o iS auqu'on «t taviacé da voir se renouveler. Le Courrier prétend que les vues ambi tieuses qu ou attribue Bolivar sont sans fon dement S. M. a accordé, aux armateurs Vrooms et Ryb.s, Nieuport, chacun, une gratificaùon die aoofi pour l'exercice de la pèche au ha reng saleravec les bateaux de Jonge An- loniuset de IJoopdans le courant de l'an née 1829. Ou dit que les administrations de diligences se sont remues, pour présenter, S. M., une requête tendante obtenir un délai pour la mise eu vigueur du nouveau règlement sur le ser vice des voitures publiques, afin de pouvoir jnieux se mettre eu mesure de satisfaire aux dispositions qu'il contient ainsi, leur sollicita tion serait autant en faveur de l'intérêt du pu blic que dans celui des entrepreneurs. L'iuspecieur de l'Université de Louvain vient d'adresser la Gazette des Pays-Bas une lettre, datée du 5, dans laquelle il conlie- dit le récit fait, par quelques journaux de ce qui a eu lieu, le j" de ce mois, l'Université. Ce qui s'est passé dit-il, se borne une scène, déplorable, sans doute; mais telle que les cités académiques en offrentnéanmoins des exemples. Celte déclaration doit détruire l'impression fâcheuse que certaines feuilles ont pu produire sur le public, en général; et, plus pailiculiè- remeat, calmer les inquiétudes que ces alléga tions auraient pu faire naître chez des partns éloignés de la ville où s'est passé l'événement qui y a donné lieu. Des offres, pour la sousciiption nationale, ont été faites, notre bureau, pour plus de a,ooo florins. Autant par province,et il y aura suffisamment, pour parer aux premiers coups du dispolisme. Cecalcu! est très-encourageant. Les fonds dont nous pouvons disposer seront mis entre les mains de qui de droit.-(Calhol.) Le Courrier de l'Escaut, fidèle sa devise (la loi fondamentale et voulant con tribuer propager la connaissance de la Loi fondamentalefait distribuer, gratis son bureau, des exemplaires de cette loi des loi toute personne connue, de quelque classe que ce soit. La pétition bruxelloise pour le maintien de la loi sur la presse a été adressée la deuxième chambre: l'importance de cet objet est actuel lement si bien sentie qu'on croit qu'un liste sup plémentaire se remplirait encore promptemenl. La requête spéciale des typographes de Bruxelles compte déjà près de 200 signatures. -- La pétition de Rculers, pour la liberté de la presse, porte 30a noms, comprenant loutes les notabilités locales. Une nouvelle adresse de Basseveîde Flan dre- Orientale contre ks lois de la presse et de l'instruction, est revêtue de 34 signatures. Schendelb. ke même province en redres sement des giiefs généraux, 236 signatures. Zonpt beke( Flandre-Occidentale pour la libef té de la presse 229 signatures, en tête des quelles les noms du bourgmestre etdes'notahles. Un chimiste, de i'aris, vient de décou vrir un moyen de conserver le fait tiés long temps, sans qu'il subisse la moindre altération, il y est parvenunon sans difficulté en le ré- duisaul l'étal soliile, sous (orme de tablettes: pour s'en servir, il suffit de les dissoudre dans l'eau chaude, et l'on reproduit un lait excel lent.* La fabrique estBordeaux dans une campagne des mieux situées pour la bonté du laitage. Des dépôts de cet extrait de lait sont établis dans les principales villes de France. Le proctocole telalif la Grèce estdit- on, ai rivé Paris. Le prince de Saxe-Cobourg be recevra point le litre de roi if sera seule ment piiuce. souverain. On doitdit-onem prunter 4 la bogue grecqueuuc deuomina- lion Spéciale, appropriée la position qu'on lui dostine. On écrit de Marseille28 janvier - Puits artésien. - Le problème est maiir- tenant résolu: le sondage, pratiqué sur la place St-Féréol, a été couronné du succès. Aujour d'hui, 5 heures l'eau a jailli 2 pieds ija au-dessus du sol; et le jet continue, avec la même force, et la même hauteur. Les eaux sont encore tourbeuses, et il y a lieu de croire que l'eau s'élèvera encore plus hautlorsque h s tuyaux seront, lout fait, dégorgés de l'argile que l'enfoncement des buses et la suspension de ce tiavail, avaient accumulée au fond du puits. On écrit Anvers, 6 février: Loisque nous avons rendu compte de la contestation des bonch» rs avec l'administration, nous avons rapporté l'épisode d'one vachs éii- que, achetée 40 fr et estimée 8oflorinspnr le priseur fiscal L'administrationqui «e man ge que d'excellent bœuf, n'a pas voulu de la vache, pour ce piix; et il s'est ensuivi un procès daus lequel il semble que les employés doivent nécessairement succomber, puisqu'ils refusent d'exécuter une disposition formelle de la loi. Pendant ces débats la pauvre bête livrée une diette judiciaire, est crevée de faim, ne laissant, aux employés, ses héiùieis, que sa peau et ses cornes. La petite-vérole s'est déclarée sur quel ques points de la piovitice de Hainaul Déjà la commission médicale a délégué plusieurs de ses membres, dans les com munes infectées, pour y constater le vrai ca ractère de celte maladie et prescrire le traite ment le plus convenable. Le Courtier de la Meuse contient un article au sujet des soupçons qu'on semble dit