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ANNONCES.
HCYZEN EN ERVEN
Stad kortryk. - in de st. jans-straet.
santépasseront quelque temps Paris, et il est
plus que propable qu'ils feront aussi une visite
Claremontoù tout est maintenu sur l'ancien
pied. Un traité d'ailliance offensive et défensive
sera conclu entre la France et la Belgique.
- Leduc de Wellington a envoyé des cirtes
d'invitation pour uue fêle qu'il va donner sou
hôtel Londres, ce qui contredit la nouvelle
qu'il.restera Strathsayfield jusqu'après l'adop
tion du bill de réforme.
- Le Courrier dément dans un article la
nouvelle que lord William Russell est Lisbonne
pour négocier un arrangement entre don Pedro
«t l'usurpateur.
s
i>ï l'instruction
Chez les Femmes du XIXsiècle.
Suite du numéro précédent.
De toutes les réformes opérées dans notre éducation
on n'a obtenu pendant long-temps que des résultats
incomplets et même aujourd'hui ou l'améliora
tion et plus réelle que jamais il reste beaucoup
faire. Ce qu'il manque encore un système bien
entendu tient peut-être un reste de cet esprit de
préjugé qui, pendant si longtemps a réglé l'opi
nion notre égard et a tenu la mesure de nos lumiè
res fort au-dessous de celle de notre intelligence
mais le règne de l'erreur a passé et son sceptre usé
s'est brisé pour jamais contre la raison du siècle
nouveau. Aussi reconnaît-on chaque jour d'avantage
la nécessité de suivre, dans la marche de notre édu
cation le système de droiture et de vérité qui en
avait été banni jusqu'à présentet les succès obte
nus promettent des succès plus heureux encore.
Même dans la jeune fille sortie peine de l'adolés-
cence on reconnaît déjà l'ipfluence d'un siècle sags
sa pensée est sérieuse, sa raison hâtive jusqu'aux
rires folâtres de son âge, tout est empreint de sagesse.
De bonne heure, on la voit s'occupei avec intérêt
de choses graves qui auraient fait bâiller d'ennui
ou reculer d'effroi toute jeune fille du siècle dernier.
Aussi le misérable langage de la galanterie n'est-il
plus fait pour elle il choque son oreille il répu
gne son esprit délicat et sévère déjà elle com
prend trop la dignité de son être pour ne pas crain
dre tout ce qui peut la froiser. Désormais plus de
mensonges, plus de fausses maximes pour la tromper
et lui apprendre tromper: dans un siècle de vérité,
tout en elle doit être vérité car elle ne s'étudie
lus dissimuler ses pensées renfermer ses idées
ans un cercle étroit et borné. Elle est enfin, elle sera
ce que la nature et les lumières de son siècle ne peu
vent manquer de la faire.
Ainsi plus elle s'instruit et s'éclaire, plus son
âme s'échauffe et se pénètre du sentiment sublime
des devoirs d'épouse et de mère de ces dévoirs sa
crés que d'avance elle apprend aimer sous les veux
de sa mère elle s'y prépare dans toute l'innocence
de la vertu cette innocence réelle qui n'a rien de
commun avec celle de l'ignorance et de la sottise.
Telle est, telle doit etre la jeune fille de nos jours
y modeste recueillie, aimable comme son âge,
gracieuse et vraie comme la nature, et grave déjà
comme le siècle auquel elle appartient.
C'est donc un système d'éducation plus sage
ment combiné qu'il ne l'avait jamais été que l'on
doit de tels succès mais ce système quoique supé
rieur tous ceux qui l'ont précédé a besoin de
s'améliorer encore pour rendre la lemme réellement
capable de suivre sous l'égide de l'homme le mouve
ment des lumières; de s'avancer et de s'élever avec
luicar partout où il se place, ne doit-elle pas se
placer après lui comme la moitié inséparable de
son être? r
C'est alors qu'elle aura recueilli les résultats pré
cieux a'un tel système qu'il sera convaincu, com
me il doit l'être de l'importance de l'étude pour
notre raison nos devoirs et son bonheur; c'est alors
qu'il s'avouera que presque tous nos défauts ou nos
travers naissent de notre manque de savoir; que nous
avons droit avec lui une part égale de lumière et
que l'indépendance du siècle est une conquête dont
la moitié nous appartient.
Que l'on considère la femme depuis le siècle der
nier jusqu'à celui-ci, soit sous le rapport de l'ins
truction et des beaux-arts soit sous celui de ses de
voirs comme épouse et comme mère et l'on verra
quel degré de supériorité elle s'est élevée déjà par
l'exercice de la pensée et le résultat de l'étude; et
l'on reconnaîtra qu'elle peut et qu'elle doit s'élever
un degré plus supérieur encore.
Tout l'annonce dans la jeune fille du siècle tout
en elle promet la femme sage éclairée forte, dont
l'esprit dégagé enfin des chaînes de l'erreur, prendra
désormais le noble essor que le ciel lui a marqué ain
si qu'à l'homme. Et alors seulement on pourra dire
avec vérité, en observant toutes les actions de sa
vie Qu'appelée vivre de moitié avec le cœur
de son époux elle vit aussi de moitié avec son
esprit, u Mm° Aragon.
113.
