ca*W% JbvnrtSt par«t«, àe part <£e Voiape- roui i# réiko, «h manifeste aux «surs de l'Europe, ffms lequel S. 31.' T. décidera que ■«oit 'irrévocable «nie mi on est de suuteuw, par la farce des armes., les droits légitimes de sa fille, ia reine li Ma.ja tla Gloria. Cette pièce -iaccinKpagtiera la notification d'une junte geu- ■vemerueuuiic, provisoire, au aom.de D^ Maria 11, laquelle s'installera Tercéira. Les raem- îrresqui la composée ont soirt, on ce moment -en Angleterre -, où ils attendent des ordres officiels, a vaut défaire voile pour les Açores. - Ai «ni trois mois, 4i crise du Portugal sera Meçidçe;.tout ■annonce, malgré la reconnaissance de i Espagne, celle in parlibus s du pape, et quelques uuue& éventuelles subordonnées j influence des ministères Wellington et Poli- gitac, le triomphe de la cause légitimé et con stitutionnelle Enfin, Je temps seul est même •d'éclaircir toutes ces liantes questions, et bien d'autres encore. La première représentation de ta Mort de Molièredrame eu i actes a réussi au théâtre de l'Odéon. - On lit dans le Journal Je Louvain: Le bruit court en cette ville, que l'on Va établir, a Liege, uqieécole polytechnique, et un établissement pour les mines, en rempla cement de l'Université^ qui y serait suppri mée. On par,le d'une nouvelle expédition contre le Mexique, Quoi qu'il eu soit, il est positif que des conférences ont heu,àce sujet, à.La Havane même. Toutefois, le capitaine-géuélal de 1 île opine toujours contre ces aventureuses expédi tions, et le déplorable succès de celle du géné ra! Barradas ne justifie que trop le vote de ce capitaine (le géuéral Vivez; expérimente autant que brave. Le sénat grec, par l'organe de son prési dent, G Sissim vient, par une lettre, datée de Nauplie, le 16 ,28 novembre, 1829, de témoigner M. le chevalier Eynard de Genève, toute sa gratitude pour Es services que cet illustre philheliéne a rendus la Gièce - Cette missive se termina ainsi.- - aLorsque la bienveillance et la magnanimité des souveraius alités auront accompli la restauration de notre patrie, c'est alors, qu'elle s'empressera d'élever, sur la terre classique, des moirumens qui té moigneront, ses généreux bienfaiteurs, la profonde reconnaissance dOul elle est pénétiée.» Aux Pays Bas, nous voyons déjà surgir les préludes des hostilités déclarées aux jour naux: le Courrier des Pays-Bas le Belge le Catholique.... sont èn cause.... En France, Ces MM. du parquet ne badinent que tout juste, dirait Nicollei. Le Globele National de Parts le Courrier Français la Gazette Constitutionnelle de V Allier, etc.,etc., voire nv me la Quotidiennedu maximum au mi nimumsont attraits la barre des cours ei tri bu taux; et, le Globe el le National exceptés, qui ne sont guere moins poursuivis que emp li» CONSPIRATEURS les autres agens du journalisme n'ont encore rien débattre qu'avec la Thémis correctionnelle, En défiuiiive, c'est de la besogne pour la justice et MiVl les gens du roi. Par arrêté du 11 de ce mois S. M. a nommé la commission pour l'examen des pro duits de l'industrie nationale qui seront envoyés la S* exposition générale, qui aura lieu Bruxelles dans le courant de cette année Parmi les membres de cette commission, notre Cite s'honore de compter M. J-B. van den Peercboom chevalier du Lion- Belgique p:i std u de la chambre de commerce et des fabriques, etc. Des personnes, eu état, par leur position, d'être bien informées prétendent savoir qu'à l'avenir, les années où la cour ne réside pas en Hollande, ce seront tes villes Anvers et de Garid qui deviendront, alternativement, rési dence royale au lieu de Bruxelleses N Al tos a 1. - Celte nouvelle, et, sur-tout, la source ou nous la puisons, donnent ample matière réflexiondans les circonstances présentes, j Le Moniteur publie une ordonnance sur l'enseignement primaire dont les principales dispositions ollrent le plus haut intérêt. en ce moment-, sur-tout, qu'il s'agitchez nous d'une loi sur l'instruction publique. -- Le aa vers 11 heures du matin, est déoédée, a Btuges, l'âge de 29 ans, Mme la Comtesse de Baiilet, née Moréius, femme de S. Exc. le comte de Baiilet, gouverneur de la Flandre occidentale. Ou sait que le ministère public a interjeté appel çppti.e.AL l'abite baron de Zinzerlmg qui est toujours détenu la prison des Petits- Carmes. l)e sou côté, AL de Zinzerhng vient d'interjeter appel contre les cooaidéraus du jugement du tribunal de première instance qui l'a acquitte - La çausesur l'appel du miuisteie public et de MM, d> Zitiierliug, BioncKhoisi cl de Glercq, est fixée, au rôle de la 0® chambie de la cour sujiérieure de justice de Bruxelles samedi. 