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JOURNAL DE LA FLANDRE OCCIDENTALE,
?,!°r
N® i584.
MERCREDI a5 OCTOBRE, i835.
POLITIQUE, JUDICIAIRE, ET NOTARIAL. - ACTES DU GOUVERNEMENT.
Vf '\V;- .4
Vabonnement ce Jour*al estpour les villes et
arrondisement de Courtrai et d'Fpres,fr. 5-35 par
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OUVERTURE DES PORTES
DE LA VlUt.
Du 16 au 51 octobre 6 heures.
FERMETURE Ù^ES PORTES
DB LA V1U£.
Du 16 au 3i octobre 6 j I2 h,
BELGIQUE.
Y près a5 octobre.
POLITIQUE R«tue.
Vfs Sans traduire d'autres exemples sur la scène,
-\asse l'heure quil est, dans la Grande-
Le Datf est-à_<lire' en ^orluSa' et sur-tout,
"l n'est-ce pas une preuve évidente, mais
V peur le t. terribles et sanglantes perturbations
mouta le p nations, stationnaires ou
pendant la nuit du 6 peu projUssemcnt des
après la Confiance. Le colonel Evans
avec le Sohoqui parlait pour Lisbonne au
même iostant que la Confiance.
Le départ de Bourmont et de la plupart des
officiers français au service de don Miguelest
entièrement confirmé. Ils sont partis pour l'Es-
la bauteur de leur mission peu veut coopérer h
avancer le triomphe du grand principe régénérateur:
1 Libéralisai constitutionnel. Si éllcs tergiversent ou
faib S ent, eh bien! elles assumeront la responsabilité
des évènemens qui surgiront.... elles auront reculé
l'heure de l'émancipation sociale; mais le «emps
marche et l'éternel principe s'étendra tôt ou tard,
sur toute la surface du monde civilisé!... C'est là
une immuable vérité. Espérons mais militons
La victoire est au bout. L. de VVolef.
pagne le 27 septembre.
(tÇ» Enfin, une grave, une grande question paraît
se débrouiller.,.. Le nœud gordien est la veille de
risil0uer*'" ne fau(^ra dune, pas d'Alexandre—
•nour le trancher. Nous lisons dans le
v55 2e édit., samedi, 12 octobre, le
- Le Je T_
une lettre Vieu ,tjre remettre un bague en
faite par le doc, re d'Ypres.
Paris. C'est celle c.e 1ni P^cêde, "os Lecteurs
Lord William Russel est encore Lisbonne, çtyjiqae cont,v
De'Carlos est attendu icimais on ne sait foudre aime pherique l'occasion du cadeau de
pas encore le jour qu'il viendran'ayant pas au^' bien 1u aux na ue revendiquaient divers
répondu la lettre de don Pedro qui lui donne Ce* instrument p. ou collectifs— D'après
la permission de s'embarquer, ici. Le bataillon i'e"e, France de rayon raio été
anglais est arrivé Pininche septembre, salterer il soutire dix fi Aiors
la version
venant d'Oporto, avec quelgç.es français et que celui de 1 immortel Frank ■jeryphe.— Il
autres, au nombre de i5oo hommes, le 29 ils dangereux. \pfin,nous
prirent Obidos après une violente attaque. T*s
Les troupes se sont avancées sur Caldosà-
peu-près cinquante milles du quartier-général
de don Miguel.
Les guérillas continuent leurs ravageset
géniture. Leâidies partout où ils arrivent,
clercs et laïque» environs d'Oporto, le général
thied éc ochex prouver un échec, il en a
de la nation (1). v F
peuples constitutions /"ersel a Ordonne qu ils fus-
que la minorité représeip®®ul par le COUSeil de
majorité. Et 11 en doit être
Belgique (3) au Portugalàt quelques fortifications
aussi révolutionnaires
raaif jete des arbres il a seraieDl
s'entr'égorgeanten proie, e^S CBQODS qu il a déjà
guerre civile'—. Et pourquo placé 3 pour défendre e
maintien de tous les abus d> la rivièremais il a été 3
Les détails relatifs cette déc quasi-
tante viennent d'être imprimés uoi s en
mande Leipzick sous le tiire de
ou colonne anti-foudroya&i.e du docu.
biade de Tavernier. -7
Armes du Roi As. r
ESPAG.
opagateur.
