<p*s de raison pour laquelle la conférence pour
rait s'y opposer.
- ï^e Times fait mention d'un bruit selon
lequel la cour du Palais Royal pour justifier la
prolongation du séjour de ses noupes en Bel
gique, aurait proposé l'Angleterre de jeter
2es troupes Anvers, niais il déclare que le
gouvernement anglais ne saurait écouler uue
pareille proposition, a Le seul cas continue-
a-iloù uous devrions occuper Anvers serait et faire aux paysans une guerre d'extermination
quand les troupes françaises agiraient hostile- Il est probable qu'elle leur réussira; mais le
ment, -et quand nous devrions envoyer des contraire aussi est possible. Dans l'une ou l'au-
Iroupes, non pas pour imiter la conduite de la tre hypothèsequ'y gagnera le gouvernement?
le gouvernement national est de retour du quar
tier-général.
Le général Dembinski publie par un ordre
du jour les mouvemeus que l'armée est la
veille de faire.
M. Zeltergendre de Kosciuskoatttaché
l'état-major, a proposé dans la séance de
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guerre d'aucune espèce aussi tout ce qu on
peut dire l'étranger de contraire cette asser
tion ne doit être considéré que comme le rêve'
de quelques alarmistes.
Dans un grand nombre de châteaux et de
villes de la Hongrie, on ne dort pas maintenant
tranquille une seule nuit on y redoute sans
cesse d'être égorgé ou brûlé vif par lespaysans. l'association patriotique du g de Ce mois, d'é-
Les nobles finiront sans doute par se mettre la riger un corps franc qui rie demanderait ni
tète du peu de troupes qu'il y a de disponibles, ne recevrait jamais de quartier.
oQuatre candidats sont mis en avant pour la
place de géuéralissime: ProndzinskiUminski
Lubienski et Wladislas-Zamoyski.
Golowin a défendu sous peiue de mort Ka-
France, mais pour uous y opposer. Toutefois Aussi bien ri auïa grand'peine empêcher luszyude porter des vivres Varsovie. La
nous espérons qu'une telle occasion sera évitée que l'heure de la régénération de la Hongrie même défense a eu lieu Karczew.
par de la fermeté de notre part et par l'obser- n'arrive*. Les magnais éclairés y sont prépaies,
vation de leurs engagement de la part de nos La civilisation nationale est enfin sortie de l'i
gnoble minorité dans laquelle la maintenait une
oppressiou de plusieurs siècles; Vous diriezen
vérité qu'un Ezéchiel de la natioualilé eu rap
pelle maintenant partout la vie les membres
épars. Le lèmps marche irrésistible, saus se lais-
«oistos.
HONGRIE.
Hier 3 heures da matin une patrouile sor
tie de Praga a rencontré au-delà de Grochouw
nn détachement ennemi que les nôtres ont atta
qué et culbuté ils se sont avancés ensuite
plus d'un mille le long du tleuve.
Il paraît qu'une action importante a eu lieu
sous les murs de Zamosccar les russes ont
On lit l'article suivant dans la Tribune alle
mande, journal constitutionnel de Munich - u 1 au-
L'agitation est grande et sérieuse en Hongrie, «r arrêter par la demi barbaneavec laquelle on transporte a Hrnb.eszow 80 chariots de blesses.
La grande et la petite noblesse ont pris vive- a ch?rche comprimer les forces matérielles et Le camp est dans I état de sanle le plus dest
inent cœur la cause des Polonais elles ne dé
sirent rien tant que leur indépendance et leur na
tionalité. Elles se rappellent en même tems avec
orgueil et douieur que la Hongrie aussi fut in
dépendante avant lôsô, avant qu'elle ne tombât
sous la domination de ^Autriche. Elles savent
que la suite en fut au dedans une conspiration
hypocrite, tantôt sanglante contre la nationalité
la constitution les mœurs et même la langue
des Hougrois;et au dehors la perle de leurs plus
belles provinces enlevées par les Turcs. Daus le
peuple, au contraire (qui n'ayant poiut dedroit
11'est qu'une chose règne depuis les terribles
ravages du choléra-morbus, la plus étrange su
perstition; et cette occasion le gouvernement
autrichien a fait une cruelle expérience et sait
maintenant s'il vaut mieux éclairer les masses
que de les laisser croupir daus l'ignorance. Non
intellectuelles de la Hongrie. La prise de Var
sovie ne saurait même arrêter ce mouvement. On
s'étonne que les journaux de Frauce et d'An
gleterre soient si mal instruits de cet étal de
choseset ne fassent point d'efforts pour pou
voir mieux instruire l'Europe sur un sujet qui
a tant d'intérêt pour elle, et qui jusqu'à préseul
a été si peu compris.
AUTRICHE.
Vienne26 août
On attend d'un jour l'autre des nouvelles
décisives de Pologne Les deux armées sont si
rapprochées l'une de l'auire qu'on croit ije pou
voir attribuer leur inaction qu'à l'existence de
négociations entamées pour la paix. Des lettres
particulières assurent même que ces négociations
sont déjà fort avancées. On nomme même le
rable.
