o de la nation: qtfi. ne peut y avoir de doute a er< g*rd: que ce som «mssi leurs joui .«ux «qui s ont L.i plus répandus,et qui coiiijrteul le plus «le leck tus» dont ^rand bien leur fasse.)Violations oc la loi fondamen tale Le Courrier de l'tuscaut a dans un sei ie d'articles, examine ie fauieuX message du i décembre Nous lui empruntons la iisle Suivante des nombreuses infractions faius a la loi fondamentale. Nous nous bot lierons a la citation .les articles.k-sgriefs eu découlent d'eu s-mêmes. Lis articles eutiemts sont les suivaus: 4 9 11 e ^7' 68,, io5, 'ds, i33, i3 i145151ibtio5tdo, 167, 175, -76, 177, 173, 179, 1*0,^ 161, i85, 186, 191, 192, -97, 207, ai3, 2ï5, 226, 227, a3ox3i, a.i'2 et l'art. 1 addit onuel. Autant valait citer toute la charte constitutive. 1 Cette liste, déjà si longue ajoute le Catholique -n'est pas complété. La't 94 a ete lecemm ni violé nar l'an été Briigmaus; et Fontein erschuirsans doute j l'art. «57, par la dépêché ministé rielle qui a permis, aux régences, de percevoir des impôts, sans l'autorisation îles éials-pro- vinciaux. Ajoutez que la loi fondamentale considérée dans son ensemble ce que nous disions tout l'heure est violée par la dociiitie sur la" non division «lu pou von la non responsabilité ministérielle, la nature et l'origine dt la loyauté. Le Catholique termine ainsi, dans son n* i 3 un anicle des plus torts intitule: Ils X. e.SFRIT PUBL1". EPI BELGIQUE pal 81A B Ut là, niessag s et cnculaiies, nieicu laies et destitutions invectives et patrouilles, plans contre la liberté de ia pi esse et celle de l'm ruction; et de tout cela que résulieia 1 il? Que ceux-mêmes qui vivent, directement ou indirectement, du budgetse sépareront tu deux catégories:quiconque a cous rvé quelque étincelle d'honneur se rappellera qu'il est Belge, et le leste ne lardera pas se detacirei de ce qui droit crouler. Lorsque le degel arrivera les neiges, qui couvrent l.i terre en grandi quantité, ne pout- ronl s'y imbiber, attendu qu'elle a été gelée, d'abord, a^sez profondément. Toutes les eaux iront donc se reunir dans les vallées, et il est àcrai idre qu'il n'en lésulte de gianos malheurs. P au s'en garantir les communes menacées po udont, sans doute, toutes les m. suies que la prudence indiquera. O t a calculé que les appnintemens réunis de Mesdames Uainoreau, Malibi an et Sonia" I 1.1 i! ois oeielnes cantatrices, ne s el. Valent pas moins de 2 1 3,000 fisans complet les en. ges productif» qui leur sont annuellement accordes. A l'occasion du mariage de l'empereur du Brésil, on a chanté a Rio-Jai éiiio. un Te D K-'tm dont la musique a été composée par ce prince qu'on dit grand musicien. Un fiiceatnif de sa pairie, a offerten don, I Orptianolru/ihe160 volumes d'ou vrages gn-es, français et allemands, parmi lesquels se trouvent quatre ntitogi aphes, de l'aichevëque Eugene, de l'offrande de deux images de la Madonad'un tiavailexquis l'un d'argent et l'autie de vermeil On montre, Londresen ce moment un bœuf monsti ueux. pesant 42b mille livres, haut de 17 pans, 4 jx>uces-68 p. et long d'à peu pies, 1 1 pieds. -- Il paraît que de graves discussions se SOul, de nouveau, élevees entre le duc de Wel lington et un giand personnage liés-bien vu de b. M Georges tV Le roi s est mis a la ti a— vnie S G dans sa toute- puissance, ne ci aint pas sou noble aulagonisle; mais celui-ci le menace d'une disgrâc a la cour Cet événement a donné lieu au biuit qui a ouiu d'un chan ge tuent de ministère: mais il est prematuté. Ou est certain que le rot a dit 81 je fats usage dp ma prérogative, je puis déplaire la nation? que le parlement se piououce, je