M. cTHoJ/èch'midt-. Je dèniatîide jptër Wôtion d'ordre que l'on pasSe l'ordre du jour. M. Gendebieo qui se plaint toujours de l'inso lence des ministres, ne se garde pas lui-mê me dtenctftamè'UteëtfVëfs eûx. Oè doit du Hiépîis joés ixf^pèllalîÔns. Bénit. ANNONCES. YERKOOPING venta Ostende ,,l!un se nommeHarro-Har- «ne l'autre Idzikowski. Ils exhibent leurs leur's V -> sur furent arrêtés et mis en prisdn, et il paraît qu'on est sur le poiui de les repousser audelà des fron tières. Je demande M. le ministre jusqu'à quel point il entend tenir la promesse qu'il a faite au sénat quelques jours après son avè nement au ministère Il a dit alors aussi qu'il aurait présenté un projet de loi sur les étran gers sept mois se sont ééoulés et «pus n'a vons encore reçu aucub projetet l'on con tinue les expulsions. On avait décidélors de la révoluliop qué les étrangers déserteurs auraient été admis dans l'armée la plupart ont été enrôlés pour le Portugalet revenus eu Belgique ces malheureux sont expulsés aussitôt qu'on apprend qu'ils sotit étranger. On va plus loin ou ne se contente pas de priver des officiers de notre artiiéé même de leur solde mais on leur assigne une ville où ils doivent résider. Sans vouloir dès-à-pré sent porter une accusation contre le mMst're. Je demande qu'il s'explique premièrement sur ce que je vieHs de dire. M. de Robaillx verrait avec regret qu'on se contentât de pareilles réponses. Sr les Polonais ont caché leurs noms en demandant un passeport l'ambassadeur français Lon dres t'est justement; dit*il, pour ne pas être obligé d*én demander un a l'.unbassàdeiir fusse àuqiieï on lés aurait rèuVoyés. M. Gendcbienil me sera toujours permis de dire qa'il n'y a plus de justice ni liberté en Belgique quoique le ministre de la justice èi a ôrd iné réjidnthë àuffiiâurliféhl pat1 uti'ré- fus insolent dôni'it"n'use que Uop iitëvêfit,' je proteste hautement contre la conduite du gouvernementet particulièrement contre celle qu'il tient envers les Polonais et les of ficiers belges. M. le ministre de la justice Les pro testations du ptébplaéfut me touchent peu je n'y répondrai pas, M. Gendebieh Ne Vépoftdêi pas si YmA voulez mais au moins n'insultez pas. Il ne vous est pas permis de dire dépareillés iuso- lences. M. C. Rodenbach C'est une motion de désordre. M. de Brbùckènvit fêgféJWê que l'ho norable membre qui vient de présenter une motfô'n d'ordre, Sons 'piêfe'X't'e dé "prévenir tés offenses personnelles,- sjçd per/i^uel'uue des plus grandes qu'on ait jamais commises. "TH. Gendebïéh D'après les observations présentées par mon honorable ami M. de Brouckère, je crois pouvoir me borner dire M. d'Hofîschmidt ce que m'a dit le minis tre. Je dédaigne de lui répondre; mais jé demanderai qu'a fait M. d'Hofîschmidt quand M. de Métode a qualifié d'absurde uu vote de la cbàmhre'? Qu'a fait M. dîHofïschmidt, lors du violé sur la fameuse plaque, quand M. de Mérode a jeté la sienne sur le parquet et l'a écrasée avec le talod J'ai voté contre cette plaque mais j'ai respecté le voie de la chambre et cétîè plaque qui en est lé résultat; elle devint par le vote de la majorité l'emblè me de la majorité eh bien qu'a dit M. d'Hofîschmidtquand l'emblème de la vo lonté de la représentation uationale a été fou lé au*'pieds pair un ministre? W alfoffschmidiyydpprOu've fortement les ministres lorsqu'il ne daignent pas ré poudre aux récriminations injurieuses qui leur sont si souvent et si injustement prodi guées Qu'il se bornent y tépondre ce qu'à dit un-Célèbre orateur français; Les rhé teurs parlent pour produire un effet de heures, mais les hommes d'état parlent pour lés temps. »- Ho bho M. d'Hofîschmidt comme vous y allezpour un - - D'anS la séance de la chambre du 17, ôn rèrhârqjuVces*$$ - M. Dumortier insiste avec force sur la Nécessité dé refuser gouvernement le droit eidrbitatlf