dans le prochain omette de VBdunhourg- Re vient ««us «e iiltii'" rte T AUson e ap pas ce de* premier* Mita •.très français et anglais de leur Incapacité connue, Hom mes d Râlai et ^ddaunis traie ter*. Une partie de celle iicp--rtarrte production «est dit-on déjà entre les mains des éditeurs. M Tiernej est mort,"presque pauvre, quoi qu'il eût \iéeu avec heancoup d'-écenofuie ce qui prouve qu il ne taisait pas partie des lueru- l)i es qni deviennent nettes en servant les ministres. On lit dans la Gazette de New Yorb.- Le grand-jury Ou comté de Richmoud a fait des représentations., sur ce qu'il signale Comme un abus dangereux. Les imprimeurs, dit-iiet les rédacteurs de journauxsont dans l'usage d'employer, dans les diverses bian ches de leurs établisseiûetis des uegres aux quels ils procurentpar-là,' les moyens d'ap- p« itdre lire écrire et d'acquerti de tin- Struc ioi» abus que proscrit une saiue poli tique. Voilà tes opinions que l'on manifeste .publiquementdans le pays de la liberté S'il faut en croire uu correspondant d'Allemagnele prince de Cobowg auiait épousé de la main gauche il y a deux ans une actrice du giand théâtre de Vienne, nom me;. Mil* Bawer. En admettant l'exactitude du faitil Entraverait certains projets d'union basés sur le fuiui aveuement du prince L'ouverture du port firme de Venise est fixée au icr février. Beaucoup d'hnbitans de Paris, a dit le Courrier Français ont reçu dernièrement une lettre assez mal impi iméedatte de Lux embourg, 6 janvier, i8io, et signée d'uu duc de Normandie qui reclame modestement le trône de France, atteudu qu il est le fils de Louis XVI, enlevé du temple, le 29 juin, 1794- Si ces lettres sont parties de Luxembourg elles aurontcoup sûrété trouvées dans les papiers de Feu Loui-, ce -bon peintre fou, qui s'intitulait FUs de France comme chacun «ait. l J de Luxemb. j —Au sujet des rassembl. meus de boui genès es de co m mu ues chez des juges de paix ou des commissaires de districtl'effet d'en re cevoir des invitations de recheicber tout ce qui peut se rapporter au mouvement petilion- nel le Courrier de la Meuse dans un ar ticle qu'il niiilule. Inquisition néerlandaise du qu'on est muU de.surprise quand ou voit un simple juge de paix mander, chez luieu vertu d'un ordre d'un piocureur du K01tous les bourgmestres d'un canton et les charger de ces indignes perquisitions. Que les bons habitans des campagnes soient donc parfaitement tranquilles M. va» Maanen, tout M van Maanen qu îi est, ne fera p, s tomber un cheveu de leurs tètes; qu'ils Songent qu'ils ne vivent pas au quinzième ou au seizième siccle,et qu'ils ne se trouvent ni en Espagne, ni eu Portugal. Qu'ils sachent que le dernier d'entre eux est Belge et citoyeii comme le premier fonctionnaire du royaume; que leurs droits sont écrits là où sont écrits ceux du Roi et de son auguste maison. La Société royale de Langue et de Lit térature néerlandaisedite Conconlia, vieut de prier S. A R. le piiuce d'Orange de per mettre son fils ainé, d'accepter le litre de membre honoraire qu'elle lui a conféré. L'affaire de M Ziuzerling est fixée lundi. 8." il y a 5o témoins charge, et en virons 80 décharge.- Erroné.) Le dernier numéro du Quarlerley-Re- view. publie un article sur I état intérieur de r Angleterre. Nous y avons remarqué le pas sage suivant: - Nous n'avons pas l'intention de donner des leçons au public, ou de 1 alar mer par des Granités inutiles mais qu on nous permette d'engager nos eompalriotes a appeler, leur secours, tout leur courage, patir supporter les épreuves auxquelles ils pcu.eat être soumis. Beaucoup rie présages de révolutions surgissent; nous manquerons notre devoirsi nous ne faisions pas connaître le fait: lorsque nous voyons le commerce dans unéatsi languisant, lorsque les profits sont si faiblesqui p ut payer l'intérêt de la dette nationale-si ce ii*est la terre; et comment le pOurra t-elle, si l'on ne l'aide pas? N.jus ne désirous p isdit a ce sujet le Mor- ning-Chroniclequ'un intérêt quelconque soit saci ifie uu autre mais si la détresse Continue et que la finance repousse tout arran gementil pourra eu résulter uue catastrophe aussi fâcheuse pour elle, que pour les autres iuléréis de l étal. Plusieurs journaux publient un projet de Souscription nationale destinée indemniser les membies de la d«*uxieme chambre desétals- générauxde la ppt le des Iraitemeus ou pen sions allachés a des emplois iclitbués et dont ils seraient privés, a cause de leur opinion consciencieuse, dans l'accomplissement île la mission qui leur est confiée, et daus la defense de nos droit» et de 110s libertés contre les empiétemeais du pouvoir. Cette souscription, conçue par plusieurs bons citoyenss'adresse tous les auiis des liR-riés publiques, quelle que soit leur opini on politique ou leur croyance, et a, pour objet unique de donner, ces députés, un houora- ble et éclatant témoignage de la reconnaissan ce nationale, et de montrer que les vrais patri otes ne se bornent pas des vœux stériles, lorsqu'il s'agitue deteudrela ioi fondamentale, et nos hautes institutions politiques On lit, dans une autre feuille, la remar que que ce u'est qu'un simple proji j et, com me l'objet en est exucuii-uiciit mipoilanl, ou ue croit pas pouvoir user de trop de pi udeuce: ou attendra doue avant de mettre la main l'exécution les observations des personnes qui ce projet paraîtrait devoir subir quelques modifications. Les passages suivans sont extraits d'uu article de la Gazette des. Pays-Bas: - Le Courrier des Pays-Bas a adopté Un système d'argumentation fort commode. 