verrai ce qu'il y auta a faire. Les diplomates anglais ne sont pas contens du discours du présid 'iit des Étals-Uuis, et les marchands votent que ces anciennes colonies n'oublient pas, lout-à-iail la bienveillan ce passée. Une lettre, datée de Vienne, le 20 dé- cembie, dit; <c On vit nt de trouver, parmi les papiers d'une daine qui est morte depuis i5 jouis, unelelt e adressée elle, par Napoléon, en 1808 et qu'on dit etre fort intéressante. Les lieritii de la defintte ont vendu celle piece, M Voss, pour une somme île 200 tl mus. Les |Ouiiiaux qui se 1 écrient tau 1 contre le choix du pri o Leopoid de Saxe-Cobourg comme 101 île la Gieee, oublient ou ignorent un fait qui prouve que les G>ets ne pensent pas, connue eux sur le compte de leui futur souverain Des 1 année 1824 des pi impositions furent faites, au prince,au nom desGiecs, par les députés gt es, alors Londres. Nous tiou- Votisce f iitcoiiiigne dam le British Monitor. Le Journal des Débats le révoqua eu doute alors; niais le journaliste anglais en appela aux depiiies de la Giece quise gardeieul bien de démentir son assertion. lit si donc évident que les puissances n'au ront pis eu dans cette .tflaire, l'initiative que les journaux libéraux leur attribuent elles n'auront fait que leahser uu vœu des Giecs exprime en 1824 1 Gazette.) L' presidt nt du tribunal de Gten v Loi ret M. J -G. Fiappier de Jeiusalem, a adressé, le 3o décembre, a l'édileui du journal de cette ville, un avis insérer contre ce qu'il appelle l'inconvenance des visites que les plai dent s font leurs juges, et contre les solliciteurs gages Jf t tisag. «lit-il, de cbeicbei a pro voque! d'avance, l'intérêt de ses piges, doit cesser. Le plaideur s'abandonne a des derai- confidences,eu taisent on trahissant la vente. Souvent il tire sa confiance de sa position so ciale, ou de reconiinandalmus empressée», Lie telles visites, et toutes les recommandations qu< i que soit leur auteur, sont des pieges ten dus l'imparlaliié,el autant d'injur s faites au magistrat. \l Frappiei déclaré qu'il n entendra aucun plaident ou s dliciteur, sui uu procès né ou a naître, auiietn.Til que par des mémoires écrits et signes qu d communiquer.ceux con tre qui 11» seioiit duiges. 1 Bel exemple imiter. -On voit, par une statistique des possessions de la compagnie anglaise des Indes, que. ses teii nulles ont une étendue-de 1 18-,170 mil les caiies, couvrais de 128,388,926 habilaus. Pour gouverner ces vastes contrées, la com pagnie emploie environ 4u,0oo Anglais, dont 2,000 sont pour l'administration et 3oO pour la justice; 7,000 sont maichands ou marins; et le reste, pour la piupail, des militaires. Ges dernieis ne foimeiil ne le noyau de l'armée, dont le reste consiste en 3oo,ooo Hindous. Les lev.-nns des trois lesidences de Bengale, Bombay et Aladias sont d environ q65 rail lions de francs par an. L île de (Jeylan n'est pas compi ise dans les possessions de la com pagnie de 1 InJe elle appailientau gouveine- m nt britannique, qui la fait administrer pour son compte. M. M -A. Paschier, de Genève, qui y a t.nu, avec succès, un cours de litteiature hançaise, vient d'en ouvrir un Berlin. L< roi de Piussea conféré, aux feld-maré- cha 11x1 uis s, comlesdeDiebiisch-Sabalk nsky et Paskewi h-Érivansky, l'ordre de l'Aigl.