d'aprèp une aulre feuille, le fait d'un avocat qui «irait fait connaître l'audience du tri bunal de Louvaiu le 12 qu'il aurait remis une somme d'argent un fonctionnaire et aurait ainsi|obtenu une place de notaire pour un ltoftcie qui né véut aujourd'hui compenser cette Sommé avec une autre dùe par cet avocat. M. Wargny, avocat én cette ville, a reqms cette feuille d'insérer une lettre qu'il a adressée le ig M. le procureur-général. Il s'y déclare être l'avocat dont on a voulu parler et explique ce qui s'est passé. - Le tribunal correctionnel de Mons s'est occupé le 17 de l'affairés des désordres com mis par des officiers. M. Corbisier, substitut-procureur du roi, expose qu'il ne s'agit pas des désordres qui ont eu lieu pendant la nuit du i5 septembre mais des scènes qui les ont précédés, des coups qui ont été portés et des injures préfétés dans l'après-dîner. On procède l'audition des témoins. Après M. le procureurdu roi,M« Forgeur, de Liège, qui s'est rendu Wons pour dé fendre les prévenus, a la parole: Il rejeltesur le sieur Morutier la cause accidentelle de la scène qui a eu lieu le 18 Mous; M. Menlen a déjà expié, dit-ilces loris involontaires; ces messieurs] se rendaient en gaîté chez A. Piérarl; quelques enfans les insultèrent, M. Perrin est de MonS, il n'a eu l'intention que de se plaindre des enfans; et pour cette seule observation, faite sans aigreur, ils ont failli être victimes de l'exaspération inconsidéré* ment soulevée; Me Forgeur dit qu'en somme, aucune déposition n'inculpe les prévenus qui n'auront regretter qne le désagrément d'avoir comparu devant un tribunal de ré pression. Le tribunal sé relire pour délibérer et pro nonce quelques iDstans après un jugement qui acquitte les prévenus. FRANCE. Paris 32 janvier. Dans les discussions sur l'adresse, le lon- gage du président du conseil (M. Molé)n'a pu dissimuler la tausse position du gouverne ment français, placé entre les exigences de la diplomatie, et les mauvais-vouloirs de la chambre, qui s'obstine garder des sympa thies pour les principes constitutionnels. - Une lettre adressée, de Paris, au journal the ConstilutionalLondres, expose ainsi l'état des forces employées, dans Paris, au maintien de l'ordre: - Garde nationIe, 100,000; ancienne police; 20,000; troupes de ligne, 3o,ooo; le Journal des Débats1 total, ii5o,ooi. EXTRA KT uithet register van inbewaering 'I gestelde aklenberustende ter grcffie der reglbank van eersten aetileg te Yperen provincie TTestvlaenderen. Teu jaere achttien lionderd zeven-en-dertig, den vyfden der maend januaryis verschenen 2 ter greffie der regtbank van eersten aenleg te Yperen provincie Westvlaenderen, Meester Jacobds-Franciscus VANDAEEE avoué by de regtbank voormeld welken comparant alhier heeft overgelegd eene exueditie van een koop- kontrakt verleden voor Meester Joannes-Petius Fraeys notaris te Poperinghe, in tegenwoor- digheid van getuigen, den twaelfden december achttien bonderd zes-en-dertigbehoorlyk ge- registreerden letterlyk overgésebrevén ten kantoore van hypotheek bewaering te Yperen, den zes-en-tvvintigden deceinbér achttien hon- derd zes-en-dertig, volume, honderd vyfiig numéro zes en ex-afficio ingeschreven vier- en-vyftignuméro twee honderd negentîen, ontvangen eeu-en-twintig franken vyf-en- vyftig cenlimen, den hypotheek bewaerder geleekend LkgrAverand. Behelzende de gezegde akte, verkooping van een woonhnis en de medegaende erve staende en gelegen binnen de stad Poperinghe, ter noordzyde van de Hondstraete, palende van oosten het huis en erve van sieur Vaudccasteelevan zuiden dito straete, van westen het stadsniagazyn en van noorden d'erve van den Iieer Vanreninghe; door sieur Charles-Desiré Magherman brigadier van het octroi der gezegde stad Poperinghe en Barbara Derycke zyne huisvrouwe van hem behoorlyk bemachtigd; aen den heer Josephus Vanmerris grondeigenaer woonende lot het zelve Poperinghe; welke overlegging geschiedt ten einde na te komen de pliebtigheden by de wet vereischt tôt de vrymaking der hypo- thekenwaer