d riièrc, et a perdu près de cinquante onces de sang,avant qu'onatt pu vaincre l inflamma tion, laquelle, nous nous félicitons de pouvoir l'ajouter, a fini par ceder tuiieremeul. Nous avoAs auiani de loyalisme que ijoi que ce soit et nous faisons les vœux les plus sincères pour la sodé du souverain; mais nous ne donne ions jauais la main a des intrigues, qui n'uni, pour Lut, que de duper, etpai cousequenl de trom per le public La souveraineté projetée du prince Je Co- bourg éptouve la plus v ive opposition de la part de la Russie. Aussi, assuie-l-ou que S. A. S, a reçu l'ordre d'être malade, et de déclarer, au besoin, que l'état de sa sauté, et son autour du repos, ne lui permettaient point d'accepter la succession des Paléologues. LeMorning- Chronicle, dit le Morning- Journala aunonce que le prince Léopoid avait refusé la couronne de la Grèce, et qu'il préférait une vie domestique, aux troubles de la royauté. A celanous répondrons que le prince Léopoid a refuse la couronne, comme le teiiard de la fable n'a pas voulu louclser aux raisins. On a vu que la proposition de la cou ronne déplaisait un grand jiersonnflge que si l'on persistait, elle eut clé tuueste au minis tère français: en conséquence, le prudent gé néral anglais a sonné la retraite, et a engage l'aspirant au trône prendre, sur lui, la respon sabilité de celle déconfiture diplomatique. Au moins, telle est l'interprétation générale de 1 in génieux article du Morning-Chronicle, pu bliée par ceux qui déclarent voir clair dans Cette affaire. Un journal du malin contient un sot ar ticle, qui paraît venir d'une soin ce étrangère et d'après lequel les ambassadeurs des différen tes puissances auraient soumis, au prince de Melleriiicfila réponse, de leurs gouveruemens, au sujet de l'élévation du prince Léopoid lu souveraineté de la Grèce. Lu réponse cette sottise, il suffira de dire que l'Autriche n'a pus participé aufruité relatif la Grèce et que ni la Franceni la Russie, ni l'Angleterre n'ont jugé nécessaire de consulter un gouvernement qui, nou-seulement n'appartenait pas aux puis sances contractantes; mais qui a employé son influence, aussi long-temps que possible pour embrouiller et annihiler les négociations. L'ar- r> rangemeut en question ne regarde pas plus M. Meltemich, qu'il ne regarde le roi d'Lspague, ou le dey d'Alger. Le rédacteur du Nouveau Phocéen condamné par la cour royale d'Aix a deux ans de prison s'est, dit-on, embarqué pour les colonies. L'arrêt de la cour, qui était par dé- laut, est devenu définitif, parle refus de com paraître, sur l'opposition.- EchnP rovençal.) C'est par etreur qu'en annonçant le nia- liage de M. Gcorgas Washington avec Made moiselle Sferzozion a dit qu'il était pclil-li!s du grand Washington. Le général est moit sans enfatis. Celui dont on a parle est fi s du général Greene, et potle le non de Geoiges W asliing ton-Greene. M. Boshrod Washington, juge la cour suprême des Etats-Unis neveu du général Washington, est mort dausle courant de no vembre. -- La Pandore s'occupe aussi de l'élection qu on suppose devoir faire, Lille, pour le remplacement de R1. de Bully Voici en quels ternies s exprime le malicieux journal: -- On s occupe activement, Lille, du remplacement de M. de Bul'y, assez indisposé, pour ne plus reparaître la chambre. Les candidats qui se présentent sont M M. Dudon et Beaudon. S'ils imminent M. Dudonles électeurs du dépar tement du Nord ne feront pas, la chambre, un beau don\ si c'est M. Beaudon la I'rance ne les remerciera pas du don. -- oici en quels termes le Globedans un ong et mtciessant article.Session paouixisE conclut ce petit manifeste anti-ministcYul: «Que dirait un juopriél.fiie, si, inlt riogé sur sa gesiion, nu intendant lui répondait.