hollande. nation du roi de Hollande d'en ajourner quel que temps !a sanction officielle mais les limites territoriales de la Belgique indépendante ont été fixées par une commune décision sur laquelle il u'y a plus a revenir. Plusieurs journaux annoncent que la ban que de Bruxelles qui avait prêté 4'P- c- s"r dépôt de fonds publics nationaux vient de dé cider qu'elle ne prêtera plus qu'à 5 p c. - La chambre du conseil a renvoyé devant le tribunal correctionnel le sieur Stroyhaver danseur au grand-ihéalre et Girardin mailre d'armes du chef de rébellion envers des agens de police. - D'après une des listes publié par le comité pour les réfugiés politiques, la souscription en faveur de ces réfugiés a produit dans la 3« légion de la garde civique de Bruxelles fr. Vjgjje souveraine, dés qu'il aura reçu la nolifi U) tembre est réglé ainsi qu'il suit habit la française noir broderies violettes chapeau demi-claque épée poignée d'or. Du 3. On lit dans le Moniteur Le roi d'Espagne est motl le 39 septembre trois heures. Une dépêche télégraphique, expédiée par M. de Raynevalen a apporté au jourd'hui la nouvelle au gouvernemen du roi. Conformément aux dernières dispositions de S. M. C., la reine douairière a été déclarée ré gente pendant la minorité de la jeune reine Isa belle. Le ministère a été maintenu Madrid était parfaitement tranquille. Un courrier part cette nuit pour porter M, de Rayneval l'ordre de déclarer que le gouver nement dû roi est disposé reconnaître la nou- 81 06, et celle parmi les gardes cheval fr. au. A Leuze il a été souscrit pour fr. i3a 5o.! Dans la 4e division militaire il a été souscrit pour fr 1069 61 et dans la 6e pour fr. 639 33. - Le bateau vapeur qui stationne dans no tre grand bassin attire chaque jour un grand nombre de curieux. Il est d'une construction nouvelle et solide. Une seule roue, mise la calions nécessaires. - Une seconde dépêche télégraphique datée du 3o est arrivée aujourd'hui Paris. A cette date Madrid confinait être très-tranquille. On n'était occuppé au palais que des préparatifs du service funèbre. La régence avait été déjà nommée en la personne de la reioe, et le conseil de régence se composait: i° de l'infant don Francisco de Paulo 3° du général Gâstanos -y - 3° du duc dé l'Infantado 4° du duc deSan- peupe, le fait manœuvrer; .1 gagne conséquent- Fernaijdo. 5ode i'archevêque deSéville: 6» d'un ment la place qu occupe une seconde roue. Son nom peu conDu mécanisme est très-simple. Il navigue lestement et déplace fort peu d'eau. Il contient une chambre disposée d'une ma nière fort commode pour les voyageurs. Une tente en toile couvre tout le tillac. - Les assises de la Flandre orientale pour ,1e 4e trimestre de i333, s'ouvriront Gand le lundi 3t octobre i833 9 heures du ma tin, sous la présidence de M. le conseiller Percy, assisté de MM. van Aelbroeck Simons, Lebè- gue et Verbaere qui auront pour suppléans au besoinMM. Vanzuylen et Delcourt. On écrit de La Haye le 3 octobre Le conseil de la société de commerce des Pays-Bas s'est réuni extraordinairement le 3 n A MntAx/I nm n/Mm aK o I'aI rtO 11 An fin M. Jules de la Rochefoucaull aide-de- camp du roi,, est parti ce matin eD courrier de cabinet pour l'Espagne il est chargé de dépê ches du roi et de la reine pour la veuve du roi Ferdinand. - Nous lisons dans le Gardé national de Marseille a8 septembre Un ordre transmis par le télégraphe enjoint au Carlo-Albertode s'éloigDer sur-le-champ des côtes de France et de n'y plus revenir. Voici, nous dît-on, les raisons qui ont moti vé l'embargo mis sur le Carlo-Alberto bâtiment aurait débarqué M. de Menars et cinq autres passagers sur un point de la côte entre Nice et Toulon. Ces personnes figuraient du moins sur le rôle du bord et ne se trouvaient pas sur le bâtiment et le capitaine a réfusé de Amsterdam, pour procéder l'élection des faire connaître le lieu de leur débarquement candidats la place de directeur qui sera va- u~~~ cante au i°r janvier 1834-Ont été élus: MM. Kooy Veldwyk et le comte Van Hogendorp. - Le a8 septembre la garnison hollandaise qui occupait la ville de Goes, en est partie et Sémasphore. - On écrit de Venisea3 septembre Madame la duchesse de Berry est arrivée hier dans celte ville. Son itinéraire était tracé de manière se trouver Prague le vingt-neuf n'a