pays, pareour
lac têt comme te. îoos 'es hospices on a renonce»
çne. 'Il»été aru1 des cholériques, aux prépa
nier n'ayant su- l'acetale de plomb du doc-
vant 0-r^J^^ an sulfate de quinine du doc-
§UP. touily aux bains de vapeurs qui n'ont
jXussi sur aucun malade la galvanopunciure.
Le tartre émrtique et l'ipécacuanha les vo
mitifs de moutarde, les syuapismes, les moxas»
les ventouses e l'épigastre administrés dans la
première période de la maladie, outseuls donué
•kJlS résultats satisfaisant.
ANGLETERRE.
~Z.ond.res 4 avril.
Le comte Matuschewicz le baron de Wes-
seniberg le baron de Neumann et les ministres
de Prusse et de Belgique, ont eu hier des entre
vues avec lord Palinerston.
- Le comte OrlolT a reçu hier matin de bon
ne heure par un courrier extraordinaire des
^dépêchesde son gouvernement. 11 a eu ensuite une
«ntrevue avec le prince Lieven sur les affaires
diplomatique ainsi qu'une conférence avec le
■vicomte Palmerston.
- Bulletin du choléra Londres en da'te
•d atijouid'hui: 58 nouveaux cas et 33 décès.
Du S. - La même feuille prétend savoir que
les gouvernemens français et anglais on pris des
'mesures pour empêcher le roi d'Espagne de se-
■couiir don Miguel, en lui envoyant sous main
des troupes auxiliaires.
- Bulletin officiel sur le choléra Londres,
■aujourd'hui: 47 nouveaux cas, 3o décès.
Du 6. - Il y a eu hier, au Foreing-office, une
réunion de la conférence pour les affaires de la
Belgique et de la Hollande. Le Courrier an
nonce qu'il ne s'y est rien fait de positif, mais
qu'il a appris que les plénipotentiaires des cinq
-grandes puissances s'y étaient exprimés dans les
tannes les plus amicaux.
Outre les ministres étrangers accrédités la
cour d'Angleterre, les diplomates chargés de
missionsspeciales et le comte Orloffy ont assisté,
M., van de Weyer a eu une entrevue avec lord
Palmerston, avant la tenue de la conférence.
- 11 y a eu aujourd'hui 3i nouveaux cas et
17 décès. Le total des personnes atteintes du
•choiera Loddres, depuis l'invasion de la ma
ladie, est de 3,158, dont 1148 ont succombé.
ALLEMAGNE.
Françfort6 avril.
L'ambassadeur français près la cour de Rus
sie, maréchal Mortier a quitté Berlin le a de
ce mois, pour continuer sa route vers Péters-
i»<>arg.
- Le Correspondant de Nurembourg as
sure que S. M. l'impératrice de Russie est at
tendue Berlin.
- Ou lit dans la Gazette universelle que,
le ai mars, le comte S'-Aulairs a été admis
l'audience du pape c'est la première qu'il a ob
tenue depuis la prise d'Ancôneet par consé
quent, elle doit avoir été d'un grave intérêt. Le
comtea exprimé au saint-père la désapprobation
vin cabinet français sur cet événement qui a eu
4-n
lieu contrairement aux instructions quil avait
données; il a aussi développé les vues pacifiques
de sa courtout en réitirant cependant sa de
mande d'obteuir enÛD de S. S. son consentement
un prolongement de séjour des Français
Ancône. Le souverain pontife soumettra proba
blement la question aux puissances alliées; et on
n'en connaîtra le résultat qu'au reçu de la ré
ponse une nouvelle note remise par le comte
S'-Aulaire au cardinal secrétaire d'état, ensuite
de cette audience. Les cardinaux dans leurs
congrégations continuent leurs délibérations.
AOUT it SEPTEMBRE, ou LES BELGES, VENGÉS.
Et qu'il veui resta au front
LioroiT)Louvais, pris soin de nous absoudre
Et le Bilcb noirci de fumée et de poudre;
A lavé tout affront!
C'est-là que, rallies son royal panache,
Nous avons effacédans le sang, une tache....
Qui n'incombe qu'à vous
I.ioroLD noblement a porté la couronne
Nos cœurs, voilà sa garde-, et nos pavois, son trône!
Un tel Cas» est nous!
Et vienne des combats le jour expiatoire
On verra qui de nous, digne de la victoire,
Sait et vaincre, et mourir.'...
L'astre du Pasc jaillit de purs flots de lumière:
Voilà notre soleil! - Il signale une autre ère....
Qui vous, nous la ravir!!!
L. os YVoi»r.
C'est en vain qu'embouchant la trompette guerrière,
De ses exploits d'AucusTB insolemment allière,
La Hollande, aujourd'hui,
Prétendrait de Septembre obscurcir la victoire;
Et, par la trahison par des combats sans gloire,
Dire 1 - a Le Belge a fui -
Et vous n'avez pasfui, vous, vaillantes cohortes!
