Le "ZJ°S"wSSï I" r «r du c"a'-° veïié que "les" troupes stationnées dans l'île de Nous apprenons que ces troupes n - r cette nuit a Lnghieu. - M. Lebeau, frere du ministres, est le me- environs de la ville, nous garantit de l'invasion Léoeold! c'est toi/ deciu du roi. de l'ennemi. >4«. A 2 - Les professeurs de l'athénée de Bruxelles On nous annonce voulant contribuer autant qu'il est en eux, lonta.res français suivent 1 armee. Le plus n courent la défense de la patrie, ont établi quinze cause des Belges, paraisse - philanthropie voir même l'orthodoxie et le patrio- bourses d'honneur pour les fils des Citoyens les volontair es auîourd'huî tismede certains personnages, ou quasi-oersonnage, morts dans la lutte nationale qui vient de s'en- - M. le général Belliard a.UJ'^Ur (on saura, de reste, lesquels), ne tend rien de "ïZZZiï: braves qui 1, plus vive syupa.hie pour la ££53 cpr^buU, :rJL .i_i_ i.<.ki;nnlnTi> muse des Belees. Daraisseut animer larm-e et informé que la bienve, Mie de soi. Cependant, il est des cas où, parmi plu sieurs iuconvéniensil faut choisir le moindre.... L'exception confirme donc la règle mais ne a e- imbule était nécessaire, bienveillance, la sollicitude la morts dans la lutte nationale qui gager contre la dynastie déchue vers une heure pour Mous, 1 effet de s y cou- d'une certaine importance r moins qu'a minvestir - Ou vieul de décharger ce malin la caserne ejeravun .mis colon- des Aunouciades huit voitures de fusils arrives L ar e ançaise Naraur la patriotes, avec ces bons et dignescitbyens!!! d'Ostende- ».es'JceUe de a!°"e eS1 mr iu" J.„,l«vill.feq«.i'h.biud.la^»5(,»» Qn nons annonce Jo..ol/r,roc ,nnr«! lete de cette colonne Dourra ce soir arrive, j vn,ite défendre le faible plusieurs officiers de l'i soûl partis de Lille, où ils continuent leurs n - orangistes, car il eu es. encore, s'eureudernaveu fealemen, cux. - rr* Le curé de S*-Joos-ten-Noode a aidé le 8faire son entrée hier Tournay justice Telle est l'importance politique dont parlent ces .i u:i,'«a mio î'nttmnpssiir moi: surprendre et faire arrêter trois Prussiens qui rôdaient daus la commune et qu'on soupçonne d'espionnage. M>I. Telle et la responsabilité que j'assurat elle n'a rien de commun, rien desoldaire, assumes sur moi comme on nouvelle importante. u *"v p lll "1. j Des nouvelles de Mous portent que 1 av.in - n,a rien de commun garde de l'armée française est entrée en cette voit, avec \e% faits et gestes de ville liier 9, onze heures du m>u». llupres les memes rapports, le mouvement s est ope Vcuii\eI agréer, etc. en même leras Lille et Givel, deux régime s ont couché Tournay. M. le maréchal '.éiar ma Sa M a^esuTme eba rge1 de vous annoncer qu'elle esUMons. Un rerou I inslani, par voie d;Ang,e..rre, In uou- L. de Woir», Votre ex-Collaborateur. Java s'étanl mises eu insurrection, les Belges, - S. M. le roi a attaché M. le baron Joseph Aux GUERRE!!! Dates et décorum pro P.lrii mort. armes en avant refoulons ces barbares plus nombreux que les autres Européens, se sont - e roi a A K le duc Jusque dans leurs marais l empâtés de l autorué et ont établi un gouverne- 00oV0rs a a l,e b J Frappons!..De leur vil sang; quoi! nousserionsavares!.. .1 t>pu. .'.ci o Orléans. Ir TT j„. r.,.r^;i. t II» J'Ul Lj UD uuiv/l IIV w O j lJ/\ w_ ment au nom de la nation belge. Toute l'île S est Q r eans. Vengeance des forfaits Liege9 août. De bonne heure, daus la matinée, le canon Refouions.... ou plutôt, sur leur terre d'esclaves s'était fait entendre dans la direction de Diest. Foudroyons ces brigands UTîisr^i occupai.., 1. Sam; Trcd Oa.