Madrid6
_ru_J!es, g oclobte.fi)
Le corps du Ro'
avec la t ^uoranf qui présidait l'éducatic" du
Jeannotière, trouvait qge le blason
'nce d'une complète inutilité, Appuis
urs faisaient peindre des armoir s
s et que les traitans avaieni des
V:rs carrosses. Je pense comme Pai
nt, mais par d'autres motifs que lui.
..t, puisque l'on s'obstine conserver au
une signification qu'il ne devrait plus
Lauranl
Par 1
Ferdioa
reau
toutes les exactions et spo;andoDDer j, reau est pos9ible d'appliquer l'art héraldique
oppriment le citoyenmd, f îi Pauv gestions d'ordre public-et d'indépendance
tion; en d'autres termes, pa. rUl^e un or' Prfs "e ^re *'e. On sait qu'un personnage qui fait de
monacal et dynastique I achever, poarr<do-, ztisanerie son existence tout entière, a
Ferdinand VII, est replacées Alcantara. _,-es envoyé, aux marchands brevetés de la cour, l'é—
fument. De grandes conflagrL a quelqu minentecusson royal officiel. Or, que représente cet écusson?
et l'4\jf [es for s* edes sont Que nous apprend-il? Il nous révèle que la Belgique
porte écartelé d'Angleterre et de Saxe etsua le
Cependant, la France i
(i) La presse et la tribune eu discutant les droits de tous,
en font passer la conviction jusque dans les rangs les plus
infimes.
Le prolélaire, lui-même, juge: sa conscience est son pré
toire. I.e moyeu, alors, dégarer les masses?
(a) La faction henriquiuqnute, ou vendéenne, nous en
cjfre un récentun permanent exemple.
X3) Car le ridicule et l'impuissance sont les seuls attributs
pe la propogaude oegugistique.
tout comme dirait d'Hosierde Belgique de sorte
que le lion belge (a) ne forme qu'un carton, ou,
plutôt, cette pièce appelée: pectorale. Celte
petite finesse, que bien des personnes ne remarquent
(i) lusétée au n> du Courrier Belge, dit 7.
(a) 11 ne manquerait plus que de le rendre diffamé ou oon-
p.icnd, avec i* brisure des lis au lambclpar-dessus le coite,
pasa plus de portée qu'on ne le croit. Les armes du
royaume ont été réglées par un décret du Coscaks.
Personne n'a droit d'y rien changes, et ce n'est pas
la Natior, libre et indépendante, de popter la
livrée de la Saxe et de l'Angleterre. Nous espé
rons donc que la personne dont nous avons parlé
fera changer les écussons qui surmontent les bouti
ques privilégiées, et ne dénaturere plus notre sym
bole patriotique, par des additions étrangères.
Un vieux Amateur de la Science du Blason
Bruxelles19 Octobre.
On lit dans la parlie officielle de la Gazelle
de Prussedu t4 octobre
S. M. a nommé M. d'Arnim actuellement
chambellan et conseiller de légation envoyé
extraordinaire et ministre plénipotentiaire prés
de S. M. le Roi des Belges.
- M. Magnan Français général au service
de la Belgiquevient d'être promu au garde
de major-général de notre armée.
- L'impôt communal sur la bouille qui a été
rétabli Mooscommencera être perçu le 2t,
de ce mois.
t* f S V 1.. 1 f
- On écrit d'Anvers le 18 octobre
Les relations entre Anvers et la Hollande
sont redevenues depuis quelques jours extrê
mement difficiles. De notre côté on ne dépasse
plus les postes beiges qu'avec une autorisation
de M. l'administrateur de la sûreté publique et
de l'autre qu'avec un permis spécial du prince
.."Orange.
^Avaut-hier, hier et aujourd'hui plusieurs
passages ont eu lieu et les détails qui nous sont
transmis celte occasion sur les tracasseries
qu'éprouvent les voyageurs, qui maintenant
fuient notre frontière, nous font faire des vœux
bien ardens pour voir une prompte fin toutes
ces gênantes contrariétés.
- La chambre de commerce d'Oslende d'à -I
près une circulaire qui lui a été communiquée j
de M. le minisire du commerce de France aux
administr. sanitaires dudit royaume, ioforme le
commerce que les navires arrivant de Begique
munis de patentes nettes, délivrées on ou visées
par les consuls français pourront être admis
immédiatement libre pratique dans les ports
de France moins qu'il n'y ail quelques rai
sons particulières pour les soumettre a des pré-»
cautions plus au moins rigoureuses.
- On écrit de Namur
Il est décidé que les deux belles batteries
d'artillerie légère qui sont en ce moment en
notre ville partiront l'une pour Malinesl'autrq