BIENS PATRIMONIAUX,
COMMUNE DE 7.ANTY00RDE.
Lieu Manoir et r B. 54 P. s6 Aun. de
Fonds d'Edifices Terger et Terres
Labour en 3 parties ci-après désignées.
A VBNDRB.,
Jeudi 15 Septembre 18314 heures de rele
vée au cabaret de Ste-Anne a Comines Belgi
que il sera procédé par le ministère du Notaire
ci-npres conformément au vœu- de la Loi da
13 Juiu 1816, la mise-à-prix du bieu-éuoncé
au texte repris ci-apres partiellement.
Premier [jot. - Uu Lieu Maooir ayant
corps d'habitation grange etable il autres
uelée et ameutée 'a l®le I,ouveau gouvernement, qui serait iu- piaulé de très-beaux Arbres monlans et Frui-
is* et l'extrémité sta"® au nom l'empereur. tiers, et potager eu débridant, aboutissant d'o-
rr.i - L'Observateur Autrichien confirme dans rient Joseph Vandelannoitte de midi l'arti-
priiLTcontreété Sues Prince Çiaétoryàkî comme devant être placé commodité eV5a pet chesVerger
inutiles par une populace aveug1
mais sur les rives de la Tbeiss
nord-ouest de là Hongrie le plus affreux des
préjugés s'est emparé des esprits de la basse
classe. Elle s'imagine que les nobles et les pro
priétaires veulent l'extirper complètement du
sol,que leurs médecins empoisonnent l'air et
l'eau, que c'est là pourquoi il meurt tant de
pauvres gens et si peu de noblesque ceux-ci
en effet ont des sortilèges qui fout périr leurs
serfsen même tems qu'ils garantissent leur
santé.
a II en est résulté dans les comitats de Zem-
plin de Szabott, deToroutal et d'Uugbvar, et
même snr quelques points de la Zips, uue guer
re tout-à-fait sauvage de paysans, dout plus de
L'Observateur Autrichien confirme dans
un article, daté de Constantinople s5 juillet, la
nouvelle des avantages rettipoites parle grand-
visir sur le pacha de Scu'.ari, qui est en ce mo
ment enfermé dans sa forteresse. Le grand-visir
a confié le soin d'en continuer le siège au délëbie
Hussein-pacha, et doit se diriger en peisoune
avec Je gros de son armée vêts la Bosnie, où
l'insurrection paraît devenir plus sérieuse. Le
commandement des troupes qui doivent opéter
contre les Bosniaques sera doimé Ibrahim-pa
cha, et elles se concentreront Nowibazar. Le
quartier-général du grand-visir est a Uskub.
La flotte turque a mis la voile le 18 juillet,
cinquante gentilshommes et jusqu'à des femmes sous le commandement du grand-amiral Halil-
- victimes. Un grand nombre de Pachai sa destination est eucoie inconnue; ou
rlil r» rvnr I -» rniitn il' A L)« mil lin
meme ont ete
châteaux ont été démolisel incendiés. Les lettres
de Pesth de Presbourg et de Vienue citent
parmi les victimes de la fureur populaire les
noms bien connus de Chaky, Szirmay, Almazy,
Boronkay etc. On a formé des cordons de
troupes, mais quand le feu est éteint sur uu point
il se rallume bientôt avec une nouvelle forcesur
lin autre. La force de la monarchie est complè
tement entravée par ces calamités. Le gouver
nement ne saurait en ce moment songer une
dit qu'elle a pris la route d'Alexandrie.
Les accideos de peste étaient devenus si rares
Constantinople depuis t5 jours,qu'on espérait
voir bientôt cesser ce fléau.
NOUVELLES DE POLOGNE.
Varsovie,le i5 août.
La dépuiation nommée par les chambres et dirions.
Ypres. Imprimerie de R. GAMBART-M0RT1ER Libraire, sur la Grande-Place.
Josepï
cle trois d'occident l'article suivant, et audit
Vandelannoitte, et de uord Jeau-Baptiste
Bille.
Deuxième Lot. - 70 perches 5s aunes de
Labour et Liséré de Boissur le noordouest
sud-ouest elle sud-est, aboutissant d'orient a
M Ile Vandevy ver et aux articles suivant et
précédent, de inidi Guillaume Ferret, d'occi-
aux pauvres de Zanlvoorde et de nord audit
Vandelannoitte.
Troisième Lot. - 3o perches 84 aunes La
bour tenant d'orient et midi la dite Vande
vy ver d'occident l'article précédeul et de nord
l'article premier.
Lesquels Biens auxquels l'acquéreur pourra
mettre mains au premier Octobie 183s, sont*
occupés par la veuve et enfants /.ouis fande-
lannoitte au reudage outre l'impôt de 5i flo
rins 97 cents par au.
L'adjudication déGnitive aura lieu auxdils
lieu et heure le Jeudi 39 Septembre suivant.
M.l,e CourtensNotaire la réùdtnce de
Comines est chargé de celle Vente et des con-
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11 1 m