11 bâtit, d'abord, son raisonnement: vainement essayez-vous ensiiiled'y répondre; si vous ue commencez point par eu adopter les prémisses, il ne vous écouté plus votre logique est eu défaut; vous n'êtes pas conséquent; ce qui, eu définitive, signifie que le Courrier veut parler seulmoyeu facile de succès p«u glo-, rieux. De la part du Courrier îles Pays-Bas la reconnaissance de I inviolabilité royale n'est que conditionnelle c'est là u ie de Ces dange reuses abstractions que nous repoussons de toutes nos forces mais dans ie propre sens du Courriernotre principe, nous, celui sur lequel repose toute cotislituiion monarchi que, equivaut-il ce dogme de l'absolutisme: <1 L'état, c'est mot s Quoi dans uu pays où la liberté individuelle et la propriété sont garanties a chacunou nul ne peut être distrait du juge que la loi lui assigne où la peine iui- que de la confiscation est abolie où il n existe aucun piivilcge eu matière d impôt, où la li berté de la piesstf existe où la tolérance reli gieuse est euiiere où le budget des dépenses et desmoyetïs est-voté par les Etats-géneiaux: quoi dans ce pays ii y aurait absolutisme eu faveur du pouvoir etparce que le prince serait inviolable, parce que la loi fondamentale n'aurait pas déclaré les ministres responsables de tous les acte* du gouvernement le Roi pourrait dire: L'étatc'est moi il pourrait disposer de l'état, des personnes et des propri étés, selon son bon plaisir! Allons MVI. du Courrier vous ue le croyez pas; votre asser tion n'est pas logique, elle u'est pas soutena- ble. On présume quetandis que le duc de Brunswick se rend Parisles troupes de Saxe et de Cassel ont pris possession de ses états en vertu de là décision de la diète. Une regence on commission doit êue formée, pour le gouvernement dû duché, jusqu'à ce que le duc consente faire son acte de soumission au roi d'Angleterre. - Globe <lnd Trace lier. Les députés qui sont a Par is ont reçu, le 26 janvier leurs lettres closes pour la séance d'ouverture de la session. Ces lettres sont da tées du 10 janvier. Le roi et la reine de Naplesdont ôn avait annoncé le départ de Madrid, pour le 20 janvier ne quitteront celte capitale que le 1" février. Moniteur. Le Correspondant de Nuremberg annonce qu'il a été réellement fait, la Porte, des propositions pour la Cession de la Palesti ne; que l'ambassadeur anglais s'eti est chargé, au nom de la maisou isaéhtc doul il a été ques tion, et que le ministère othoman n'est pas éloigné d'entrer en arrangement. Pour ce qui regarde la maisou dont il s'agit icion sait que ce u'est qu'une mystification. Une lettre, datée de Longwood, 12 juin 1829, et édite, par un jeune voyageur, dans la chaulbre même où Napoléon rendu le dernier soupir, contient des détails iuteiessans. -- Par arrêté du 11 janvier, i83o, n» 101, S. M. a accordé un secours, de 5o florins,àune aiici-une religieuse du Hainaut. S M pai arrête du j" de ce mois a ap prouvé une cinquième liste ou liste supplémen taire de personnes ou de familles dont les ri des nobiliaires ont été inscrits aux registres du conseil suprême de noblesse, il auxquelles est applicable le dispositif de l'art. 1 de l'arrêté royal, du 26 janvier t8aa L'arrêté da t«r de ce mois, avec la liste y annexée, forme le u« r du Journal Officiel, de cette année Par un autre arrête, du iode ce mois, S. M. a approuvé les statuts de la compagnie d'assurance coulie avaries de mer et incendies, établie, Rotterdam ensuite d'acte notante, du 7 décembre, 1629. Le miuistre du vraterstaatde l'industrie nationale et dtscoloures est relourué,àLaHaye le 3o jauvier. L'exposition publique de la Société-de Flore, de Bruxelles, aura lieu, le 31 mars piochait» Le Catholique, qui avait déjà donné une liste d'assesseurs pétitionnaires destitués dans la Flaudre orientale,cite, aujourd'hui, eucoie sept de ces fonctionnaires publics qui ont encouru la même drsgiâce. Le sénat académique vient d'interdire, au rédacteur du Journal de Louvainla fréquentation des cours universitair s, -- L Apostoliquefeuille fuiiboude qui se publie Paris, 6'exprime ouvertement l'égaid de notre monarque. Voici ce qu'on ose imprimer impunément, dans la capitale d'uu royaume ami et allie des Pays-Bas: Le Roi des Pays-Bas vient de destituer divers fonctionnaires publicspour leur at- a lâchement au catholicisme. H a aussi suppi i- mé des pensions pour le même motif Ce Roi hérétique ne peut plus tenir. Dieu a soufflé l'esprit die soulèvement. Les li- béraux se soulèvent contre lui et les Calho- tiques le-, repoussentparce qu'il travaille anéantir la vraie religion. Saint-Pierre l'a dit IL VAUT MIEUX OBEIR A DIEU a QU'AUX HOMMES. Oui,le grand mot de Roi hérétique est là, et c'est tout pour les apostoliques Le National. Grande nouvelle! Le Courrier des Pays- Bas trouve que M. van MaaneD est un hom me d'espritet d'une longue expérience. Il va même jusqu'à s'apercavoiraujourd'hui

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 2