4 >4 1>I 09 JOURNAL D YPRESV ofrtu|ue> f Kud iciaixej eu D^Côkauat I ibkxs~nx% r 1 JJo I2lj>. 'ANNEE. PAR AUTORISATION' DE S. JH. LE ROI m 1*1.7 Marsvi8&). OUVERTURE DES PORTES DE LA VILLE. Du 16 au 3i Mars, 5 heures. FERMETURE DES PORTES DE LA VILLE. Du 16 au Si Mars, 7 17a heureft 1U Ol3 r INTERIEUR. -IlOBlîV'L. *t'< l' 1 liJl PAYS-BAS. v,,;m t t., ini 1 j -•>- XfAGs,, if rnQts,. - Monsieur l'Editeur du Journal d'Y près* Jê vous prie d'insérer dans le. prochain nu méro de votre estimable Juurnal, les détails sui- v«m., dWue. fêle,» donnéepar le soussigné l'ocv^ion, d'une dou4tioi» faite,,au profit du bu- re«ide. faenfa^ncç de Cfjtç. vi|le d'une rente annuellç de soixante-cinq francspar sa tille ciTéric Lpuise-Barbe de Poscfi. Après avoir fait chanter une mfesie, le g du courant l'église d* Saiçt-itertin Poperingbe y laquelle ont aMJé<M ,togs Uï. pauvres, de cette cùmauu no, aux quels og a fgit un,e di&tfibgtiqn de je sacs de grain convertis en bon pain le soussigné a réuni f dans !a maison de charité même la quelle cette donation avaic'été faite, 45 convi ve*, un banquet d'adieux décidé quitter ccqe ville, pqur ç'étublii\\ avec, sa nombreuse petite familje Yprqs,, oùles moyens d'édu cation sont plus répandus qu'à Poperinghe ban— qut où il a porté les toasts suivansqui tous ont été accueillis avec lé plus vif enthousiasme Premier toasx». -Yive Sâ Majesté le Roi Gau lai!!!* ppr.e.dg, son peuple afin quielle ppis.se, continuer longtemps d'accorder sou au guste protection au culte sacré de la grande majorité de ses fidèiés sujets! 2m- - A Sa Majesté là Reine dés Pays-Bas modèle.-de toutes les vertus de son sexe, et la plus bigijigisiuitc d«s princesses 3™- - .A,,son A. .R. le Prince d'Orange .héri tier-présomptif de ce beau royaume,çolonel- général des gardes communales idole des braves'- 4m" - A S. A. Impériale et Royale Madame la Pfincesse -dtOrange sœur, du plus puissant dés monarques modèle des mères et des épouses toyaU-sJ 5mc - Aux jeunes Princes d'Orangep-r Pyissent- ih suivre l'bxemple dé leur royal père et mère! 6*14— A S. A.-R. le Prince Frédéric des Pays- Btfuj grand-amiral, chef de tous les corps mili- ltW*i capable,deremplir, - toutes-; ses hautes et- ptmblcs fonctions poun, le,.bieu,-rètjn.e dé, «e royaume.. 7mc - A ,S. A. R. là Princesse Frédéric, des, Pïys-Bàs: Qite sa postérité.réponseen tout, l'illustre maison- de INissao 8°?' A,-,Ss, A. IL la Princesse -Marianne des - Pjysr^as; -..Qq?fl.Jp ,doiu»e, jlàns soimptoeltain ma- - riaSf,a A1 l'antique maison de ^Brandebourg» desjs descendais dignes du Guano—Fsévéric.. gm" - A S. Excellence Monsieur le Gouverneur, Comte -dé Bail 1,-tdé l'épouseduquel "nous pieu-T rous la perte-.récente.» mats,que nous désirons tous r cWKfivcr> longtemps, comme ;ckef.de,notre belle pro,Y;b\éP« iora- - A Monsieur le Commissaire de District,, VMi ddrftStichale de Mïubtu qui n'a pu assister ce banquet pour raisons majeures du service de, la milice), aussi noble de sa naissance qu'en procédés vis vis tous ses administrés! 11m" - A Messieurs les Bourgmestre et Ecbevins dé la Régence de Poperingue - Qu'ils vivent, longtemps comme pères des pauvres de cette bonne et laborieuse commune - Nous sommes privés de leur présence, par des raisons qu'il ne nous est pas donné d'approfondir ni permis de soupçonner i2.<a< Sa Majesté l'EiiritEUR n'Autriche, mon très-gracieux Souverain et Maître, dont le souve nir sera toujours précieux aux anciens Belges La plus franche gaité et cordialité a régné pendant cette fête de famille et de concitoyens elle a été embellie par la présence dé M. le Che valier de Coppens-La Martine, colonel d'Etat-Ma- jor des Armées de S. M. T.-C. et l'ami du soussigné. Les ao pauvres femmes qjui se trou vent dans cette maison de charité opt été co pieusement régalées et m'ont témoigné.' leur re connaissance de la manière - la-plus touchante» Fopennghe le »5 mars, 18Î0. Le Baron di Posch, t Major des Armées Ioq-.