laissé qu'un détachement de a5 hommes avec Une circonstance inattendue lui a fait suspendre un officier. son voyage. M. le vicomte de Ghâteaubriand - Le roi de Prusse vient d'envoyer une très- qui depuis Fer/are voyageait avec la princesse riche médaille ornée de son portrait au marquis estaussitôt parti pour la Bohême. Madame de Tbavars lieutenant de notre armée qui lui attendra pour se remettre eq route que M. de avait dédié une tragédie intitulé Zrini ou la Châteaubriand lui ait fait connaître le résultat mort pour la liberté et la patrie FRANCE. - Paris2 Octobre. Le Journal des débats déclare fausse et controuvée la prétendue capitulation offerte par le duc de Bragance au maréchal Bourmont. d'une mission laquelle se rattachent les plus grands intérêts. M. de St-Priest est resté Ve nise. Quotidienne - On écrit de Romes i septembre M. de la Ferronnays est revenu ici de Pra gue il y a quelques jours. Ou dit qu'il est parvenu aplanir toutes les mésintelligences qui existaient entre la duchesse - Le costume que les membres de l'academie de Berry et la famille royale Prague. La du- royale de médecine pourront porter dans les chesse qui avait rencontré M. de la Ferronnays cérémonies (dit une ordonnance en date du15 sep- encore Florenceest arrivée le if> Bologne. ANGLETERRE. Londres2 octobre. C'est aujourd'hui que le duc et la duchesse de Cumberlund s'embarqueront Calais, L. A. R. passeront par Bruxelles dans leur route pour Berlin. - Ou lit dans le Courrier Un exprès vièDl d'arri'ver de Falmonth et nous apporte les nouvelles suivantes Le bateau vapeur de S. M l'Africain, est arrivé Falmoulh, hier matin 2 heures, et apporte des nouvelles de Lisbonne jusqu'au a5 septembre et d'Oporto jusqu'au 36. Les miguélistes ont attaqué les troupes de don Pédro le 14 mais ont été complètement battus. Les détails de celte affaire importante ont été expédiés par le Royaliste que Africain a dépassé par sa marche accé térée. La reine doua Maria a débarqué Lisbonne le 32, et a été reçue avec le plus vif enthousiasme et de la manière la plus brillante. Elle a été conduite au palais par tous les hauts fonctionnaires; les ambassadeurs de France et d'Angleterre, les commandans de la flotte anglaise dans le Tage et ceux de sa propre flotte l'ont accompagnée. Le lendemain après son débarquement, S. M. a paru dâos les principaux quartiers de la ville et a été partout reçue avec des démonstrations de joie et de respect. S. M. a aussi visité les lignes de foi iifleariotis et assisté une grande revue de ses troupes qui s'augmentent journellement par des déserteurs de l'ennemi, et s'élèvent, ce qu'on du,, de a5 3o,ooq hommes. Le* 34 septembre, le maréchal Bourmont et les autres officiers français ont offert leur démis- siou don Miguel, convaincus comme ils étaient qu'il n'avaient plus de troupes suffisantes pour hasarder uoe attaque sur Lisbonne. Les lignes squi actuellement très-bien fortifiées. Oporto est dans un état de parfaite tranquil lité. Les troupes de doD Miguel se sont retirées trois lieue$ derrière la ligne. A la bourseou assuré positivement que le maréchal Bourmont et ses officiers s'étaient ré fugiés bord d'un vaisseau de guerre dans le Tage; et en général, les nouvelles du Portugal out produit la plus vive sensation. Extrait d'une lettre particulière de Lis bonne du 22 septembre. Hier, la jeune reine a donné une audience so lennelle lord William Rusell qui a remis S. M. ses lettres de créance comme ministre d'An gleterre la cour de S. M. M. de Loude, chargé d'affaires de France, a été ensuite présenté S. M. 1 D'après le rapport du capitaine du navire marchand, lord Nelsonla défaite des troupes de don Miguel, dans l'attaque du 14, doit être attribuée en grande partie la circonstance que les miguélistes en s'avançant vers la ville avaient traverser une plaine le long du Tage, de sorte qu'ils étaient sous la portée des canons des vais seaux de l'amiral Napier qui y étaient l'ancre, et qui, par ua feu très-vif de mitraille, ont fait un terrible carnage dans leurs rangs. Telle était l'ardeur des soldats de la reine, qu'ils se préci pitaient sur l'ennemi, et qu'ainsi plusieurs ont été tués par la.cauonnade de Napier. La perte de

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Le Propagateur (1818-1871) | 1833 | | pagina 2