Quand, de Bruielle, en masse, envahissant les portes,
Moins soldats que brigands,
Du Parc, Frédéric, vouant des hécatombes,
Par-tout, sur vous, tonnaient la mitraille, les bombes,
Des Bblcss, triomphans!...
Et vous n'avez pas roi, vous, guerriers si terribles!...
A Walhem vous fûtes.... invincibles!...
Non vous n'avetpas »ui,
A Kermpt. Zonhoven! C'est un lâche mensongo..,.
Et ces jours immortels ne sont que le vain songe
D'un plus lâche ennemi!...
- Mais pourquoi, diret-vous, recourir la France?
-Comment! lorsqu'à genoux devant la conférence,
Vous imploriez secours
Comme des faons craintifs, dans vos marais humides
Fuyant devant la Blouse étiez-vous des Alcides.
- C'étaient nos mauvais jours
Excuse ridicule! impudent subterfuge!
Qu'entre le Bee-ce et vous l'Europe soit le juge!
Nous vous avons vaincus:
En bravesen soldats, sur les monts, dans les plaines,
Nous vous avons frappés des débris de nos chaînes,
Que brisaient nos bras nus
Et vous, qu'avez-vousfait?Citez, donc, vos victoires!
Vos épiques jongteurs s'en vont, berçont d'histoires
La tourbe et vos journaux!
Mais Calloo, mais Anvers sout-là, qui leur répondent.
De lâches attentats sont-là, qui vous confondent
Magnanimes héros
Anathéme aux succès que flétrit la Justice;
Ennemis foi-menteurs, parjurant l'armistice,
Le feu le fer en moins
Vous accourez du foud de vos moites retraites,
Vous ruer sur les lieux témoins de vos défaites,
En cruels assassins!...
Si tranquille en la foi des nations entre elles,
Trop confiantpeut-être, aux clauses solennelles,
En seA hommes d'état,
Le Beice quitoujoursaffronta les alarmes,
Surpris, dut, en sursaut, par-tout courir aux armes,
A-t-il »ci le combat 1
Si vous eûtes pour vous usurpateurs de gloire,
Un moment, des destins la chance aléatoire,
Le sort dut nous punir....
Le Drapeau tricolore est fécond en miracles:
A la pointe du glaive, il rend tous ses oracles....
Oui, foi dans l'avenir!
Mais soit! vous l'honneur dont rougiraient les braves
Donteussent rougi niéme,ou les Huns ou les Slaves..
ANNONCES.
j3 Très belle Ferme patrimoniale ven
dre en la faille d'ïpres.
Le samedi si Avril i83s 3 heures de
relevée l'estaminet la Longue aillée rue de
Lille Ypres il sera procédé par le Notaire
RENTY résidant en ladite Ville l'adjudi
cation définitive d'une très belle Ferme solide
ment bâtie, contenant parmi pâturages et terre
labourables, le nombre de 18 boDniers 76 per
ches situées en la commune d'Oostvleteren non
loin du hameau le Korlekeertraversée par le
pavé d'Ypres Fumes, occupée jusqu'à la
St. Remi i833 par Jacques Morlion au
prix annuel de 487 florins i5 centièmes par au
outre les impositions.
Mise prix 8000 florins.
74
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De 3o 40 5o 60 70 ^t 80 p. cent.
Le sieur F CANONGETTEcommissaire en li
brairie l'honneur d'informer MM. les amateurs de
la ville et des environs d'Ypres, qu'il vient de dé-
baller_ pour quelques jours au Parnassus-IIqf
petite Place, un superbe assortiment de livres de
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prudence, -théologie philosophie sciences et arts
médecine et chirurgie éducationpiété, classiques
etc., qu'il vend des prix de rabais inconnus jus
qu'à ce jour et dont le catalogue se distribue gratis
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yo. Schoon Huys en Hovenier Hof,
openbaer te verkoopen binnen L00.
Donderdag 12 April i83i zal gebeuren den
Instel en Donderdag 26 der zelve maend den
Overslagt'elkens ten twee uren na middag,
in de herberg het Stadhuys binnen Loovan
ecn schoon gerievelyk Huis met Hovenier Hof en
aile zyne dependentien staende binnen I.00ter
noordzyde van de Hautpont straete weinig oost
van de Loobrugge, thans gebruykt door d'heer
Louis Provoostom bandslag bet zy met eersten
Mey het zy met 1 October aenstaenae ingevolge
de begeerte van den kooperden welken daer
op zal mogen bezet houden eene som van 1028
guldens 5o cents 5 p 0/0 by jaere die eysch-
baer is d'en zg September 1841.
De veylconditien met de bewyzen van eygen-
dom berusten ten kantoore van den Notaris FLOOR
tôt Loo, met deze verkooping belast. 2
Iprêt. Imprimcri* «i« R. GAàlBART-MOR flER, Libraire, tenant auiii Magasin d« tout* lorU de Papier»sur la Grande-
•Pl.