.<5) on croit que les interrogatoires OCCUperout toute l'audience de Ce jour. I romanesque, si-l'on se-rappelle quelle fut ess eulée eu 1816 par le commodoie américain Roggers, lequel avec une seule frégate de Go canons, entra hardiment dans le portoù il fit un ravage ulfieux et n'eu sortit qu'après avoir obtenu une traité pour le pavillon des Etats-Unis. - D'après le Standaard van. Plaanderen les voilures voile, qu'oudit être inventées dans l'Amérique du Nord sont une invention due un Brugeois Simon Steviu qui, déjà -du temps du prince Maurice de Nassau avait em ployé un voilure voile sur une piage de la Hollande. - Le premier cahier du Navigateurrecueil des Naufrages et des autres Everiemens uauii- ,ques, par une Société de Marins et de Géogra phes, vient de paraître. Une lithographie re-' présentant lenauirage de la goélette l'aven ture, le 39 juillet, t8a5, eu orne le frontis pice.- Nous reudroQS compte de cette livraison. y., n2 20. - VAlbion- Gazette dit que les prisons de la Nouvelle-Oiléans sont totalement désertes et que le grand - jury s'est dissoussans avoir eu juger aucun délit. - S. M., par arrêté du ao mars dernier, a ac cordé, pour un nouveau terme provisoire, de 5 .-ans dater de r83o, un subside annuelde 600 fi. destiné subvenir aux dépenses des .leçons normales, pour la formation de jeunes instituteurs dans la province du Hainaul. S. M., par arrêté du 33 du même-mois, a conféré, aux étais-députés, en aitéiatiou de ce lui du 3t janvier, 1824, la disposition prendre sur Us demandes en établissement., ou change ment, des moulins veut, eau, ou mntiçge servant moudre bled, faire de la drèche et a monder ou perler de l'orge, l'exception, tou tefois, des moulins iqu'on désirerait établir iSur le terrain ment ion né dans l'art. 177 de la loi générale, du 26 août, 1 228 Journal Offi ciel, 11® 38 par rapport auxquels les dispo sitions de l'art. 180 de ladite loi continueront être strictement observées. - Un avis de S. Exc, le ministre des finances informe ceux que la chose concerneque le .paiement, pour l'année échue le 3i décembre dernier, des rentes viagères inscrites au grand- livre de la dette nationale, sera ouvett pendant -les mois de mars, aviil, mai et juin. - Le Canton-Remisier, du 4 avril, contient lin article d'un'correspondant, dans lequel 'oh s'efforçait de mettre, sous un jour défavorable, la situation des affaires, relativement aux opé rations militaires contre Diépô-Négoro. I* doumal de Java, du 5 décembre, 1 élu te ces assertious, par quelques éclaircissenieus, où l'on -remarque, entre autres, les passages suivans:- Selon tous les rapports que l'on reçoit, on peut nourrir l'espoir que les sacr ifices immenses faits par le gouvernement, et qu'il conliuue encore de faireserontbientôtcouronnés |>ar rentière défaite du chef des mutins. Et nous demanderons, au correspondant de Batavia, ce qu'ôn devait avoir fait de plus? L'armée eu campagDe, consistant en troupes européenntes, et en baristans bien organisés, s'éleve, actuel lement, environ 27,000 hommes indépen damment des autrçs troupes, stationnées aux "êtablissemeris extérieurs, et dans les autres ré sidences de- l'île de J ava. Assises du Brabant Méridional. Séance du 16 avril. Ce matin MM. de Potier et consorts ont été conduits la cour d'assises 4 les voilures dans lesquelles se trouvaient les accusés étaient escortées par un détachement de la maréchaus sée. A midiod interrogeait le second prévenu Du iy. L'audience de la cour d'assises a commencé ce matin Vers dix heures; les prévenus oui été escortéscomme hier, par 11 maréchaussées, dont deux dans les voitures et 9 qui les entou raient. Vers uiidi on eu était l'audition du 5® lemuin. M. Le Vae sera entendu en vertu du pouvoir - discrétionnaire de M. le président. M. iielemans avait iuvoqué la déposition de MM. I es baions de Sécus et de Stassart, ainsi que celle de S. Exc. M. van Gobbelschroy mais les défenseurs ont renoncé les faire en tendre. De plus amples détails, au proch. n®. L'audience a été rendue publique, le lundi, 19. E X T EI1I E V il. FRANCE. Paris, 18 avril. S. A. R. le prince de Saxe-Cobourg a reçu le 1 2 la visite des ambassadeurs des puissances étrangères piès la cour de France. -- La Gazette annonce que la nouvelle don née par le Sun qu'il existe un traité eulre l'Au- gleterre et la France eu vertu duquel cette dernière puissance doit abandonner Alger, un mois après en avoir pris possession, est en tièrement dénuée de fondement. n® js22.) - Il a été parlé il y a peu de jours de la pré sence Paris d'un négociateur algérien qui se rait reparti sans avoir obtenu satisfaction aux diverses exigences mises en avant par. sou maître comme condition de paix. Nous pouvons an noncer aujourd'hui, d'après des informations ceitoines, que s'il est vrai que le gou vernement ait repoussé les prétentions de cet envoyé, il l'est aussi qu'au milieu des piépara- tift Ue la guerre, notre cabinet est loin d'avoir perdu tout espou de récoucilialioti et qu'il y a deux jours encoreun ancien diplomate qui a déjà rempli quelques missions dans le Levant esi parti avec des instructions spéciales et qu'il se dirige sur Alger. - ou écrit d'Amiens, n avril :- Des hommes inconnus et qui cherchent s'entourer des Timbres du mystère, viennent d'acheter huit journaux de terre près Doullens, poury construite un établissement d'éducation; les constructions sont commeucées; elles coûte ront 15<>,ooo fr.