AXXQVCES. de manifester ouvertement leurs sentimrns, l'égard des projets en deiibeialion ces senti- meus, néanmoins, des qu ils sont eu opposition avec les piincipes d'un gouvernement que, connue fonctionnairesil convient qu ils défen dent, el fassent respecter par leuis subordon nés, et soutiennent comme particulièrement favorisés, ne peuvent nous permettre de conti nuer leur conlier l'exécution de nos ordres, ni leur laisser la jouissance de notre faveur. -Ouï les chefs des départeruens ministériels avons trouvé bon et enteudu sauf les disposi tious ultérieures verdere voorzieningen auxquelles les considérations ci-dessus pour raient donner lieu de notre part de révoquer, comme nous le faisons par les pré sentes, les nominations de etc. La même feuille annonce qu un arrêté royal a supprimé le collège pluiospliique. Ou dit que M. Saudberg vient de recevoir Sa démission honorable de gouverneui de la province de Liege. M Saudbeig est nomme membre de la première chambre. Courrier Universel. Ou lit, dans le Catholique que les cir culaires n'ont pas produit l'élit tqu'ou espérait. Un très-grand nombre d'oliieiers de l'oidre judiciaire en a simplement accuse la réception; d'autres ont répondu qu ils connaissaient leurs devoirs, et sauraient les remplir: plusieurs même n'ont rien répondu du tout. Quant aux bourgmestres, on a bien fait de ne pas leu. de mander d'adhésions formelles les refus eus sent été unanimes, dans la plupart des provinces. Voici quelques reflexionsextraites des journaux de nos provinces sur l'arrêté des des titutions. Le Politique-. En tout pays, le despotisme est condamne passi r par les mêmes phases. Nous voici arrivés celles des épurations: la France a passé par làsous M de Villéle; l'Es pagne, lors du rétablissement du pouvoir ab solu. Les députés fonctionnaires dont on an nonce la destitutionse consoleront facilement, sans doute, de la disgrâce du ministère; quand od a, pour soi, la voix de sa conscience et la re connaissance de sou pays, on peut supporter avec quelque résignation, la defaveur de M. van Maauen et des siens. Nous regardons, nous, comme un grand bien, pour le pays, que le despotisme minis tériel soit forcé de se dessinerde plus en plus; de confesser, chaque jour, que touie torce morale lui échappéet qu il u'espère plus, que daus la dernrere ressource des violences et des menaces. Le ministère déclare, aujourd'hui, que l'opinion lui est tellement contraire, en Belgique, qu il n'a plus même d'appui dans la Conscience de ceux que ses faveurs devaient le mieux disposer sou égard, (Lasuite aup.n*.) L'épouse du sieui de L., de celle ville accouchée de 5 6 semaines, voulut, ces jours derniers, faire une course en traîneau avec son mari. Sur l'objection de celui-ci, qu'ils ne pou vaient laisser le nouveau-né seul au logis, M™* de L. trouva, aussitôt, l'expédient de prendre son nourrisson avec elle, ajoutant que, pour le garantir de l'intensité du froidelle les réchaulferait, couvert de son manteau sur le giron maternel.... La course eut lieu.... Arrivés sur la Grand'-Place, le couple voya geur descendit au cabaiet la Lune.... Déjà Mm« de L. se préparait montier le nouveau- né l'hôtesse, lorsque celle-ci ci ut s'apeicevoir que le nourrisson était mort Helas ces craintes n'étaient que trop fondées!... Le pau vre petit innocent avait été asphyxié par le froid!... Que l'on juge du désespoir des parens, dont, il faut le dire, l'imprudence, in volontaire, sans doute, a eu des suites déplorables! Les moindres notions d'hygiène oude météiéologie leur eussent épaigué d'cteruels, mais trop tardifs regrets. -- Le Courtier de la Sambre publie la circulaire adressé, le 18 décembre, avec le l 5 message du 11, par M. d Omalius, gouverneur de ta province de Nanaur aux chefs des admi nistrations municipales; celte circulaire res- srmiile celles des tpiuverneuis de Luxem buuig, de Liege et du llainaur: le gouverneur, sans exiger d'adhésion toimeiie, connue ia exige M. van Maaueu, des oliiciers du pairjuet du aux bourgm s res Vous trouverezdans le message, la ligne tracée, d'après laquelle vous devez vous diriger, relativement a plu sieurs questions de haute-politique et d'ordre COMSlllUllOliUcl. UTILE EXEMPLE. Le différend entre les chapibres et le ministè re beige a eu le dénouement qu on pouvait pré voir; la aussi le ministère voyait un crime de lèse-majesté, une subversion sociale dans le rejet du budget, refuser le budget, ce n'était plus agir daus un système pari inentaire, c'é tait se Servir contre la monarchie de la consti tution oclroyee par elle; c'était se jiler hots des voies constitutionnelles, r.l force le gouver nement lui-méiue d'en sortir 1 idee d'une loi transitoire pour la perception de l'impôteu attendant la conteciion d'un nouveau budget, n était point admissible,* le gouvernement u'en voulait pas; c'était par d'autre mesures qu'il pourvoirait au besoin de l'état, si ou l'y forçait. Tel était lelangege ou ministère belge;l'appui de ces menaces, ou pat lait d'un emprunt oflei. parle commerce