-- Vos clian.pssont en friche, vos troupeaux pais- sent au hasard,* vos voisins vous insultentet «se moquent de vous; vous n'êtes, pour chacun qu'un objet de railla le et de pitié mais je n'ai pas encore hiuie votre maison. En attendant que la fautaisie m'en prenne conservez îuoi votie confiance et nies liuite- meus. Jusqu'à présent, je n ai tien lait: donc, j'ai bien fait. - 11 a paiu, dans le temps, Bruxelles une lithographie sur l'urbanité avec laquelle on a traité M. Fontan en véi lu de l'ai ticle 4 de la loi fondamentale. Deux maréchaussées a pied conduisent cet homme de lettre^ au lieu où fia envoyé M. van Maaneu. Le temps est horrible*, la pluie tombe par'lofreus, et le. pau vre p oscrit est suis chapeau tout démaillé, presque sans souliers, et les bras liés dernéie 1* dos II regarde, d'un air triste et avec un sourire moqueur le poteau qui indique le pays qui quille et sur lequel ou ht: 'l'eue classique de la liberté. Lu de ses deux sbires ic lire du cûié où l'on voit écrit: Ha novre. Lu oilicier .de gendarmerie a cheval surveille l'execuliou des ordies du giaud- juslicier, et quelques personnes, dans le fond du tableau, se couvrent, soigneusementde Ictus parapluies. Sous cette jolie lithographie, se trouve le mot humain et gracieux de M. Donker-Gttitius: Ce n'est qu'un Français! --Comme si tout cela ne suffisait pas, pour dé cider les acheteurs, les libertés betgiques sont énumérées dans les 10 couplets d'une chanson qui l'accompagne et qui porte pour titre Ftrcnncs de 183o a mes compatriotes. y Echo du Nord. Une originale Me K pour qui les ré miniscences du bel âge ne sont plus que d'an tiques velléités, et quice que l'on prétend apjés avoir traverse les orages révolutionuai- ies, a transporté, Euée feuiiani, de la ci-d«vant capitale de l'Artois, ses dienxs-pénates cri ces lieux, vient de donner dil-on, dimanche der nier, une preuve nouvelle et happante de sou humeur ptocessive, et dupLuiosophisme de son caractère.... 11 ne s est agi de lieu de moins que d'une lutte polémique entre la nouvelle com tesse de Pimbêche, et toute la police de cette \iilc.... Force, enfin, lui a été, la Dame qui, l'instar de son modèle racinieneût plaidé juges, avocats, procurons, huissiers et ttcors de laisser piocéder au ramonage d'une sienne cheminée, qui, peut-être, du chef de son non- balayage quasi séculairemenaçait.... d'un prochain ou imminent incendie, (i) -- Des témoins oculaires et auriculaires de ce singn - lier conflit où, connue ou peut aisément se l'imaginer, l'autorité a considéré l'état mental de l'orateur iccalciUant j nous assoient que les débats eussent rnei île 1rs honneurs de la sté nographie.... Nous regrettons vivemeut de ne pouvoir offrir que ces détails sommaires nos lecteurs. - Un a entendu', avec un Lien vif intérêt au dernier concertun jeune enfant de q ans, exécuter, sur le violon des difficultés loti au dessus de son âge. Ce violoniste naissant est fils de M. Vcibeke, d'Ypres, ex-musicien au 45e rég1 d'inl'de ligne souS le godvfrançais et la i6= divon d'inf» de milice nationale. Gel artiste est maintenantmaître ce la société de musique, de Thielt. E X T E II i E l R. ALLEMAGNE. Munich so janvier. Des lettres particulières de Rio-Janéiro Ramonage fait, on a acquis la preuve matérielle, par la minime quantité de suie que lu6 alarme* étaient, tout