-Noir, au e mi' 1 avec des insignes eu diamans Uepuis quelque! iutr* les amo issa deurs de France et de Russie ont eu de béquenles commit, "talions/ «ntie eux a Lonnit». L'emp aeui de Busste, par une abnégation qui lui fait beaucoup d'nouueurquand ou •onsidère sa position, a, dit-on, refus d'in tervenir daus Lelec.iou du futui souvcraiu Je la Grece. Le choix est doue resté entre la Fiance et l'Angleterre, qui, d'après ce qu'on assureont designé le pi h>ce Léopold. La feuille ilnlind contient un appel aux Bavarois, dans lequel ou lit, entre auues, ce qui suit La culture morale et religieuse du peuple, et la propagation des connaissances nécessaires et utiles ses différentes classesforment les seules lumières pures et véi itablesainsi que la force et la dignité des états. Aussitout gouvernement eelaué a toujours considéré les etablissemens d'instruction publique, comme uu des objets les plus importans de ses soins. Mais, pourproduire les effets, ces établissemeus doivent eiubiasser, nou quelques classes isolées, mais toutes les classes du peuplemême les dernieres-La Bavière n'est point restée en ar riéré, a cet égaid mais uu grand obstacle l'empêche encore d'atteindre parfaitement le but: c'est la pauvreté des instituteurs primai res. Non-seulement en Bavière, mais presque dans tous les pays, leur état de détresse met un grand obstacle l'instruction du peuple, et donne lieu a de justes plaintes. Suit un appel de confiance au zèle et l'esprit public qui régnent en Bavière, pour tout ce qui est véiit iblemenl utile et une invitation de former des sociétés, pour améliorer les fonds des écoles dans les campagnes. -Il est fortement question de reprendre l'ac cusation contre les anciens ministies, et de re nouveler les propositions faites par MM. Lab- bey de Porapieresel Lusebe Salverte. L'intime liaison que al. de Folignac paraît avoir contrac tée, depuis peu, avec M de Peyroouet, a don né leveil aux honorables accusateur» ils sont tous prêts demaudt r une seconde prise eu considération, et u'alteiident, pour cela, que le moiU 'iil où cette liaison suspecte prendrait un caractère clairement politique. trance Nouv. On assure que S A. R. le prince d Oran ge n'iia pas habiter la résidence de Soestdyk durant l'été piochain, mais passera la belle saison, au palais dit du Boisprès La Haye, afin d'être plus portée d'assisitr, comme vice-président, aux assemblées du conseil d'é tat. L'arrêté royalrelatif des démissions et un retrait oe pension, est du 8 de ce mois. Voici une traduction de son préambule, tel que nous le itou vous daus la Gazette de Rotterdam: Nous, Guillaume, elc.-Consîdéiant que les circonstance* qui ont précédé et accompa gne les délibérations leceules sur les budgets, tendent, de plus en plus, prouver combien il impôt te que 1rs fonctionnaires de l'état, ru général, et ceux qui occupent des places de confiance en paittculier, soient dévouéssin cèrement et avec zele, a la marche, aux vues et aux piiuctpAS de notre gouvernement, le soutiennent vaurstaan et donnenteu ceci, l'extmplr leuis concitoyens. - Que cela est également du devoir non seulement de tous ceux qui se trouvent places sous de tels rapports, mais même abso ument indispensable la conseï vation de la foree nécessaire au gouvernementet au maintien intact des insti tutions constitutionnelles - Que, cependant, les circonstances sus-énoncées, nous ont, notre vif regret fourni l'expérience que quel ques fonctionnaires, des oliiciers de notre mai son, et des personnes jouissant de preuves par ticulières de notre faveurontdans leui con duite publique, manifesté une aversion abso lue pour les principes de notre gouvernement. -- Considérant que, bien qu'il s'en trouve, parmi eux,qui étant, en même temps, membres des étais-géi érauxconservent, comme tels, la compétence constitutionnelle et indépendante

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Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 2