37 du courant. Le Catholique.) G'est a qui se parera d'un grand 1.0111 pour solliciter la charité publique, ou, plutôt pour faire des dupes. Nous avons euil y a quelques jours, un soi-disant duc de Nor mandievoici venir un prétenduNAPOLtON, qui annonce sou arrivée prochaine Paris, et soliicitedes secours pécuuiaires, dont d promet le rembourse ment. - {J .de Paris. D'après un article de Petersbourg, dans le Correspondant de Hambourgil y aura au printemps prochain un congi ès-géuéral de ministres, B-u lin, où la question grecque et d'autres d un intérêt européenseront discu tées. La Gazette du Neckerdu 10 ds ce moiscontient une lettre de Buchaiest, 18 janvier, dans laquelle on lu que des ordres sont arrivés, de Petersbourg, pour porter, au grand complet' ,1a garnison des forteresses sur le Danube nonobstant la ligueui de la saison, et pour préparer l'armée russe faire une se conde campagne. -- D'après des lettres particulières de Pe tersbourg, la Porte-Othoniane demande une indemnité-pour les pertes essuyées Navariu demande dans laquelle elle serait soutenue par l'Angleterre. Le 10 janvier, on paraissait croire Petersbourg que les affaires de la Grèce u étaient pas encore réglées. Un journal de Biuxelies relevait, ces jours-ci, vertement de sentinelle deux siens confrères et les admonéjait un tanlmet plus que grammaticalement pour s'être servis des mots cultivateur et prononciation S0U6 des ententes que luihypeicritique avait notées a l'encre j rouge ou noire sur son index. Nous prendronseu notre qualité de Propa gateursla liberté grande sans nous enter toutefois, sur l'autorité grave et volumineuse des Omnibus et des Omnia des Omnibus passés, presenset futurs, de faire observer, au journal bruxellois que les siens confrères ne sont point dans leur tort - Que pronon ciation d'un jugement3etc.est bon fiançais, et très-bhti frèrtsdais 1 - Enfin que ulti //fûffh^y'liir-foùt'dans le style poétique ou soutenus émploîe et signifie tout autre chose que cultivateur, laboureuretc. Vous, des arts immortels ardens cultivateurs, etc. Eu définitive, nous prendions la licence grande d'objecter que, quand on ne se fait au- (1J Nous renvoyons l'Aristarque au Traité des Synonymespour la différence de prononciation et de prononcé elle est subtile, délicate; mais elle existe. L'un est génériquematériel, passif qui marque l'état de la cause l'autre particu lier spécialagissant. Delà la prononciation du jugement, etc.,' le prononcé du jugeetc. cun scrupule de se Servirsatiété, et d'une maniéré peu co; refile des expressions l'on, enagir, auparavant quedavantage que comme dans I sens de que etc., on pour rait bien faire qttailier quelques vétilles grammaticales en tout état de cause, se rnp- jieler le vieax proverbe de la poutre eldu jeta de paille dans l'œil Lytix envers le prochain, et taupe envers soi-même Ceci sou dit en tout bien et tout honneur. Nous avons propagé. On lit dans /'Observer: - Lady Graves pouvait, passer, autrefoispour une beauté de premier ordre; c'est encore une très-Elle femme, aujourd'hui, quoiqu'elle porte des lunettes. Le rédacteur de la Gazette des Ecoles est ciie comparaître, le 5 marsdevant le con seil académique de Paris. Depuis quelques jours, les journaux s'oc cupent de questions Ires-ardues: l'origine de la charte, la légitimité, la déchéance et le chan gement de dynastie les ont occujkîs tour tour; des n°» de l'une de ces feuille, le Globesont saisis et. le rédacteur eu chef a reçu une assignation pour comparaître le 34 du courant. Errata des journaux. Le Journal des DébatsLe ministère commence se re pentir d'avoir convoqué les chambres, pour le 2 mars prochain. - Lisez que le ministère re- grelte.que les travaux de réparation de la salle ne lui aient pas permis d'assembler les cham bres, des le mois de novembre ou de décembre. Cette session lui donne de terribles alarmes. Lisez que le ministère est ravi de se mon trer, enfin, la Fiance,et de dévoiler, la tri bune, la faction qui l'attaque, pour détruire la constitution du pays. v Gazette La violation du secret des lettres est ub objet de répiobalion universelle y comme une action basse et immorale. f J. de la Belg.) M. le juge d'instruction a fait prévenir let parens des six prisonniers, qu'il leur ferait sa voir quand il pourra donner des permission^ Ce n'est que dans le flagrant de la teireur^ et sous le règne de Robespierre, que la viola-» fion du secret des lettres fut érigée en règle de gouvernement. Lorsque le code du 3 brumaire, an IV, re nouvela la consécration du principe de l'invio labilité des lettres, les circonstances dans les quelles se trouvait encore placée la république, portèrent y ajouter cette disposition - (i II n'est porté, par le présent article 638), aucune atteinte la surveillance que le gouver nement, peut exercer sur les letires venant des pays étrangers, ou destinées pour ce méineS pays Dans cette étrange réserve, qui faisait de la loi pénaleune loi de circonstances, di> AL Destriyçqux 1 le législateur avaii au moins, le ménije-iie la franchise: il avertissait la nation française, et les autres nations que le secret des lettres pouvait ne pas être respecté i et, d force de scandaleou diminuait, peut-être, le mal même.» Aujourd'hui, le prétexte de cette scaodalense disposition est enlevé aux violateurs officiels du secret des lettres Comme nous l'avons déjà ditle CQçle pénal de 181 o punit d'amende et de la privation de tout emploi public, tout fonctionnaire coupable d'avoirsupptimé ou ou vert une lettre confiée la posteou d'avoir facilité la suppression ou l'ouverture des lettres; et le dernier article du code pénal abroge, comme on sait, les anciennes lois rendues sur les matières traitées daus le même code. Légalement, rien ne peut donc pallier la vid- latiou révelee par les joui naux de Bruxelles. Le Politique. La pétition des imprimeurs, de Bruxelles, pour la maintien de la loi sur la pressea été (1) E»mi« sur lé code'pénalp. 61,

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Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 2