de révocation il S'élève avee vé- he'nrence contre la fin de Uoû-recevoir que propose 1e ministre pour s'arroger un pouvoir qu'il considère plus arbitraire que celui du gouvernement du roi Guillaume. Après avoir entendu plusieurs '-orateurs pour et contre la question préalable et les divers atnendeinens, on met aux voix la ques tion préalable pour ce qui concerne la révo cation dés bourgmestres et les amendemens y relatifs. La question préalable est adoptée par v°iî contre 3o. Par conséquent le droit de révocation pure et simple est accor dé au gouvernement. Ont votépour la question préalable MM. Verrue-Lafrancqetc. M. le trtihistre propose la question préa lable.l'égard du droit accordé au gouver-i: neur ou la députation provinciale de sus pendre les bourgmestre et échevins. La question préalable est rejetée ici par 4o voix contre 38 par conséquent la dis cussion est ouverte sur les amendemens rela tifs cette suspension. Le priorité pour le vote est accordée l'a- mèhdetnent de M. Desmet qui est rejeté par 5g voix contre 8. Voîcl comment l'àttide 9 a été définitive ment adopté Lèshctorgmestres et éch'evius pourront être suspendus de leurs fonctions pour cause d'incouduite notoire ou de négligence grave par arrêté db gouvernement rendu sur l'avis fflorivé de fa députatioa provinciale. La sus pension në'poUrrinèXcédér 3 mois. A l'expi ration de ce terme les échevins pourront être démis par la députation provinciale. Les éche vins seront toujours entendus préalablement la révocation. Les bourgmestres seront pa reillement entendus avant la suspension. Les bourgmestres pourront être révoque® par le roi. La chambre s'est occupée le 17 delà discussion de la loi sur les remplaçans. M. Séron a présenté une disposition addition nelle ainsi conçue A l'avenir les hommes mariés avant le i^'jjHvier de l'année la quelle leur classe appartientn'obtiendront plus.l'exemption de service si le mariage est cOntractéavec nne femme âgée de plus de 5o ans M. d'Hofîschmidt s'est élevé contre l'exemption des fils uniques de parens riches sans les obliger se fàite remplacer. Bruxelles, 20 mars. Au commencement du mois de mai pro chain époque où la section du chemin de fer entre Bruxelles et Malines sera entière ment terminée un service de diligence y sera établi il correspondra avec un autre qui conduira tes voyageurs de Malines. An vers au moyen de voitures ordinaires de manière que la moitié de la route sera faite par dçs diligences tirées la remorque au moyen de machines locomotives, et l'autre moitié par des diligences attelées; on calcule que le trajet enlje Bruxelles et Anvers pour ra se faire de ceit^ mauière en moins de trois heures aujourd'hui on met cinq heures le parcourir. Voici comment le serticeseramon- té Les diligences faisant le service sur le chemin de fer s'arrêteront près du canal de Malines Louvain une petite distance de la première de ces villéip un ponton transpor tera les voyageurs sur la rive opposée du ca nal où une autre diligence les prendra et se mettra immédiatement en route pour sa des tination. 57.-1. VAN WEGE DEN KONING EN JLSTITIE. 27 GEDWONGENE ONTEIGENING. Van een HUIS ongenumerd met zyn Grond en Erve en twee Gebau wen op de zelve erve gesticht, het een tusseben cour en hof en het ander op het einde van het hofte samen gelegen ta Nieuwkerke arrondissement Yperen van noor- den de Yper-straete palende van oosten en van noorden het huis en erve van den heer Leynaert VXn westen aen het hais en erve van sieur Desma- sièVe en vinzuîden de gemelde Yper-straete ge- bruiht door de naergenaemde Petrus-Josephus Mouton, Cecilia-Jacoba Mouton, en Marie-An- ne-Theresia Mouton beslagene partien. Tte inbeslagneming is'er van gedaen geweest bjr procès-yerbael van aen deurwaerder SANTE" te

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1835 | | pagina 3