3 apprenons que dans propositions go 100,600 a la mort d'Accus Marlius, et que longti ms aprèssous le règne d'Auré- Jien Rouie ce contenait pas plus de 370,000 babitans. ANGLETERRE. Londres 28 Septembre. Un enfantâgé de quatre ans environ, tomba du troisième étage d'une maison, Glascow. Le vent qui soufflait avec violence enfla la blouse dont il était vêtu, et le soutint en l'air comme eût fait un parachute. L'enfant arriva doucement terre sans aucun malsi ce n'est une légère égralignure au genou. La mère, éperdue, franchit les escaliers et se précipa dans la rue, trop sûre de la mort de son fils. L'enfant s'était déjà remis sur ses pieds, et, attachant sur sa mère des yeux ou se peignaitavec la crain te d'une correction, le repentir d'avoir commis une faute, il dit: Pardonnez-moi, maman, je n'y reviendrai plus. - Les loi anglaises condamnent la peine d'emprisonnement toute fille-mère dont l'enfant se trouve la charge de la paroisse, défaut d'indication d'un père assez riche pour en pren dre soin. Une jeune villageoise du comté de Warwich, polly Miller, récemment accouchée, a été appelée devant le commissaire de la pa roisse, sir Charles Buccleugh, écuyer. <c Fai tes-nous connaître le nom de votre séducteur, a dit le magistratsans quoi vous irez coucher en prison. - Mais je ne le sais pas bien au juste, a répoudu effrontément Polly Miller. - Nom mez toujours quelqu'un, le premier venu si vous voulez, a dit le magistrat municipalle vœu de la loi sera satisfait. - Eh bien! puisqu'il suffit de nommer le premier venu, mettez votre nom sur le procès-verbal... Oui, mousieur, je dé clare que sir Charles Buccleugh est le père de l'enfant.... Aussi bien, vous veniez assez souvent chez les fermiers dont je suis la servante, et vous avez plus d'une fois badiné avec moi tout comme avec ma maîtresse. Sir Charles Buccieuuh. fronçant le snnrril. 'Angleterre de la part de la Russie, se Mais n 'fantFen finir> Jme en diplomatie. - Nous faites a trouve la clause suivante: Les armées française D'aëcord" On en finit... mais gare le dessert! et prussienne se retireront une distance de 3o - Portant, les faits.... - sont-là. J'adjure la Patrie! lieues de leurs frontières respectives et si les Les faits Vois les budgets, compte les pas de clerc:^ Français dépassaient les leurs, les Prussiens seraient libres de faire un mouvement semblable. - Il parait que la question belge se prolon gera indéfinemeut; S. M. hollandaise a sollicité l'intervention du roi de Prusse et la conférence y a consenti et attendra le résultat de cette nou velle négociation avant d'en venir des démon strations hostiles. - Il paraît malheureusement que sir VValter- Scott a laissé en mourant ses affaires dans une situation déplorable. Depuis plusieurs années il consacrait tout le produit de ses travaux litté raires satisfaire ses créanciers, ce qui n'em pêche pas qu'il ne soit resté en déficit de 60 80 mille liv. sterl. (un million et demi deux mil lions de francs. En mariant sou fils aînéil lui a donné sa terre d'Abotsford, pour en jouir après sa mortet il l'a substituée ses descen- daus; maiscomme l'époque où il a passé cet acte il était déjà insolvable, quoiqu'il l'ignorât lui-même la substitution est nulle de droit. On propose une souscription pour en assurer la possession ses descendans sous la condition qu'ils y laisseront tout dans l'état où il se trou vait la mort de l'illustre possesseur. Un seul fait est patent, avéré - I'avanib - L. D. W Juillet i83i. JURISPRUDENCE DU NOTARIAT ART. 1670. comkdnatjté.habitation.compte de ponds. -- compte db fruits. veuve. L'emdemnité de nourriture et d'habitation accor- dée la veuve par l'art. 1465 C. civ. est-elle la charge des fonds ou celle des fruits Elle est, pour les deux cas, charge des fruits. Cela va sans dire quant aux frais d'habitation. A l'égard de la nourriture, les provisions existantes sur les quelles elle doit se prendre, doivent être considérées comme la représentation des fruits dont elles sont le produit. Cette remarque est justifiée par une pratique con stante. A annonter v° Communautén° 610. de 1,'étb. Mérode traduit de Th. Mooas (t.) C'est la dernière en fleur des roses de l'année Seule de sa famille, aux vents abandonnée, Sans un bouton qui vienne auprès d'elle t'ouvrir Réfléchir sa rougeur et lui rendre un soupir. Ah tu ne peux rester seule ainsi sur la terre, Pauvre fleur! effeuillons sa corolle légèie; Qu'elle aille reposer sur le lit où ses sœurs Dorment depuis long-tems sans parfums, sans couleurs en referait ses col- Quj voudrait vivre seul dans ce monde glacé? légués; mais avant qui) y eut une seconde ci- Mm° Clémence Robert. talion, l'affaire a été assoupie, el Polly Miller a Journal des Femmes (2.) été mise en état de justifier qu'elle pouvait payer les mois de nourrice de son enfant. Du 2p. - On lit dans The Courrier'. THERMOMETRE POLITIQUE. t Nous apprenons que rien de detiuitif n'a été Incrédule mauditfrondeur toute outrace, résolu dans la conférence d'hier et il est pro- Eh bien qu'en dis-tucette fois? La Conférence, bable qu'aucune résolution ne sera prise avant D°nne signe de vie....