î Cette maison si nous som mes bien informes, doit devenir un uouveau Saint-Acbeul. - On éciit de Toulou le 7 avril - C'est M. Hugou qui va remplir la mission de M. Duperie sur la côuui'Alger. 11 partira sur l'Alerte accompagné du capitaine Bavastro, qui connaît -parfaitement toute l'étendue de celte côte. Ce dernier assure qu'à quatre lieues l'est d'Alger on rencontrait une source d'eau vive très-potable, située tout près de la côte, qui ne jifésentait en cet endroit qu'un fond de trois quatre pieds, et que les bateaux plats pourraient s'y eebouer uo quart d'eucàblure de terre. Celle découverte, si elle était telle que ce capitaine de corsairel»*»ppor»e, serait de la plus grande importance; -C'est pour vérifier cette assertion que M. Hugon s'embarque sur 1 C Alerteafin d'aller reconnaître jusqu'à quel point on peut se fonder sur ce rapport. L'annee d'expédition se compose de trois divisions d'infanterie, auxquelles sont joints les corps d'artillerie, du géure de cavalerie, les hôpitaux et tout le matériel nécessaire, qui com- k prendoutre ce qui concerne les autres servi ces plus de cent bouches feu. Chaque- division est composée de trois bri gades,-chaque brigade de deux régimens. Fout aussi par tie de l'expédition 3 esca drons de cavalerie, 8 coœp. du génie, 8 comp. d'artillerie,6 compagnies du train d'artillerie, 100 gendarmes, dont 3o cheval ,98 employé# des vivres, 70 officiers de santé a compagnies d'ouvriers d'administration on d'ambulance. Voici les noms des officiers-généraux qui composeront l'état-major, de cette expédition: M. le lieuteuant-général, comte de Bourmont commandant en chef le lieutenant-général baron Desprez, chef de l'état-major général le maréchal-de-camp de Tholosé, sous-chef de l'état-major généralle maréchal-de-camp ba ron Valazé,commandant le génie; le maréchal- de-camp vicomte de La Hitte, commandant l'ar tillerie; le colonel d'Esclaibes d'fiust, chef de l'état-major de l'artillerie; les lieulenans-géné- raux baron Berthezène, comte Loverdo, et rluc d'Escars, commandant les divisions; iuteudaul- geugralM. Déniée. ANGLETERRE. Londresly avril. On croit généralement que lord Mountcbarles sera nommé ambassadeur prés de la cour de Lisbonne, aussitôt que le roi de Portugal aura été reconnu,événement auquel on peut s'atten dre maintenant tous les jours. - John Bull. - Le navire qui a transporté le marquis de Palmella Tercète, est revenu hier Plymouth. Le conseil nommé par don Pédro pour main tenir les droits de sa fille doua Mariaa été so lennellement installé Tercère, le 16 mars. Plusieurs documens ont été publiés cette oc casion. Le premier est l'acte par lequel don Pédro abdiqua, il y a deuX ansses droits la couronne de Portugal eh faveur de dona Ma ria. Le second est un acte subséquent de D. Pédro, déclarant que D. Miguel a usurpé'lo pouvoir et que le Portugal estprivéde gouver nement légitime; cet acte nomme pour gouverner le royaume du Portugal au nom de D. Maria, une régence composée de trois membres, le marquis de Palmella, le comte Villa-Flor et M. Guerreiro.Leiruisièttiedocumentesriine procla mation de la régence maiutenaut réunie Ter cère, qui annoncé son installation dans cette îfe, où tous les loyaux Portugais sont invités se rendre. Il est dit dans celte pièce que D. Pédro serait autorisé par la conduite illégale de 1). Miguol, reprendre ses droits la couronne de Portugal mais que l'empereur, n'ayant en vue que le bien public, avait confirmé son abdication précédente eu faveur de sa filleet avait insti tué une régence dôot le premier devoir est de defendre lés droits de cette princesse. Les mem bres de la régence espèrent bientôt voir toute la nation portugaise embrasser la cause de fa légitimité, qui seule peut assurer la tranquillité de l'état et la sécurité des individus. - L'yacht le Heraldrécemment arrivé de la Havane, annonce qn'il est question d'en voyer une nouvelle expédition contiê le Mexi que, la mauvaise réussite de la dernière étant généralement attribuée l'incapacité de Barra- das. ALLEMAGNE. Mayèncei3 avril. Le plénipotentiaire français près de la com mission de la navigation du Rhin a reçu der nièrement de sa cour, lés instructions relatives au projet d'un règlement définitif, présenté par la Prusse et les Pays-Bas. La France accédé au piojelmais désire dans l'intérêt du commerce et de la navigation, une diminution dan» les droits de navigation du Haut-Rhin. Avant-hier:, la commission a tenu une séance, mais comme le plénipotentaire prussien, retenu par une ma ladie, ne se trouve pasici, l'on n'a pu y prendra aucune résolulioD,el l'on a dus'en tenir quel ques communication. Celles-ci paraissent ne pas avoir été fort satisfaisantesmais de iiature aji contraire faire craindre que de grauus obsta cles ue s'bpposeot encore la conclusion si ar 3

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Le Propagateur (1818-1871) | 1830 | | pagina 3