3 lare) ou 354,747 "niiles carrés géographiques l'exemple de la Russie, que son germe peut conserver 22,000,000 d'hbiUK S jX," ta savoir: Angleterre, *2,400,000; Pays de Gai- fourr;rei# «te/ h les,680,000; .Ecosse, aa 1,8000, îles adjacen tes 140,000. Total 2 2,418,000. La 'Gazette d'état de Prusse rapporte ■que les Russes se sont mis en possession de la ■ville lilire de Cracoviele 37 septembre au soir. Les débris de l'armee polonaise se sont retirés en Gallicie. "Bruxellesi5 octobre La régence de Bruxelles vient de publier une ordonnance qui rappelle toutes les lois et ordonnances existantes sur la police des passe ports et autres mesures de sûreté municipale. _r t - Aujourd'hui ont eu lieu la cour d'assises ,cnl Varsovie, 3o septembre: Le J(. Brux^,s les .„enll„cS au,jlal<c« aïtc le con mandant de la place de Var«me, karon 0u t r Wsir sur ,es S"""; «s'"'7me ™°1; 36 jurés désignés par le sor. Lu, pr.odte par. mar.dau.de la "amodie de Podlachie; .1 es. la'sessi %U1VseaUmm! se Lu „0uvés remplace .ci par le général Pencherwski. abK„s Mns fi,U admel„e de. molife. Il y a quelques jours la haute cour militaire s'est occupé de l'afîaire du lieutenant Lénoir dû 7 e régiment de ligne accusé de désertion et condanmné, par le conseil de guerre de Na- mur la dégradation. M. l'avocat Fontainas conseil de l'accusé, qui a fait preuve de talens dans le développement de ses moyens de défen se et promet au bureau un jurisconsulte dis tingué a fait ressortir avec succès, en faveur de son client, la différence de la position de l'of ficier et celle du simple soldaisous le rapport de la désertion. - L'officier, lié par l'honneur Une lettre de Naples, insérée dans la Ga zette d'yiugsbourg, nous apprend que le gou vernement tiapolilain dispute aux Anglais la possession de l'île volcanique qui vient d'être découverte dans la Méditerranée. Déjà le roi de Naples a envoyé un capitaine de sa marine pour s'emparer de cette île et lui donner le nom de St.-Ferdinand. Vu i-j - L'ordre vient d'arriver pour la mise en activité des quatre bataillons de la garde civique de Gand. Ils partiront jeudi, pour aller tenir garnison Ostende. Le ier batatllon de la garde civique de Bruges fort de 5o officeirs et de 5 600 hommes logé cette ga ,uj assure a„ r dis,jllgué dans nuit dans notre ville. Il en est parti ce matin pour D - la société, ua aucun intérêt a quitter un poste satisfaisant pour son amour-propre-, - le soldat au contraire, appelé sous les armes, n'obéit qu'à l'appel de la loi. Ce système a triomphé, et Me Fontainas a Beveren. Que les gardes de Beveren, maintenant en garnison Westcapellesoient donc sans inquiétude: Leurs familles ne seront pas sans défense. - La i5me batterie de campagne partira le 19 de Bruxelles pour Termonde. -Les régence de Gand et de St.-Nicolas ont obtenu un délai pour la confection et la publication de leurs budget. Notre régence a-t-elle peut-être besoin de ce délai peur chercher remplacer la mouture par d'autre» taxes Espérons toujours. - On lit dans le Moniteur Belge: Le projet de loi çur la sûreté publique avait pour but principal d'em- Sêcher les intelligences avec l'ennemi l'art. 1" était estiné procurer au gouvernement le moyen d'at teindre cebutet constituait ainsi la loi tout entière. obtenu pour le lieutenant Lenoir uu arrêt d'ac quittement. On n'avait point admis jusqu'aujourd'hui cette distincliou intentionnelle entre les officiers et les soldats. - Nous avions annoncé que les officiers fran çais prenant du service en Belgique rece vaient deux cent cinquante florins litre de frais d'équipement. Nous devons dire que celle L'article ayant été remplacé par l'amendement de jDdealnilé u'eSt allouée qu'aux sous-officiers qui deux honorables députés, le gouvernement se trou- 1 1 vait dans une plus grande impuissance qu'aupara- Passe^' heUlenanS. Emancipation. Vant, et le retrait du projet est devenu nécessaire. - On écrit de Namur 16 octobre: Il est arrivé bier vers la soirée un bateau chargé de fusils, venant de Givet; on en évalue la quantité »5,ooo; ils ont été déposés immédiatement l'arsenal. On dit ici qu'il doit en arriver jusqu'à concurrence de 6o,ooo. CHOLERA. Le Moniteur belge contient dans son n° du 14, plusieurs arrêtés qui prescrivent de nouvelles me sures pour préserver le pays du choieraet établis sent de nouvelles commissions sanitaires locales dans quelques communes de la province de Liège et du Luxembourg. - Mouvement du choiera Berlin jusqu'au 9oc- Par"e de la rive gauche (lu meme fleuve. En tobre midi: 1,214 malades,295guéris, 764.morts, d'autres points les propositions susdites ren- i55 en traitement. Augmentation de malades dans les chérissaient encore sur les exigences dont nous dernières 24 heures, 27. parlions alors. En un mot, elles étaient telle— - A Vienne jusqu'au 4 octobre midi: 1,597 ma- Les troupes qui avaient été envoyées Overyssclie pour calmer la légère émeute qui y avoit eu lieu, sont revenues hier Bruxelles; leur présence avait suffi pour tout apaiser! - Ce n'est pas, proprement