-Oh! que trop, eji effet! la fin de la semaine prochaine. On dit cependant 0n "0,is que les membres de la conférence n'apporteront aucun obstacle aux mesures préliminaires du blocus des cotes hollandaises, si la continuation du réfus du gouvernement hollandais de se sou mettre aux propositions coacilialoires de la con férence nécessite absolument une pareille dé monstration de la détermiuation de l'An»lelerre et de la France. Une chose cependant semble certaine, c'est que si tous les autres moyens restent inutiles, la France et l'Angleterre ne permettront pas de laisser sans solution les différends entre la Hol nous leurre de l'Angleterre et de la France Wey pporteront vice-versâ puis, Le Hon de Muelenaere... vain van de Weyer Albert Goblet, - Que l'un après l'autre, un faquin de plus se tare Qu'importe Pas si vîte, et soisau moins, discret.. Qu'importe, si, pour nous, un grand coup se prépare? - Un grand coup? - Oui, l'armée et la flotte... - Ah! moncher, ART. 167!. bénéfice d'inventaire. - compte de bénéfice d'inventaire. Les créanciers payés par l'héritier bénéfeiaire une époque où il n'existait pas d'oppositionne sont pas tenus de rapporter ce qu'ils ont reçu s'il se présente d'autres créanciers avant l'apu rement du compte. Telle est l'opinion que nous avons enseignée dans notre Répertoire (2), v° Bénéfice d'inventairen® i38 et l'appui de laquelle nous avons rappelé la doctrine ancienne et moderne. En 1826, le 24 octobre, décès du sieur Fauveau, laissant pour héritiers quatre eufans, dont deux mi neurs. Sa succession est acceptée sous bénéfice d'in ventaire. Il a été procédéle 10 novembre, l'inventaire, qui n'a été clos que le 10 avril suivant. Le principal actif consistait dans une inscription de rente de 2,446 fr. et au nombre des créanciers figurait, pour des sommes importantes, la dame Fauveau sa veuve, quien 1818, avait fait prononcer sa séparation de biens. Une délibération du conseil defamilledes mineurs, du 4 décembre 1826, avait autorisé la vente de l'in scription la charge d'en employer le prix l'ac^ quit des dettes; mais quelques difficultés élevées sur l'xécution de cette délibération en firent prendre' une autre par laquelle le conseil autorisa le subrogé- tuteur des mineurs transférer l'inscription direc tement la dame Fauveau, jusqu'à concurrence de 2,000 fr., le surplus devant être distribué aux créan ciers déclarés dans l'inventaire. Cette nouvelle déli bération fut homologuée par jugement du 17 janvier 1827; le transfert des 2,000 fr. fut opéré le 26 au profit de la dame Fauveau, et les fr. restans distribués aux créanciers. Cependant, le i3 février suivant, les héritiers de la dame Le Couteulx, autres créanciers, ayant ap pris le décès du sieur Fauveau, formèrent opposition au partage de cette succession et de celle d'un sieur Thésigny, que le sieur Fauveau avait requeillie avant land et la Belgi est nublie par cahiers in-H° 1 qui entretiennent une env;ron> imprimées avec lu 1 01 7 l"" vuu VUWIIIICUI UUG général 1 Pcut amener UQe conflagration (1) 'Tis the last rose of Summer. (2) On s'abonne pour ce Journal paraît lequel tous les semaines au Bureau de cette Feuille au prix de fr. 16-00 par trois-mois. Ce JOURNAL DES FEMMES, Gymnase littéraires de quatre feuillc( primées avec luxe et accompagnée> d'une planche contenant, soit une romance soit un modèle de modesde dessin ou de peinture. (1) Ce Journal paraît depuis janvier 1828 par cahier de 64 pages d'impression, i«-8°, petit romain, par mois Yprrs, au bureau de cette feuilles. Les année 1828 1802. Prix fr. 55-oo L'abonnement par année, paraissant en un cahier de 64 pages par mois fr. 15-oo (2,) Répertoire de la Jurisprudence du Notariat 7 forts volumes 1.1-8°, Paris i85r. Prix l'r.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1832 | | pagina 3