mede het verkochte goed bezwaerd is; waeraf akte, en heeft den comparant geteekend henevens den greffier na gedane voorlezing (geteekend) Vandaele en Tu™ Yandenbogaerûë greffier. Enregistré sans renvoi a Ypres le cinq janvier mil huit cent trente sept, volume cinquante, folio cent soixante quinze verso, cases six et sept, reçu pour dépôt trois francs quarante centimes, pour rédaction trois francs trente- trois centimes, fesant avec les vingt-six ad ditionnels cinq francs quatre-vingt-seize cen times ie receveur signé Deschodt. Voor gelykvormig Extrakt den greffier der regtbank van eersten aenleg te Yperen, provincie "Westvlaenderen. Th™ Vandenbogaerde. Enregistré sansrenvoi a Ypres, le cinq janvier, 1800 trente-sept, volume cinquante, folio cent soixante-seize versocases première et deux reçu pour droit et additionnels quatre francs un centime. Le Receveur 51-1. Desciiodt. Signification de VEXTRAIT de l'acte de dépôt a M. le procureur du roiet au subrogé tuteurainsi qu'à tépouse du vendeur. L'an mil huit cent trente sept, le douze janvier, a la requête de M. Joseph Van Merris, propriétaire, demeurant et domicilié Poperin ghe, pour lequel est constitué et occupera, en sa qualité d'avoué, sur les présentes formalités de purge légale, Maître VANDAELE avocat et avoué au tribunal de première instance séant h YpreS, oh il demeure rue vieux Marché aa bois numéro trois. Je soussigné Pierre-Adolphe LeuPehuis sier audiencier près le tribunal de première instance séant a Ypres. y demeurant rue des Recollets numéro cinq, dûment patenté. - Ai signifié et laissé copie, x° a Barbe Derycke épouse du sieur Charles-Désiré Magerman brigadier de l'octroi de la ville de Poperinghe, y demeurant 20 au sieur Eugène Quetstroy, cafélier demeurant a Poperinghe, en sa qualité de subrogé tuteur des enfans mineurs dudit sieur Désiré Maghermanqu'il a retenu d'un précèdeut mariage avec feue Henriette Quetstroy; 3° monsieur Charles Depatin procureur du roiprès le tribunal de première instance séant h Ypres, étant pour les deux premiers en leur domicile Poperinghe et parlant pour la pre mière sa personne, pour le deuxième sa personne, et pour le troisième en son parquet et parlant h sa personne lequel a visé mon présent original. De l'Extrait d'un acte de dépôt fait par le requérant au greffe du tribunal de première instanee séant a Ypres, le cinq janvier 1800 trente-sept de l'expédition dû ment collationnée d'un acte passé pardevant maître Jean-Pierre Fraeysnotaire de la rési dence de Poperinghe, et témoins le douze décembre 1800 trente six dûment enregistré, portant vente au profit de mon requérant, par ledit sieur Charles-Désiré Maghermanet Barbe Derycke son épouse, d'une maison avec son fonds d'héritage, sise en la ville de Pope ringhe au coté nord de la rue aux ChieDS aboutissant de l'est la maison et fonds de M. Vendecasteeledu midi la prédite ruedu couchant le magasin de la villeet du nord la propriété de M. Vanreninghe, pour la somme principale de deux mille huit cent francs avec les charges, ledit dépôt fait par le requérant pour parvenir a purger les hypothèques légales dont la maison acquise pourrait être grevée, déclarant a mon dit sieur Depatin procureur du roi, que tous ceux du chef duquel il pourrait être des hypothèques légales, pouvant n'être pas connues le requérant fera publier les présentes conformément a l'article 683 du code de procédure. Et pour que les dits signifiés ne puissent pré texter cause d'ignoranceje leur aiétant et parlant que dessus, avec le double des présentes laissé copie de l'Extrait sus-mentionnée dont acte. Le cout est de treize francs quatre-vingt-six centimes. Leupe. Vu et reçu copie par nous procureur du roi près le tribunal de première instance séant Ypres, en notre parquet, le douze janvier 1800 trente-sept. Le Procureur du Roi Ch. Depatin. Enregistré sans renvoi a Ypres, le quatorze janvier, 100 trente-sept, vmc 33 f° i83 v°

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Le Propagateur (1818-1871) | 1837 | | pagina 2