-Ro}. d'Autriche.' Les séances successives de la seconde chambre des états-généraux ont offeit le plus haut intérêt. Il 11e s'agissait de rien de moins que de l'immense question du droit de pétition, d'un de ces droits innés, preexislans, sanction nés, plutôt, par la loi fondamentale, pour mar quer lés devoirs de l'autorité compétente que pour établir le droit de pétition, proprement dit, eu égard aux citoyens. Quoi qu'il en soit il S'agissait, dalns l'éspèce j dun ordre du jour eu masse, contrairement aux conclusions de la commission des pétitions," laquelleavait opiné pour le dépôt au greffe, dépôt qui, lui même, u'est qu'une sotie d inhumation parlemen taire..., Au reste, il ne fallait qu'une mesure bienveillante équitablejuste il fallait, au moinsun accueil» un appui moral 3do,ooo pétitionnaires.... L'immense majorité de la chambre s est placée la hauteur de la question-, disons: qu'elle s'est placée àsa propre libuleur. Il parait que Rl. Donker-'Oartius avait soulevé celle question ardue, vitale. Elle a été combattue et refulée par là plupart des manda- t lires, méiidionaux. Ils se sont montrés dignes» d'eux-mêmes et.de la natibo. 11'serait inutile' de citer lêurs noms.Quand bnparlédë tribtttie' nationale, 011 sait, de reste, quels-orateursy-' défendent, pltis particulièrement, la 'Idi fonda- - mentale et la monarchie constitutionnelle. Nous -.' citerons, cepeiidtnt,'M.de LANG'UE^(1,"YpreS-^- dont le discours, aussi piquant que démonstra tif, a du-prodùire un© vive, une profonde, sensation. -- C'est dans la séance du m, que le dépôt au greffe- a -été adopté, pan88 voix con tre m.- - Nous regrettons vivement de ne pouvoir offrir, nos lecteurs que celle très- succincte analyse» Restreints dans les= bor nes' limitées de notre- Joumial, nous devous forcement dous y renfermer.) On écrit, dëConstantinoplé, le 13 février:-» L'ambassadeur d'Angleterre, sir R. Gor don, a, deux fois) par semaine» des conférences avec le reis-eifeodi, cl sou drogman travaille tous les jours, la Porte. L'objet de ces com munications fréquentes est inconnu; mais l'é change actif de courriers avec Londres porte croire qu'il s'agit d'intérêts majeurs. lil. OrJoffel Butém'efF mettront, dans1 quelques jours, la voile pour Odessa Le sergent Bitterling, prévenu d'assas sinat sur la personne de son colonela été condamné a la pçinedemort, par le deuxième conseil de guerre dé la huitième division, qui siège Marseille. .11 a été fusillé, le i« mats. -- D'après dés nouvelles récentes, il y a Smyrne et Vourlà, environ 40 vaisseaux an- glais]etjfrariçais de tonte ditaensiou. La flotte russe est toujours, 'Pôros. On dit que le centre droit se partage en deux sections qqi doivent marcher de concert: l'uneesl connue sous le nom de réunion s4gier\ l'autre se rassemble chez AL de Belieyme. La cour supérieure.de justice, xby.Bruxel- les a prononcé, le 6, dans l'all.iire dé M. l'abbé baron de Zinzerling réggnt de l'écolé des orphelius, Gaud, etc.. L'arrêt est confirmatif du jugement de i,e instance. La cour a tegar-» dé, commmeun point fixé par lajurisprudeuce» qu'il n'y avait pas lieu appeler des cousidé- rans des premiers juges. -- Les journaux annoncent, avec CERTI TUDE, que SI G. mylotd-diic ne paraît pas disposée s'ôpppser l'émancipation des antiques enfans d'Israël. Toutefois l'illustre gtjerrierTmiiiistrc y mettrait une PÈT1TE c mdilion: sine quâ non, sans doute? 1 - Une chaleureuse recommandation par la chambre dès communes; plus, les garanties nécessaires, comme dans le-cas des dissidens. - A la bonne heure! voilà, du moins,du libéralisme de la tolérance-britannique au'plus haut degré!!! Par.ordonnance du 26 février, la chambre dû cooseil du tribunal de -Tours a prÔVoticèîv la"mise en "prévention dé M,ne Courrier, ainsi' que des nommés Pierre Dubois, Martin Boule' 1 I 1

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 1