-.U, do., vabrava. avaient poussé leurs avant postes jusqu a uelen- den, sur la route d'Oreye. Ils paraissent en Qnt_ils f donc, oublié d'immortelles journée»? nombre. Les Belges, qui leuaienl Tongres, Mais malheur, cette fois! soumise ce gouvernement Le roi vous iuvite envoyer de suite un agent a Batavia. - Le ministre de la guerre par intérim, Const. d'Hane. Bulletin du Moniteur, du g août. avance ignal iatb Au front de nos soldats C'est en vain que d'Asvus conjurant la ruine. Une forêt de mâts De l'Escaut indigné sur la plage voisine Vomisse le trépas. ivscusTro* de sx. «cd so™ des garnison de Maesuicht La Belgique^ debout riche de destinée,, S lM^ojfaà™, faire celle retraite précipi- semblés da„s la plau.e de Sle. Walburg.ils y A ïo,éEoi-mldat b*UU»wl,A;é.»j» par le général JJame er iorce ae Daure éîi rc- prês-amer,* mMulîre^v'iVlutfiMVè^'îrs nmiWaVi (faite pes mande de gardes civiques commandée par le géuéral dermeer était allé se mettre, a repris la route de Vaucoekelberh, Arschol, où se trouve main- Tongers. Elle avait avec elle une batterie de ta tenant le quartier-général royal. Le général pièces de campagne. Aux armes! - C'est en vain que, lâchement féroces, Niellon se trouve avec sa brigade Sichem où il 7 8 mille rations de vivres ont été expédiées T Le feule fer en mains occupe une superbe position. Le général Daine hier par l'intendant militaire de Liège l'armée °r Marchent en âuawliu^ alr0Ce'' a pris position Beringhem sur les derrières de de la Meuse une quantité de rations plus consi- l'ennemi. Nos 3 corps ont reçu l'ordre d'attaquer dérable encore doit s'effectuer aujourd'hui; l'au- en même tems, noire victoire est presque cer- torité municipale a été requise de fournir les taine. voilures nécessaires ce transport. - Les quatre ministres qui étaient restés L'autorité militaire a mis en état de défense Bruxelles, MM. Raikem, Lebeau, Coghen et de les forts de la ville. Les trouues de la earnison D i v i tut j i i t" «"«uiJwucMMimwiid Mais le, Pxsoi sont tous la! mais a nous la victoire! Meulenaere, se sont rendus a trois heures Liege s'y concentreront pour le cas où l'enuemi Qui sait la conquérir, LouvâiDy pour se réunir en conseil avec les deux approcherait de nos murs. Ce Peupletout entier 9 ne craint rien pour ta gloire* miinsties qui se trouvent près de S. M. Des dispositions ont été prises pour garantir sa'1 vaincre.—où périr - Le colonel Criquillou remplace le général la ville, en cas de besoin, des bombesTiollan- Vandermeere, dans le gouvernement militaire daises. Aux armes m avant! - Signale ton aurore, deLMgef h f A l Varme)du général Daine, campée dans les Branffis-le ^te^.?ains%ulCfi° h -D'heure en heure et sans discontinuer, passe Un escadron de cuirassiers hollandais a été par cette ville des aides-de-camp, des courriers, vu hier Oreye. Il appartenait au détachement et des estafettes, qui se rendent aux quartiers- qui s'est rendu St. Trond. généraux belges et français. - M. legénéral Daineavecson fils est descendu - U est arrivé hier avec la gardes civique et au pavillon Anglais. les volontaires du Hainaut, 8 superbes couleu- Le 8 minuit; on a sonné le tocsin Huy vrines de douze, montées sur leurs affûts. par suite de l'arrivée d'un courrier. On préten- 0p maendag 3g auguslus i83.ten a uerea naer middag, te Bnelenten buyze van Ge- assure qu'à Mous quelques femmes vu. Celle alerte avait mis tout le inonde sur pied. TrHHlÈK^'gedaen'woJ^e^o^r drn fermyo montent la garde pour laisser partis leurs maris. rnRKrsBnvntver wuiucn »uor ntu mnji - Les deux de Louis-Philippe sont arri- CORRESPONDANCE. van 6 ,aeren, mtegaen octobe.j,83 vés Bruxelles les princes sont descendus au A M' du PaoEAcs,.». openbaere verpagung der D.sch landen v.d de palais du régent, et y ont été reçus par M. de M WyUchaete, l3 «eût ,83,. ^,,,eeDte Lrieltn, aldaer gelegen, alsmede op Mpulenaere MoBS,tD*, Boesinge, Langemark, Bixscbote eu Vlaiaeï- eI! y asouvent, ridicule et vanité occuper le Pu- tinghe. I diaeiad txicoloii L. de Woi*f. AIMWOiNCES. PEBLIEKE VERPAGTING DER DISCHGOEDEREN VAN BRIELEN. préten- - M. le Major Schavaye est allé rejoindre dait que les Hollandais arrivaient de firlemout l'armée comme simple volontaire. sur Huy. On a été la découverte, maison n'a - On Ypres. Imprimerie de R. GAMBART-MORT 1ER Libraire, sur la Graude-Tlace

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Le Propagateur (1818-1871) | 1831 | | pagina 2