parler, un proto- cole'quia été communiqué notre gouvernement mais bien une serte de nouvelles propositions relatives la fixation de nos limites, et sans au cune mention de la dette. Ces propositions re- produisoient en majeure partie ce que nous avons ditil y a plusieurs jours, relativement la cession faire la Hollande de la rive droi te de la Meuse et de Maestrichl avec une grande lades483 guéris, 661 morts, 455 en traitement. Augmentation de malades pendant les dernières 24 heures jusquesau 5 midi: 55. - M. Canning. ministre d'Angleterre Hambourg, a annoncé son gouvernement l'apparition du cho iera dans cette ville. - Un voyageur de l'intérieur de l'Allemagne an nonce que le oholera est Magdebourg. ment inacceptablesque M. de Talleyrand lui-même les avoit trouvées ainsiet n'avoit pas voulu y prendre part. Il en avoit référé son gouvernement et les propositions sont ar rivées sans sa participation. Notre ministère a donc bien fait de refuser d'entrer en négociati on sur des pareilles bases. Ainsi que rions l'a- l/irv v qUv ■S' wn/eo# b» vub u L'Xo^vICUv UI L_ "Il I On a remarqué dans les étangs de Marienvorder dit, il les a renvoyées et a déclaré s'en te- Prusse où le choiera exerce maintenant de grands nir,comme auparavantaux dix-huit articles, ravages, que tous les poissons meurent. La police a Courrier fait recueillir et enterrer plus de 40 tonnes de ces ti x j 1 -n poissons sur le seul étang de Zempelberg. lest bruit dans la ville que de I arrivée - Le froid de l'hiver fait entièrement cesser le d un nouveau protocole déterminant les limi- eholeraou l'endort cependant, il est prouvé par tes de la Belgique. D'après celle uouvelle déci sion de la conférence, nous perdrions tonte la rive droite de la Meuse une partie de la rive gauche et Maestrichl; plus toute la partie alle mande du Luxembourg, y compris Arlon. No tre gouvernement renvoyé ce protocole, com me dérogeant aux 18 articles des préliminaires de paix. La France n'a point encore signé ce nouvel acte de la conférence. Indépendant. - Plusieurs journaux ont annoncé que com munication aurait été failee au gouvernement d'un protocole renfermant des propositions in acceptables. Nous croyons qu'il n'y a eu Di protocole ni propositions officielle. - Mais des craintes sur les décisions de la conférence ont pu être communiqué; et nous avons en tous cas assez de confiance dans la fermeté du gouverne ment pour croire qu'il n'aura pas manqué a ce que l'houneur lui commande. Emancipation. - A partir de ce jour 14 toute correspon dance, en transit, de la Prusse, dont le trans port sur uotre territoire n'est pas bonifié par cet office, est soumise un affranchissement forcé, jusqu'au bureau frontière de Verviers. En conséquence, il ne sera donné cours aucune lettre pour laquelle cette formalité n'aurait pas été observée. Arrroyal du ia octobre.) - M. le général Goblet, envoyé Loudres, est de retour depuis le i3. Nos lecteurs se rappel leront qu'on a supposé ce général, lorsqu'il partait pour Londresla mission de traiter spécialement la question des forteresses. - La combinaison ministériel est enfin trou- vée. M. Lcbeau ne rentrera pBS aux affaires étrangères, il ne veut pas absolument manquer l'engagement qu'il a pris devant le congrès. Mais comme il est en tout des accommodemens le sacrifice que fait M. Lebeau sera ua peu compensé. Sonami, M. Devaux prendra le porte feuille; c'est une chose qui paraît décidée. Ainsi, M. Lebeau pourra conserver son influence im médiate sur les affaires. Ce qui dousétonne, c'est qu'il ail fallu si long-temps pour trouver un moyen aussi simple. M. de Meulenaere se trou verait ainsi définitivement l'intérieur ce qui serait un bon choix. Le Belge.) - M. le ministre n'a dit que les banalité* com munes de son thème. En fouillant bien dans les trivialités des systèmes arbitraires il aurait trouvé mieux. Mais ce qui est vraiment grotes que, c'est de prétendre qu'un code fait l'usage de Bonaparte est insuffisant pour les guerres que vont taire nos ministres. Voilà Jéna et siusterlitz enfoncés. (Lynx.) - Les ministres ont dit la chambre ces lois sont arbitraires, mais vous n'eu craindrez pas l'abus entre les mains d'homme comme nous. - Si nous demandons des loisexceptionuelles, a dit le ministère, c'est pour éviter que le peu ple dans sa colère ne fasse justice de ses enne mis en se livrant au pillage et la dévastation. Quand M. le ministre aura le temps d'étudier l'histoire, il verra que son argument est root mot celui qu'employa le comité de salut public pour faire adopter le tribunal révolutionnaire. - M. Devaux a dit que la loi était un adou cissement au code pénal. Celte raison est telle ment bouffonne, que le code pénal conserve le formes protectrices de la justice régulière aux crimes politiques et que le projet met hors la loi les simples délits. lbid. - Nous leuons de bonne source que if. de Brouckerenotre ministre de la guerre a dit

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Le Propagateur (1818-1871) | 1831 | | pagina 2