OX^otauat V - DE S. M. LE ROI PAYS-BAS. V S FERMETURE DES PORTES DE LA VILLE. Du i au 16 Février, 6 heurt*. INTERIEUR. 'DEVOIR dont nous reçdnnaissetis, volontiers, Toute l'omnipotence.... Voici donc, tous les k)« Ditinti insèqueinehi tels que nous les avions recueillis. V Ke 1 2o5-. XIIime année, g g tl8*Sg S Al 2 wr'l PAR AUTORISATION H"1 DES m -i V( M MERCK%tf^"io Février,iS3». OUVERTURE DES PARTES DE LA VILLE. Du i au j6 Fé-. rier 6 heures. JOURNÀI/CYPRES ûfitia \ieji diciaitej eu MPHÈMÈRIDES. Le y-Février 1689, les états d'Angleterre, assem- liés sous le nom de conventiondécidèrentaprès une longue délibérationque Jacques II ayant Renversé autant qu'il était en lui, les lois fonda- Tnentales d'Angleterre, violé le contract originel 'qui était entre lui et son peupleet ensuite aban donné le royaume il avait par là laissé le trône vacant. Us décidèrent encore qu'un prince, profes sant la religion catholique romaine, ne pouvait être Roi d'Angleterre. 1693, mort de Paul Pc- lisson. 8, id55. Le grand Gustave, Roi de "Suède traverse sur la glace, la tête de son ar mée, le détroit de la mer Baltiqueappelé le petit 1 Beltet défait l'armée danoise qui l'attondait sa descente, dam l'ile. Pendant qu'il traversait le d&- _troit, la glace s'étant fenduç, et quelques esca- ^drons ayant été engloutis dans la mer, il se con tenta d'ordonner aux troupes de prendre un peu *plus sur la gauche.1778, mort dë Lekaincé- ^lèbre acteur tragique. 11 était né Pariscri 1729. —9,. 1398.-00 pend, sur la ,placc de Grève, .,4 Paris, un jeune homme nommé La Raméqui «e disait fils de Charles IX, et en cette qualité avait 'été Reims, pour être sacré Roi. Il prétendait v! que la Reine - mère, Catherine de Medicis, l'avait enlevé après sa naissance, et qu'ayant été exposé '.comme un enfant dont on voulait se défaireil avait été recueilli et élevé par un gentilhomme du Poitounommé Gilles La Rainéedont il avait pris fe surnom.1703, mort de St.-E.vremond. 10, i638. Vœu de Louis XIII qui consacre - la Fiance-à la Vierge, comme si la France pou— y} vait jamais être la disposition d'un seul homme. J Cet acte de superstition a été long-temps et sera peut-être.long-temps encore l'objet des éloges im- ij modérés des ultramoritains et des fanatiques. K 1814 'Combat de Montmirail où Napoléon', aban— donné de la fortune, lutta Contre le bonheur et le - nombre des ennemis de la France.' m PAYS-BAS. Y près 10 février. On a goûté.nos ON DIT; tant mieux il y aurait, la, de quoi satisfaire noire amour- propre, notre philatie de journal s'il n'y avatl long-temps que, chez nous, ce sentiment, n'existe plus, que par réminiscence, par v elléité, tant ON a pris tâche de nous enlouret, com me dans les nœuds de Laocoon, des gros-mots de médisance, de diffamation, de L.ALOM- ISIE.... Mais trêve tle digression.,.. Nos ON D1 i oui plu; ou les 1 éclame, en masse tels qu'ils sont parvenus la REDACTION: on ne veut- point de notre triage, de noire choix. 11 est uu ON DIT qu'un chargement ou roulement nouveau va s'opérer, sous peu dans divers ministères. Rien de fort extraordinaire, quant aux ministèresTVellinglon et Polignac: mais ON Di T que cette métamorphosequi parait être imminente noiis touche de très-près. au cœur. ON DIT que ni le prince de Co- bourgni le priucedèG'ac/grtrm.malgtétoiiles, les menées diplomatiques etc.ne sera élevé la souveraineté de la Grèce n'importe sous quel i lire. - ON DIT, ce propos, qu'envahi le proto-oligarque de Atetteriiich se met-il de la partie: il la perdra, comme milord-duc a per du sa partie orientale.... échec et niât....C'est ce que nous verrons Lieu. - ON DIT que certain gouvetnemeut qu'aucuns croient être la Prusse) mène, peu près, certains étals (que J'ou suppose le grand-duché de Posen la façon... qui s'acclimate assez sous.notre tem pérature.... Un plaisant ajoute quç c'est endé mique A\\\s> les