il, nourrir l'égard d'uue classe très-nom- bieuse de Belges et demande si ceux qui forment l'opposition, catholiques et libéraux oui quelques motifs de se défier les uns des autres -- Les journaux hollandais rendent compte d'un phénomène qu'ou a observé Amster dam dans l'après-midi du 3 de ce mois of frant, aux deux côtés du soleil un g'obe ayant la même apparence sauf que lediame- tie en était bien six fois plus considérable; b lumière que ces globes rejetaient était faible tuais pure: ils présentaient, aux côtés opposés au soleil, une chevelure comme des comètes. Un ingénieur suisse, M. Oppikafer Berne a inventé une machine qui rend de grands services daus les travaux du cadastre par son emploi, on peutdit-on se passer des calculs si difficiles de la contenance superficiel le des figure». L'inventeur offre faire connaî tre sa machine ainsi que les principes sur lesquels elle est fondée. M. Vaissier, cité, devant le tribunal coriectionnel de Dunkerque comme prévenu d'avoir diffamé M. le maire de cette ville dans un aiticle publié par le Carrillon de Dunkerque été condamné aoo f. d'a- meude. Al. Le Leux éditenr et imprimeur a été renvoyé des fins de la plainte. M. van den Bogaerde, commissaire de district a Gand, est nommé gouverneur Bois-le- Ducen remplacement de M. van der Fossequi passeen la même qualité Anvers. On a observéA msterdamdans l'après-midi du 3 le phénomène d'uDe pa- ibelie ce phénomène est ordinairement la suite d'un froid rigoureux dans les hautes régions de l'atmosphère. - (V plus haut. On lit, dans le Drapeau Blancjour nal français les phrases suivantes: Le Catholiquejournal Belgea trouvé, dans le Drapeau Blancun alliétant qu'il a défendu les droits de notre commune reli gion, contre 1:5 attentats philosophiques et les usurpations du protestantisme. Noos avons cessé de le soutenir nous l'avons même combattudès qu'rï a cherche faire pré valoir les principes subversifs de la sub ordination sociale et de l'ordre politique. Lu résultat, et poui en finir avec le journal belge, nous sommes les amis du Catholique et les ennemis du Libéral. Un savant divisait les sciencessuivant ce qu'elles rapportaient, de la manière sui vante Les sciences qui rapportent Du pain et de b gloire La jurisprudence la médecine la théologie, 20 Point de pain et point de gloire La métaphysique b logiqueb critique. 3® De la gloire et point de pain La poésie les belles-lettres les mathéma tiques la philosophie. 4® Du paiu et point de gloire L'anatonne l'économie l'écriture et l'arith métique. Nous avons parlé d'un aubergiste, de Penzing dans les environs de Vienne, qui a eu l'içlee de donner un bal dans une salle de glace. L'affluence des curieux a rendu cette spéculation très-avantageuse pour lui. Mais ce local, d'un genre nouveau, offrait plu. sieuis désagrémens entre autres, les gouttes d'eau qui tombaient fréquemment du plafond, tendaient presque nécessaire l'usage des para pluies. Un mécanicien, nommé Charles Swift, vient de construire, Londres, une petite machine vapeur, qu'on peut mettre dans sa poche. Rien de plus ingénieux et de plus curirux voir que ce chef d'oeuvre lilliputien. Sa destination n'est pas encore connue. Nous annonçons, avec grand plaisir dit le Litterary-Gazelieque la nouvelle de (a mise en liberté de M. Bonpbnd vient d'arriver. Ou sait que ce célèbre naturaliste compagnon de voyage de M. de Humbuldia été long temps retenu prisonnierau Paraguaypar le docteur Francia. On ne savait pas encore, Constanlinople, au départ du dernier courriersi les négocia tions relatives aux suites du traitéseraient teiminées, Constanlinople, par le comte' Or lof et le reiss-effendi, ou, St-Pétersbourg, par Je comte de Nesselrode et Halil-Pacha. -- Un militaire, nommé Gabriel Prévost, condamné, par deux fois, mort, a été acqutté l'unanimitépar le 3e conseil de guerre en r rance. On lit, dans le Journal du Hâvre, du 1' février L'intention du général Barradas n'est pas, comme nous l'avions d'abord supposé, de se fixer en France. Il doit partiraojourd bui, pour Paris d'où après un séjour fort court il se rendra Madiid. - {ArrivéParis.') Deux sorcières une tireuse de cartes et une marchande b toilette, ont comparu, devant la cour royale de Rouen sous la pré vention d'escroquerie. Cesdames s'étaient char gées de faire retrouver, au sieur Saussayune somme de 3oo Fr. qu'on lui avait volée. Nous sommes informés, de bonne source, qu'il a plùau Roide rétablir le vicaire-gé néral apostolique des districts du Nord, ressor- lissantdu ci-devant évêché de Ruremonde, dans la jouissance de ses émolumenset d'ordonner même le paiement des arrérés. Nootd- Brabander. Un journal rapported'après une lettre de 'Namur, qu'un professeur de langue fran çaise l'Athénée■ayantdans une leçon", donné l'éloge du gonverneraent et des ministres pour sujet de composition, ses élèves, il fut unaniment sifflé par eux. Sans douteque la lettre du ministre de l'intérieur, qui recommande la circonspection, n'aura pas été reçue dans ladite ville. Le systèr

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Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 2