LITTREK LIT DE VRAEG IN SCIIEIDING
VAN GOEDEREN
By exploit gedaen door Casimir Do Mord,
deurwaerder by deReglbaok vau eerslen aenleg
zittende t'Yperen, deti dertigslen mey agttien
honderdtwee eo derlig, geregistreerd t'Yperen
den eerslen dezer maend juny, volume 3i F°
17, Y", case première, door den heer onlfanger
L. Deschodt die ontfangen heeft een gulden
een cent additionneelen of verhoogen begrepen,
heeft jouffrouwe Maria-Folquina-Jacoba-
Xaveria Beyaertechtgenoote van sieur
Karel-Joseph yanseverenwoonende met
hem te Nieuwkerke, landbouwer, haere vraeg
in scheiding van goederen iegens haeren gezei-
dea man gemaekt, en aeogesleld voor haeren
avoué Meester Karel Duhayon avoué licen-
ciaet woonende in de Wenink-straet numéro
vyftien tôt het gezegde Yperen.
yoor waeragtig uittreksel geteekend. x
1Î4!
verkooping van twee schoone partyen
KLAVEKS,
Buiten de Meenen poort te Yperen.
Donderdag 14 juny i83a, ten 2 uren na-
middag juist, zal'er in de berberg de Smisse,
Luiten de Meenen poort te Yperen, bewoond
by Joseph Du Corneztôt de verkooping
overgegaen worden van twee zeer schoone par-
tien Klavers, de eerste groot omirent de 77
roeden 17 ellen, gelegen by de Bascule langst
den steenweg na Meenen. En de andere 00k van
77 roeden 17 ellen, gelegen in het Groensel-
hof laesl gebruikl door Jacobus Louwagie
agter de herberge de Citadelle, beide buiten
de Meenen poort te Yperen.
De verkooping zal gebeuren np voordeelige
voorwaerden en met redelyken tyd van beia-
ling, mils bekende borge te stellen. 1
115. PATRI.UONIEELE GOEDEREN
bestaende in
Gestaen en gelegen binnen de stad Kortryk
openbaerlyk te koopen.
Ten verzoeke van i° Franciscus-Joannes
Hofman vvevers baes, en Franciscus-Josephus
Snellaert koopman beyde te kortryk, in hunne
hoedaeniglieyd van voogd en loezienden voogd
overde bénéficiaire erfgeuaemeu uagelaten duor
i° Karel-Ilcnri Jacob; 2° Maria-Joanna Hof
man hùysvroinv van Jacob; 3® Adolphe Frédé
ric Jacob, eD 4° Desiderius-Amalus Jacob bey
de zoonen van dito Jacob en deszelfs vrouw al
overleden le Kortryk.
Kragteos vonuis verleend door de regtbank
vau eersten aenleg, zitling houdende te Kortryk,
den 13 april i832, en ten overslaen van den
heer Vrederegter en deszelfs Greffier van het 4*
kanton der stad en gebied Kortryk, zal'er door
de ambts-verrigting van Meester PIETER-
JOSEPH GHELLYNCK, Notaris, residereude
te Kortrykaen den meeslbiedende worden ver-
kogt, met fiel houden van twee zitdagen, waer
vau den eersten tôt Instel zal plaets hebben op
Maendag 28 Mey i832, en den tweeden lot de
GunnÎDg of Overslag op Maendag 11 Juny
daer na, l'elkens om 4 uren na middag preçies
in de herberg genaemd Parnassus-Bergin
de Korte-Sleenstrael, bewoond by d'beer Jo-
ANNES VAN Lerberge, te Kortryk de volgende
onroerende goederen.
Eersten Koop.
Een Woonhuys stede en erf hebbetide
schoone beneden en boven plaetsen, wyukel tôt
het bedryven aile slag van koopliandel met
wynkel-beslag daer medegaendeen meer au-
der gerieflykheden voorhoofdende in de Sint
Jans-straet, geteekend N® 11 mede met een
agterhuyzekeu staende ten oostkaute van dezeu
koop met den uytgang, erve en poorte tôt in de
Sint Jaus-straet, hier medegaende, geteekend
N® i5, al tegenwoordig onbewoond; paelende
oost Joannes Doornaerlzuyd den tweedeu
koop, west de Sint Jans-straet, en nooid Jaco
bus Degeyne en Jacobus Verbrugge.
lngesield goo guldens.
Tweeden Koop.
Een Woonhuys met weyuig erf, geteekend
N° 12, voorhoofdende iu de Sint Jaus-siraei
nevens het voorgaende palcnde oost en noord
het huys onder den eersten koopzuyd den 3
koop, en west dito Sint Jans-straet bewoond
door Joseph Heldenberg, ten pryze van GI.
48-75 C.» 's jaerszonder régi van pagt.
lngesteld s 10 guldens.
Derden Koop.
Een ander Woonhuys eu erf, nevens het
voorgaende geteekend IV i3, voorhoofdende iu
de gemelde Sint Jaus-straet, palende oost het
agterhuyzeken onder den ien koop, zuyd het
huys hier neveos N° 14west de zelve strael en
noord den i«« koop, gebruykl door Henri-Jo
seph Deckaerl, ten pryze vau Gl. 74 57 G.1®
'sjaers zonder regl van pagt.
lngesteld a4o guldens.
Vierden en laetsten Koop.
Eyndeling een ander Woonhuys en erf, 00k
nevens het voorgaende, geteekend N® 14
voorhoofdende in meergemeldeSint Jans-straet,
paelende oost het agterhuyzekeu en den uyt
gang, onder den eersten koop, zuyd den zelven
uytgang daer over Joseph Doornaerl, west de
Sint J ans-strael, en noord den derden koop,
gebruykt door J.-B" Verroye, ten pryze vau
Gl. 61-7 1 C. 's jaers, zonder regt van pa»t.
lngesteld a60 guldens.
In geval de gemelde Goederen by accu-
mulatie verkogt worden den kooper zal
het kapitael eener rente van Gl. i,â4a-86
C.u Ctoiseerende jy Gl. C.'s jaers
mogen behouden.