destinés l'acquittement de la pei-Te nationale libellée, au budget expiatoire, par M. tiknieux. - La belle littérature fait des progrès rapi des, même dans les provinces les plus eioiguces di* la lui.s sic. Il y a aoatis, qu'il n'existait [ras uiie setde imprimerie darrs la Sibérie orientale; et, depuis iS 16, paraît, Drasuoyarskcapi tale do gouvernement de Féoisér, un almanaclt dhS muses, avec des gravures, publié par t\L lwaii Petrow. La poésie doue pénétié dans le pays où le Dante plaçait un de ses enfers. Le Belge demande s' il est vrai qu' au dernier LartqifrC roaçonniqtie les frères indèpendans il i eût, pour plaire an prince de longs discours dont le but était de prouver que le gouvernement doit etichalnèrde plus eu plus, l'instruction, pateeque par la liberté d'enseigner, s'inléo'Juiraiefh les jésuites et que la présence de ceux-cisur la terre hospitalière et classique de la1 liberté, y serait la tutue de la franc - nia çonnvrie? Nous- répondons an Belge que la chose est très vraisemblable, puisque la- loge de Liège a-offert leûiême exemple, avec cette dilféience que lit liberté de l'enseignement a trouvé un dé fenseur dans uu lière réellement indépendant. i, Courtier de la Meuse. Il ne faudrait pas conclure, de cetre obser vation du; Courriel dé la Jileu.seque 1* ques tion de la liberté dé l'enseignement ne trouve rait* qw'un srul défenseur dans la iogede Liège: il s Vu présenterait d'autre;au besoin,- et. si U' discussion dont parle le Courrier n'avait été Close subitement, nous savons? que plusieurs frères; proposaient, de prendre la parole, et de se joindre l'opinion du jeune et éloquent champion des vrais principesde tolérance et de: l'ibene. - (Politique.) - Le- .juge-<le-paix Desseillecondamtué aux assises d'octobre, la dégradation civique, pour extrajliiilion arbitraire, s'est pourvu en grâce: ou nous annonce que plusieurs commu as du caulou de Couviu oui adressé uue requê* 0 1197. ~XIlIme année. FERMETURE DES PORTES DE LA VILLE. Du 1 uu 16 Janvier, 5 heures. ofiticpte» j ÏÏjiui'iciaito eu Colauaf. Le 5> janvier r477*Mort de Charles le* Ténié— ■aireduc de Bourgogne. Ce prinoequ'une am- lition insatiable dévorait voulut s'emparer dé la' luisse pourla réunis*' sej' états et pèérttlrfe éiissiitc e'tître dé Rfoi mais il ééhoua'dàhs l'un et' l'ahtre irojetl: il'éprouva-, la- bataille'de Granson et «lie de Morat que ce n'est- jamais iinpunésnent ju'On attaque un peuple libre il fut battu par des faysans armes-à la hâte et périt même de leurs nains sous les msirs dé* Nârtcioù'ils H- poursuivi- ifeTit. 6'iG4y Louis XIVencore snineur st obligé dé fiiir-de'Paris: C'était le temps des'trou- îles de l'a- Ftonde la Reine ne pouvait paraître en ublic sans'ëtre outragée elle s'enfuit arec ses en- ins son ministre, le duc d^Orléans', frère de Lduis atr, le grand "déridé elfi alla'à'Sâitit-Gértriuisi'- n-Layé', ou pèeAquP toute'la; Coàr coslbba-stté la' »rpâil1ei 0n; fut obligé" de;mettre en gage vciibà des isuriers",; les piercuriei de la couronne;, le Roi uêsne manqua souvent <ju nécessaire y i68y,. facques II, Roi d'Angleterre, chassé de se's états >our avoir voulu une rontre-réVidutûjrl af'rrive if. Germain où le Roi de France'lui'allait fàit prfr^ >arer un logeaient digne'de son- rang. A'-Paris,-il •tait descendu chez les jésuites étant jésuite lui- nême: Cette circonstance était nàtu relie -mais tes >ons pères par les conseils desquels il avait perdu ton royaume'; ne'purènt le" lui faire recouvrer. j, 1799. Prise de Gai?te'par lè général Rfcy*. Dutdts que l'atiriée française s'avatlçaitisur Naplcs aqdaee de Gaiite défendue pat uiie farté garnison' ;t une nombreuse artillerie paraissait devoir op- >oser une- longue résistance. Le général Rèy s'en ipproche la tête de 4°° bommcs'j et fait iàn'cer quelques ob'iis s(ir la ville. La tèrreuT1 s'empare dé là garnison et' dés-htobithnfey et le t^iuverneur de— Mandé' capituler, ga*bouches à- feu ao,000 fu sils etc.restèrent en son: pouvoir.-1-^, 1812. Prise de Valence en Espagne, par le maréchal pucliet. Dans le dessein d'assiéger cérte vilife, le' JîarÊcltal pafse le" GuadaiâViâr', prend pdsitîon et' ^(-rtirèéhc'e" lé' bontbardeinerfti Dans l'erpnod'dfei trois; pMàrs' et trois nuits y 27,000, bombes turent jetées Bans la ville et y allumèrent de vrolens incen dies. Le génÉral Blacke jugeàrfT qiM toute ré sistance serait inutile rendit lapllâètf qUi rth- lermait'16,000 boùtn'i'es de g'ar'nisori*, 2ù:générailit,- 674 bottcHes sr lèât -ct' 21 drapeaiii.'- 1797. jt Siégé et reddition'du-fuit de Ktih 1 sur le-Rlun. Tn '79^' 'a '"épubliquet.française-avait yiois ar- mécs principales. Celles de' Sambre-et—Meuse et de R.iiin-el-iïosellc ayant pénétré dpns l'Atlleiuagfle C-'T"' "l'''er "dr Kebl et Htinirrgué, que l'ai- ebidife Cliarlés-vitit:assrégc'r. AprèyiCititjuallte jour* de tranchée ouverte et cent' quirize j<Kirs d'inves tissement les ïran^ais évacuèrent-le fort, qui n offrait plus qu'un auras de ruines et de décombres -- il.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 1