1* JOURNAL DE LA FLANDRE OCCIDENTALE. n a ai 1 u"î 3» N" 1610. SAMEDIa5 JANVIER i834. XVTf™ Atin^p. I.'abonnement ce JottNAi estpour let pilles et arrondisern de ouitroi et d I près, de fr.blbb par tr in.aire, et de fr. 6 55 c. pour toute la Belgique, Jranc de por par la poste. Pris des insertions en Petit— Ramai#, 20 et. par ligney et toutes dettes en-dessous de 6 lignes se paient 1.franc. OUVERTURE DES PORTES dl la villi. Du 16 au 5i Janvier, 6 iji heur. FERMETURE DES PORTES dl la ville. Du 16 au 5i janvier, 5 1 p h ii 1; ici y e. Y vues, 25 janvier. ATRLS. L'hôttl-d*-VlLl*. Jlu bas d'une vue de l'hôtel-de-ville, Ypres, le Magasin Urmerse!n° 9, ry décembre, ih55, consigne la Aottee suivante, que nous faisons suivre de qu- Iques rôles qui, nous l'espérons, ne seiont pas désagréables nos Lecteurs. - v oici la Aotict du Alaea in U m verset: Ypres, ou Ypern'(i", est, avec Bruges et Gand /'une dis trois principales villes de la Flandre, ba population monte près de 16,000 bahilans (2/. Lll. est Latie sur un ruisseau, ru miné l'Yper (5 qui la traverse du sud au nord et va se jeter, dans la nier entre Funket- que et Osltnde (4,. {,r ruisseau descei d d'une colline, as»<7 liante, qui s'elève quelques nul les de la ville, le r<st> du pajsist tut élément plat, u on c pnsque t< utt la lit g que ut de (elle colline, avec ses n uiaillts 1 or 1 dite»,, et ses iinliMUi tlot lu rs (5 la illt oflte un bel aspect, qui fait ressot tir avti avantagi lt paj s <nvt- lonnant, si riclic et si gracieux, ou l'on uni 1 a»»e, d'un n cint coup-d'uil, de» Lois et di .vertes prairies, dts cLamps entremêlés de vergtts, de jaitliris, et de jolis villages. |6 Le n onun ent le plus remarquable d'Y"pin s est l'holtl-ûe-vlile. il est situe sut une giai.dt et belle placequi est celle du AiatcLe. Lt itz-hc- cLaussét est occupé par dts Lalltsd'une étendue immense (7). Au milieu de la taïade méridionale, s'élève une baute leur carrée, qui païait être plus ancienne, encoique le reste du Latirueut construitdit-on n 1:142. Aptes l'botei-de-ville, le monument qui attire (i) I 'elyraologit connue tant d'aulrts. •si i«»iee il Hanse, tu ialn.01. i louve eciêl }p u Jpra ipregJf icturu c« ane pain.muni qurrctlum j eii iUfluauu, i pa Jprelpt1 en Â<.p*rtn y eu triu ç«is, Jj/tt Jprts, 1 tes: Sar fane uti ini u s aune- var ailles «ihojiri^h'qiui ptrntiu i\Ja£u*in U'uvasct Jpre ta de qutiqu<i-tii ne îulI guè e exact»: ce» 1 e iliei.ee» entrt tru bl» M élu ait macs o, posées au £CLie de Ja 4aupu« il mai ce I»'a lleuts, en h» llandat*, i>u écrit itpruypen oime); eu Irai çai», p uidt ypreuu que ipréuu 01U 1 a large* feuilles, ori^iua te d Loue il e t u que pu lial>l» que Poil ^inphfe la |>lu- ssitce i pi r, i peren est aussi la lutiiitutr Ce cl iHit pmll exagère VOigicn-tie Houjouxetc., Ci 11 ut i 'j 5oo ce qui e»t eucuieuous le ciujod» lro|t élevé- (3) plutôt l'VjtHite (Yper'e, Ypeilet),de Yperltede ou pnU tJe tyt cr»| e liant Y péri (4) Leci est eict n peu exaii il lalbtitau moins, dé- iiput r 5icopori. (5) A'cmt/eux bs s* pi faciles compter car il u'y •eu a que 4 6 qui n.entei t le non ti clocherUn voit que cette ±\oiiteevideuiiueut auràLuee, u'a pa» été - J«j« unie but les lieux même» (b) aotlut dt beaux que d (jolis. iq) Orundt, oui, uueifiue, uous l'asid« i'fx^gendlou ia lran^aise. le plus l'attention des voyageurs, c'est la cathé drale. C'est une construction gotb que élégante et légère, plus remarquable, cependant, par se* ornemens que par se» dimensions Outre cette cathédrale qui est déd ée a Saint-Mari in Y près contient plusieuis r. autres églises principales dont la plus belle est celle qui est dédiée a Saint- Jacques—le- Ma jeu r t qui a été bâtie dans le i2m" siècle. La Ville d'Ypre» renferme !3) un grand nombre de couverts. Il v a environ un siècle, le tiers de la ville riait composé de monaster.es. iq-iS; I r J li fut un temps où la ville d'Y près occupait le premier rang parmi le» cite» s plus commer çantes du monde entier. Lil. était lélèbic par ses nombreuses fal.riqu>s de drap de serge, de ru bans, et oe illet, -i l'on n croit un recensement lait en 1042, sa population montait a plus de 2no,ooo liuiotaiis L't lut peu de temps api és celle épi que, qu'el e commença décliner et au jourd'hui elle n, possède p'us qu'un petit nom- bie de mrtnu'ae'lures. C'est par se» iiionuniens restes d« sur! a eiefine'spl'ndeur que la ville d'Ypres mérite ue hxei l'attention dos vovagcurs.