d'Amsterdam. La chambre ne s'est point iuumidée; elle a fait ce qu'elle a cru être conforme aux intéièts qu'elle représen te elle a rejeté le bu lgel des voies et moyens. Celte résolution semblait apjieler l'exécution des menaces tailrs par le ministère; mais quand vient le moment d'agir, ou y regarJe a deux fois. Le dejjit ministériel a dû ceder devant des intérêts plus graves; une loi transitoire a ete proposée; elle a offert desomelioratioi s que le budget laissait a desirer; elle est proba blement adoptée maintenant. La chambre et le gouvernement n'ont pas cessé d agir suivant les lois du système représentatif. Maintenant est-il quelqu'un au monde qui s'avisera de penser que ia dignité du Roi des Pays-Bas a souffert le moins du monde dans tout ceci Ce prince a fait preuve de sag -sse de fidélité ia constitution qu'il a juree; il s'est honoré aux yeux des hommes sages. C'est une singuiieie idée que celle qui fait consister la dignité d'un piince constitutionnel dans l'ex ercice des pierogatives d'un pi ince absolu Nous sommes poursuivis depuis quatre mois par ces absudes prétentions. Que devient, nous dit-on, la dignité de la couronne, si elle a l'air de ceder devant les chambies? Elle devient ce que la constitution a voulu qu'elle devînt. Cette constitution a limite les droits de la couronne, lui a imposé des obligations, et lui a en retour confère des avantages. Eu se prévalant des avantages, il faut respecter les obligations. Si, comme ou le prétendces obligations soiji con trait es la dignité de la couronne il ne fallait pas les contracter. La couronue alors s'est dé gradée le jour où elle a jure les conditions dont on veut l'affïanchir. Elle ue se dégrade pas, elle s'honore aujourd'hui en restant fidèle ses engagemens Eu acceptant les garanties d'ordre et de stabilité qu'offre le régime constitution- n l, il faut renoncer aux petites glorioles de l'absolutisme, il faut Se résigner voir le gou vernement passer en grande partie dans les chambres, car en deliuitive le vole des subsides et l'obligation pour le ministère d'avoir la ma jorité ne sont autre chose que la constatation de ce fait. C'est ce fait que le roi des Pays-Bas a su comjHendre et auquel ses ministres ont été forcés de rendre hommage. 11 en sera de même paitout où les chambres, renfermées strictemei t dans leurs atti ibuiions, exerceront dans toute leur étendue les droits qui leur sonf conférés, eu ce consultant que l'iutérê^ du pays, et sans tenir compte des séductions ni des menaces. Echo au Nord. to. GEST1CH f TE MEESSEN. l'oeivyziag by stfslag. Den dingsdag 9 February i83o,desvoor rriiddags teri 9 uirn,'zal in de zilting-zaal, van bel gistichl le Meesseu vooidgegaan wor- den aan de toevvy/.ing by Afslag, der voor den dimst van liel gemelde geslichlnoodige voorwerpeti gedearende bel juar i83o. te weten: 83 WiUen-wyn. 1® 2' 3° 4° 3" O G i st. fur we. ioeich. Buter. Zout. Bier Azyn. Hier. (j> Zw'-trte zeep. io° Stcenkool. il3 Houtskool. 12° GezuivenleRaap- Zuad Olie. i3° Kaarsen. Nadere informatien ztjn te bekomen, teti kauloorc van deu Notai is TUEE 1 EN emerv séciétuiiaal, van bel bestuur van 't gemeWtf Dat rnen het voortzegge. gesticilt. ii. COMMUNE DE WARNETON. Sur la pâture occupée par la veuve Pierre JPerquin, le long du grand chemin de War- 11eton a Neuve-Egliseprès le ci-devant ca baret le Rossignol. TRES BE TUX ORMES, dune forte grosseurpropres toutes sortes de gtands ouvrages et biulerau nom bre au moins de yo marchés vendre Le jeudi 28 janvier i83o, dix heuies pie'- cises du matin, on vendra sur ladite pâture, publiquement au plus offrant, les Arbres sus— énonces des conditions favorables et terme de [payement moyennent bonne coution. Le 2omt dernier et 3 florins par marché payer comptant dont 2 flonus valideront sur le principal. JMtr« DES1MPEL Notaire audit Waruêton est chargé de celte Vente. On y invite les amateurs. 12 Dingsdag 2G,trn januarij i83o, ora 12 un a midiiagzal nieu openbaarlyk vetkoopen, ni nigvuldige zwaare iepen staunde op eene grasweide, gebruikt door den mulder van Elslandegelegen te Reningh Ist, aan de grenz< n van Lokercn, lusscheo de hofplaatseu ôer bofsteden van sieurs Rykevvacrt en De- coninck op deu voet vau den Scherpeuberg, bij bel deel der Belle straatleidende van de Kiijttecappellc naar Lokeren. i3 Zaturdag3o januaeij i83o, len 1 uren na nuddagter zitting van het Be stuur der Durgerli/he Godshnizen in het Belle Godshutsin de R jsselstraal le lJperenzal overgegaan tvorden loi de openbare Perkooping van de naschreven par tien Boschtailhe en Plantsoenen. ZILLEBEKE. Het Hakhoet, staaride op eene partie boscli- land genaanid den Hoogeu Dorp. uj iioogen- donigrool 9 B. - 91 B. - 86 E bij bel i'ap- potjeu laiigst de straat van Zillebeke naar Zandvoorde verdeeld in 8 bestekktn. WYTSCHAETE. Het Hakhout, ter uitzondering van al het eikenhout, staande in tvvee paiticn bosch ge- uaamd de Belle- Akkers, t'samen groot 69 R. - 47 ellea, met 5o schoo. e Ptautsocueu,

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 3