3 mie^: La bourse a pris une nouvelle physior.no- niie; il règDe une vive inquiétude au sujet des alîâires hollandaise et belge. On assurait qu'une flotte anglaise allait metlie la voile pour l'Es caut. - L'ex-roi Charles X, le duc d'Angoulême, le duc de Bordeaux, ont pris congé d'Holy- Rood mardi i8,à 9 heures du matin. La veille le baillif, M. Smallet le révérend M. Badenoch leur avaient rendu visite pour leur présenter une adresse. S. M. parut três-afïectée et répondit: Je conserverai toujours cette adresse. Je la garderai près de mou cœur.» MM. Small et Badenoch ont été choisis pour présenter celte adresse, parce que c'est par leur entremise que beaucoup de secours avaient été envoyés aux pauvres d'Edimbourg, au bureau sanitaire et la maison de refuge. - Une lettre de Cbrislcliurch, porte que la baronne de Feuchéres habite actuellement la campagne de lord Sluarl de Rothsay, dont elle a fait l'acquisition, et qu'elle fait arranger avec beaucoup dejspleudeur. Elle est arrivée de Paris accompagnée de M. Bechy et de sa mère. Elle retournera Paris au mois de novembre, épo que où commencera la procédure concernant la propriété de feu le duc de Bourbon. Juillet i83ïi. JURISPRUDENCE DU NOTARIAT (1 Art. 1668. remploi. mutation par deces. VARIETES. LITTÉRAIRE. Histoire. Manuel de l'Histoire Universelleetc. (1.) Lorsque le prix de l'immeuble acquis en remploi des propres aliénés de lajemmeexcède la va leur de ces propresappartient-il néanmoins en totalité la femme Tellement qu'après le décès du marises héritiers ne soient pas tenus de déclarer la régie cet excédant de va leur Nous avons examiné la question de principe dans notre Répertoire (2), v° Remploi, n° 49, où nous engageons le lecteur se reporter. Voici une décision qui est conforme notre opinion Les sieur et dame Roux s'étaient mariés en com munauté. Pendant leur mariage, ils ont aliénés, moyennant 11,678 fr., la portion indivise qui re venait la femme dans une maison située Paris. PostérieurementIls ont acquis une autre maison dans la même ville, moyennant 16,000 fr., avec dé claration de remploi au profit de la dame Roux, ce acceptant. Ce prix a été composé, suivant la quit tance, de ii,o32 fr., pris sur les 11,678 fr. montant du propre aliéné de la dame Roux; 2° d'une rente perpétuelle de 5(k> fr. constituée par les acquéreurs au profit du vendeur. Décès du sieur Roux, laissant un testament par lequel il avait institué sa femme pour légataire uni verselle. Le receveur a exigé le droit de succession sur la portion de la maison qui excédait la valeur du propre aliéné. Mais la veuve ayant réclamé, le conseil d'admi nistration de la régie a ordonné la restitution du droit perçu par le motif que la déclaration de rem ploi faite dans l'acte d'acquisition du 5 mai 1818, et acceptée par la femme, avait eu pour résultat de rendre celle-ci propriétaire de la totalité de la mai son acquise, sauf la récompense due la commu nauté pour l'excédant du prix de ses propres alié nés. (Délib. du 27 janvier i852. A annoter v° Remploin° 49. (1) Ce Journal parait depuis janvier 1828, par cahier de 64 pages d'impression, in-8°, petit romain, par mois Ypres, au bureau de cette feuilles. Les année 1828 r852. Prix fr. 55-oo L'abonnement par année, paraissant en un cahier Tel est le titre sous lequel M. J.-J. Altmeter, avocat, docteur en philosophie et en belles-lettres, publie son Précis d'Histoire Général. L'auteur, déjà connu très-avantagensementdans la carrière du professorat (2)divise son ouvrage en trois par ties: histoire ancien, moyen-âge, histoire moderne (et contemporaine.) C'est cette première partie qui vient de paraître. On voit, par-là, que l'écrivain a adopté la division ou classification de ses devan ciers historiens, continuateurs, au biographes. Loin de nous de lui en faire un reproche mais rien, notre avis, n'aurait empêché l'auteur du Manuel qui, par son âge, son éducation littéraire, et des principes, sans doute, appartient notrs jeune, virileet constitutionnelle Littéraire; - rien ne l'au rait empêché, disons-nous, de créer, lui-même, un système, un mode historique, autre que la repro duction, très-respectable, coup sûr, mais, un tant soit peu, surannée, des catégories du péripaté- tisme scholaslico-historique.... Quoi qu'il en soit nous nous hâtons d'ajouter que ceci, qui, nous en convenons est affaire dissidence de goût, peut-être de système, n'ôte rien, absolument rien au mérite réel, l'ulilité|incontestable (et, probablement], incontestée) du Manuel. Il fallait un écrivain au- dessus du vulgaire, pour entreprendre un ouvrage de cette portée. Le choix d'une telle entreprise dépo se, lui seul, en faveur des connaissances et du talent de l'auteur du Manuelet, certes) tant sous le rapport du style, qui est, généralement, la hauteur du sujet, qu^sous le rapport