| Un sait qu. ce tut au milieu du XIVf" siècle, que luriii tinte», Itn "tloi.aide, comme en rianct tt en Angletern les premiers ellorts, pour renVeisel le système léodat. Les tentatives, ma. dirigées, ne pnaluislreni pas aloisd'eflet immédiat 1 mais, du mo.ns,eilts préparèrent la revululion sot lal. qui lut plus tard accomplie. Les çitojMH» d'Y p, es, et des autres ville» de Llandic, tuieiil les plein.ers (ju 1 secouèrent (4, lt joug lie lt ui s seigneur» féodaux, et qu surtnt (J se cieei um puissance indépendante, pai l'intp l iante dt Itur commercent de leuis manu- latlurts. Appt le» par Ldouard lit, un grand nombre dt lubrrcans de drapt, de» Province»- Lues, commun quèi euten même tenps, aux Anglas.et ltur» arts, et leurs habitudes de travail. Plus tard Lusabetli augmenta aussi la population et les richesses des lles-Bi ilunnique» en ouvianl ses poi ts a tous les artisans qui étaient tliassés de leui paj», par la tjrar.nie duqoug espagnol, et les cruautés du duc d'Aiot. - LE MILNAKISTICOI'E. [6] tCx Lorsque, de toute part on rntend répé ter l'envi, que le inonde progresse paiiois un serait tente de révoquer la clameur gtneialc (i) Plusieurs, trois serait ulus exact, (V,ci-dessus l r) 1 oui cela est v.'siblemeul erroue bous remuions la uuie 5 (3) Celle asseiti'iu eal évidemment ex»geiee c'eM, là le oucio»ctj|i. tle» vnpa)jeiirs. ou, plulâi r» c. ni t'atruts 14 et 5) La cuceectiou giamuiaticale u'exigeaii-ell* pas secouassent, et suss- ni Huie.SK le viuqusm Universel eu u,.e Cutlecli"» qui me>île tle pte. le i.ug t,ô:e du VTagaun P'iiorcsqu -, d- la MosaiijU. etc Oa. s'y aa ...e au bureau »;u psor asaj e t s i 'on ne paît pu.m il'o e net. L. U. W„ Y «U le» afiuuiiiscs. plia; h/iainci. en doute, surtout voir comment certaines chose# vont en avant si d'un autre coté, jusque dan# des choses en appar-nce minimes, puériles même, on ne voyaittout coup, surgir ce que nuug formulerons, pour être brefs et lucides par ce| mots: - Petites merveilles! - En etlct, qui d'entre nous n'a, dans le temps, ouï parler <ltt Kaléidoscope etc.? A cette heure, apparaissent, presque ensemble et le Phantas icop.- non Fart usheopecar, MM., la libirté. ni le libéra lisme ne s'opposent, en orthographe, ace que l'on respecte encore un peu I étytnologleet le Phénakishcopeque nous pouvons en toute sû— prêté de ennscienee. appe er le nec plu: ultrà, 'le Voptico-fastasmagone - Nous avons annoncé', rlans le Propagateurl'apparition de ce nmiviau. Cuel-d'oeuvre d'illusioni.nie. Nous ne p uv.ns faire mieux, en ceci que de* renvoyer nos l,«c- teuis, Y1M les Amateur» en général, au pro-pree* tus explicatif lui-même. Là se trouvent déct ils mouvemens rouage», etc, de la machine m r— veilleuse) et surtoutle campen hum qui doit »erv r de guide a 1' xploraleur cai vraiment., c'est explorer que de parcourir h-champ d'i1 Iu-a sions et de perspectives du fh:'n»kistic ipe - N. us ■mus y sommes un peu appesanti», pe. Miailés d'avane. que nous aurons fait chose agré.ib e au Public curieux; et surtout a ta jeunes»* X l'enfauee, toutes les deux, U'a lleur», si intéies— sautes 1 - Il va sans dire que nous recommandons le l'BÉSAKi»Tii:ofEa toute la bienveillance des acue— teuis; et après avoir vu nous-inême», au 1110 os nous n'assumerons pas le lèpruche, si ordinaire par le temps qui court, n'avoir parie, en av. u- gles des couleurs!... Et ceci emporte, par une conséquence assez nal urelle le met ite d'avoir dit vrai et, partantle droit dêtre crus.,., su pa role! - Bruxelles 2 1 janvier. - i Uu arièu* roy il pus il y a quel j es jours mit Ilot il activité a liuier ou li mier lévrier prochain le pu mm Imu de la gai de civique. - Un ai lé royal Contenant des ncmtni-. nations dans ioid e Ue LeopoiU p u rut '.es militait es de la,4e OiVisrou uori p u.due dans le coûtant de la sein une. - MA], les comiiiiss.iites qui doivent se rendre Farts pour traiter Me no» tnuréis commerciaux avec le gouvernement fiai is et d. s modilicaiions qi|i~sèj>o, m trConiius utiles aux lai ifs d. s'déux pay V réuniront Ce son sous la pr&idf iice de Yi.*^\t* inuiisire de 1 intérieur a 'l'tlî i de conférer sut es iriiseio. eiuens quadmeuq eie 1 ii.u de teu'iir aupies diversesyi'liaiiibie» ue commerce de deiernmiie.rYoûl Ce qui »e i at tache aux négociations qui vont s'ouvi ir. r Ava d llieiVers I. S lloi» heiiies (b l'a- pres-uuur uu duel dovi Us suite» oui été dé-

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Le Propagateur (1818-1871) | 1834 | | pagina 1