au plu», préventives. du octobre ,donrent encorp fi s détails sui- vans sur l'arrivée de I empereur clu Biesd b. r 1 de la Légale qui avait amené sa nouVi lie epouse. Loisijite i'euitierenr parut ur le pont, l<- marquis île Batiiatena lui picseulis jeune epo.ise.L ernpet"( tu s'!v;iiiç;i,* vers elle, U i p .s i ai Idt'.et,;i(ui s s:>ft Biieiessalntalniiis i. se (oui- ne v 11 s mi filie, d n i io'ar.a, 1 c tiil i asse v c ne ten.liesse çxiteme, et la soi te, ioug-leuips,itans m-s luas eti versant drs lai nu s. li embrassa eu- suite barb-icénale gardii u lidete de son enfuit, avec une émotion dont il ne put se li tinte in.,1- li e. L'i mptreurest un h I homme, pas tiès-grand, mais d'une taille bi-ri puse; ses tiaiis toi tentent marques; ses cheveux, noirs, boucles et tant soit peu longs; ses yeux, vifs et giands; ses t ivones et moustachesextrêmement torts: sou cil tir ucie est celle d'uu ancien militant, et sou air et tous ses gestes annoncent une glande tci - uiete de curacteie. Slullgarll, 20 janvier. S. M. le roi a ouvert le 16, la session des état?.par un discours adressé aux charjibies réunies. La i épouse ce discours a été. faite par M. le prince de Hoheolohe-Gehruigeoprésident de la piemière chambre. ESPAGNE. Madrid, 12 janvier. La cour n'est guère moins glaciale que l'alrao ptiére LL Al MNapolitain, sinitiées daus les divisions qui agileut le conseil, n'as- pirent qu'après le moment de leur départ. L« gouvernement, de soti côté, commence su illiguer de cts personnages étrangers, dont la picseucc comiibue a viuei le uesor. Ainsi, uiéconlens l'un de l'autre fis souverains nu se voieul que par étiquetteet semblent deux postes avancés de deux années, q il s'obser vent, se ciaignentel s évitent lécipioqutmeut. Le premier du courant, a eu lieu, aveu beaucoup de solennité, t installation ou uibu- nal de commerce dans notre capitale. Le conseil des Indes a adresse une consul tation au toi, où il présente les iucooveniens qu'il y aurait mettre en vigueurdans les domaines d outre-merle nouveau code de commercé: le conseil demande, au toi, du daigner ordonner que le code en question ne soit pas implanté dans lesdils doutâmes, et ((lie les lois mercantiles, auxquelles ils étaient soumis jusqu ici, continuent u leui eue impo sées. - Nousapprenons qu'il existe une diverg nce d'opinion tres-pi ononceç, entre le premier ini- nisiie et un illustre personnage, au sujet des affaires du Portugal. Ou assure que le destr du noble duc de reconnaître l'autorité de don Migue ,est vivement combattu, parce qu'on sein que lu conduite vie don Aligne! ete ou- tiageanle pour le toi de la Grande Bretagne, eu ce qu'il a rompu des eogagernens qu il avait contractés persoiiuelletiiem, lorsqu'il était Windsor. j G de Bright --Le grand-réformateur Cobbeit fait, en ci moment, un cours de politique radicale Ei- verpool. Dans l une de ses dernieres hçous, il aptedit qu'avant six mois, il siégerait sur les bancs de la chambre des communes. La seule Cucoustauci qui pourrait faire naître, dans notre esprit, des doutes sut lu stabilité du mitnstere,anglais, c-- sont les louan ges multipliées dont il a ete l'objetla s mne Ueimerc, de la part de ses fauteurs. Les bon nes choses, dit Bacon, ne se montrentdans toute leur beante, que loisqu'elies tournent le dys, et qu'elles s'en v ouiet nous avons toujours remarqué que, brsqu'uu ministère esta i agonie, ses anus éprouvent Ue3 redou-

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Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 3