de la vérité, de la charte, de la force, même, des aperçus et des enseignemens la première partie qui vient d'être publiée. Le Manuel sort des presses de R. Gambart— Mortier. L'Histoire ancienne), ne saurait que don ner l'idée la plus avantageuse du mérite de l'ouvrage, et du savoir-faire de l'écrivain, fût-ce même, comme abréviateur. On peutenfin ne point partager l'opinion ni les vues de l'auteur, sur divers points d'histoire, sur le trop ou le trop peu d'élugations etc.; mais on ne saurait s'abstenir de reconnaîtreen lui la rec titude de jugement et de logique signe caractéristi que de l'écrivain impartial et judicieux. On s'attend, peut-être, après nous avoir vu faire la part des éloges d'ailleurs justement mérités, nous voir faire, aussi, la part de la critique: car quel est le produit de l'intelligence homaine, auquel il n'en incombe pas Icinéanmoins nous passe rons outre. En présence d'une production de cette portée, le vitiileux purisme d'un grammaticien étroit paraîtrait, bon droit, sinon ridicule, du moins oiseux insignifiant.... Et nous nous arrête— rons-là. Les deux autres parties (moyen-âge, histoire mo derne et contemporaine) se publieront, successive ment, de trois mois en trois mois. Si, comme nous n'en formons aucun doute, elles sont empreintes du cachet de leur aînée elles placeront le Manuelle de l'Histoire Universelle au rang des meilleurs et surtout, des plus utiles ouvrages nationaux qui aient paru sur la matière (l'Histoire. Et l'on sait de reste, que c'est cette partie de la Littérature, que, de prédilection, se sont attachées quelques- unes de nos sommités littéraires: il est inutile de les nommer. Nous espérons pouvoir rendre compte des autres parties. L. de Wolff. L'Etat se consolide et nous aurons la paix. - Peut-être. Au prix de notre honneur.... - Bfc bab! Il faulen sortir, par la fenélreou la porte,[qu'importe? Dit le proverbe; et, puis, nous avons ies budgets! - L'honneur national.... - Chansons! vieillechfmére Chacun, grands et petits, veut garder son état-. Ce sont mangeurs, assis autour d'un même plat - C'est affreux! - C'est ainsi: fait patent, nécessaire... - Le Peuple..-Est un oison,qu'on bride; et puis,./r"ùf! Demandez-le, plutôt, mon cher, au ministère??? On donne les drapeaux, le vingt-sept. - Il est temps. Les hochets sont tardifs. Et les croix - On en jase. -C'est ce que de Septembre auiont les Combaltans, Pour tout potage... - Fi qu'elle est peuplela phrase - Tant mieux Aussi# voyez l'inopportune phase Décerner des drapeaux d'honneuraprès deux ans. De prétocoles quand la Patrie, au supplice, Agonisante, attend le coup de grâce - Oh oli En large architecture on n'est pas plus novice: Nevois-tu pas, mon cher, qu'il manque, au chapiteau, De quoi, pompeusement, couronner l'édifice L. D. W. A N N O N C la S. 220 Après demain Vendredi 28 Septembre i83a,4 Mr. Drouét aura l'honneur de donner un grand Concert vocal et Instrumental dans lequel on ^rtîendra MM. Vanherkel, (amateur de Dun- kerque)Battee et plusieurs aulres amateurs. Le programme les morceaux qui seront chantés et exécutés. k, 221. VRYWILLIGE VERKOOPINGE VAN II U 3 S R A E D Beesten en yrugten te yiamerlinghe nevens Dickebusch-yy ver. Maendag October 1802, ten een ure naer middag juistzal'cr venditîe gebouden Avorcjcn op bet hofstcdeken bewoond door Catherin<3 Geloenop Viamcrtinghe nevens I)ickcbusch-Vy- ver, van huisraed als, stoelentafels kuipen kopertin, yzergeleyze en aerdewerk van een getouwkuip en keerne allaern voorts van twee schoone koeyen 2 vette zxvyns, mitsga— ders van omtrent 5o roeden 10 ellen aerd'ap- pelen en 10 roeden 82 ellen bitraepen. Ten zelven dage zal'er eenen zeer schoonen wagen ten huize van Charles Mahicu by de vyver te koop gesteld worden. De verkooping zal gebeuren met tyd van be- talingmits borge te stellende koopen van drie guldens en daer onder komptant te betalen. 222 VENTE VOLONTAIRE - DE CHEVAUX, yaches et aulres Bestiaux Charrettes Charrues Herses et autres instrumens Aratoires une grande quantité de Foin tous les Fruits engrangés et sur terre. SUR LA COMMUNE D'HOUTIIEM. de 64 pages par mois fr, 5_00 (2) Répertoire de la Jurisprudence du Notariat 7 forts volumes 1,1-8°, Paris i85i. Prix fr. 56-oo (1) Se trouve au Bureau de celte Feuille. Prix (a) Exprofes.-eur de rhétorique, et pré fui des études, au collège dxpres. Mardi 2 Octobre i83s et jour suivant, chaque fois neuf heures du matin précisés, if sera pro cédé sur la ferme exploitée par Mr Jean-Baptiste Tulles Houthcm près du hameau le Çurtewilde la vente de tout ce qui garnit la dite fe.ruie grande environ 38 bonniers et consistant entre autres en 7 vaches3 génisses 5 veaux, 7 co chons; 4 fort bous clic4ux 4 ejiui 10U dout un

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Le Propagateur (1818-1871) | 1832 | | pagina 3