chartes, constitutions, lois fondamentales, etc. ON DI T que les répuT bliques ou états de l'Amérique du Sud ne sont point encore MURES,... pour la liberté.... et que l'on pourrait bien, même en dépit de Boli vartout libérateur qu'il est, et malgré le soi- disant' contrat synallagmalique avec la maison d'Orléans appliquer, a ces républicains in quiets et turbuleus, défaut des douches ou des annelides Broussais certain récipé de certain journal: - la syno-muselièreet le reste. - ON DIT que les lois sur la presse et renseignement, saus compter les autres,le fisc «n avant chefs, d'œuvre dans leur gçnre, et bien qu'aiialhématisé par le Catholique les Courriers et consorts décideront enfin, les yeux nos pessimistes soudain transfiguiés eu optimistes Au reste qu'on lise Ovyen sur Heraclite et Démocrite.—ON DIT que VUnion est la veille de tomber en schisme ou hérésie, et que, des schismatiques et hérésiarques nou veaux, surgira, comme des cendres de l'oiseau de l'Arabie, une Union utopique... telle, que le Cathol. donnera, mais non la jésuite la main au Nationalet celui-ci, le baiser fiaiemel (non celui du jardin des oliviers au Courrier des Pays-Bas même. - ON DIT que le futur camp de St-Omer n'est pas, tout fait, étran ger certa «,e CON FEDERA l'ION, que vont proclamant et prêchant, jusque sur les toits les Pierre-l'Ermite de celte croisade libérale- tbéocralique.... au moins les affections de l'Est se meuvent; et, du point d observation attendent -- Quoi? Uu monogramme un signal, qui, dit-on, ne sera aiboie ou lion ne que desB--dlam ou desChaienton Ou pays. les Petites-Maisons. - ON DIT que le person nel ou corps enseignant des séminaires estde tout point homogène a l'esprit et ia lettre des inandemens épiscopaus ^d'ouveiturc. ON DIT que le duc de Brunswick se gen darmant contre le décret de ia séienissmie diete germanique peu prés comme M. A. Roussel, du de E contre l'oslracismc ou sénat académique, ne veutet ne prétend pas plus que l'écolier relégué, recomiaitie le, népo tisme de S. M. B., m laite qnideoioil, amende honorable.. En elFet, le pardons. v. p.ne sied guère qu'à la marmaille eu lisières et en bourrelets. - ON DIT que, d'à tués les prophéties, calendes et calculs de Nosiradamus et de Matthieu Laensbergh, l'art de grâce i83 déjà inscrit dans les éphemerides méiéréolo- giques, Réamur en tète, sera fécond eu giands, mémorables et soi preuaris evèuemtns. - Enfin, ON DIT.... qui vivra verra et gardons-nous bien, ici, tout PROPAGATEURS que. nous sommes, de donner prise l'extrême suscepti bilité de certaiues personnes.... Au teste, s'il nous parvient d'autres ON DIT nous nous empresserons d'en faire pari nos lecu uis. - Voici quelques de l'sirnhenische Couranti- Cet arrêté si remarquable nous a, plus que jamais convaincus de la nécessite de ne Com poser notre representaiiou nationaleque d'hommes indépendant. Quelle irrite ne se lor- me-t-il pas entre l'intérêt et le devoir, qu 11J, pour obéira la voix de sa con-cienee, on es trouve menacé de perdte uuièvenii indispensa ble au son lie 11 d'une épouse, d'une famille? Comment concevoir la liqerté d expiiiin r sou opinion, quand c'est un crimed'eii professer une antre que celle du gouverm ment Et quand celui-ci déclare qu'à la jouissance de ses faveurs, est attachée 1 obligation d'a.dopler ses principes, ne sei'a-t-il pas sou ve t t-i m pos sible d'approuver la politique wimsléitelle*si l'on est résolu de demeurer fidele a son sui ntent, au pr ix de tous les sacrifices Et com ment même supposer que la repiéseniattou nationale puisse être toujours d'accord avec le gouvernement? De tout temps, les hommes ont différé d'opinions. Quelqu'un ne pourrait-il être un digne membre de l'état, un fonctionnaire o-'-l'u fidèle et mériter l'es'im-

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Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 1