VILLE D'YPRES. I^owcnaiiXJ cF£xh3 ce-0ccw)e wl afc> eto t)o fco (N° 2039.) MERECRDI, 19 AVRIL, i837. (XXme Année.) L'abonnement ce Jouriml est, pour les Tilles et arroudissemens de Courtrai et d'Ypres, de fr. 5 par trimestre, et de fr. 6 pour toute la Belgique, franc de port par la poste. Prix des Insertions en Petit-Homain17 et. par ligne et toutes celles au-dessous de 6 lignes, se paient un franc. FERM. DÉFINITIVE DES PORTES OUVERTURE DES PORTES FERMETURE DES PORTES SE LA TILLE. Du 1 au 3o avril8 heures SE LA TILLE. Du i au 3o avrildu heures BELGIQUE. Yrazs, 19 avril. Vendredi passé, >4 du courant, des agens de police, accompagnés des boueurs, ont fait opérer le balayage des places et rues. C'est là, nous avons déjà eu occasion de le dire (V. n°» 1996 et 1998), une mesure très-utile, indispensable même, de petite-voirie; c'est, en outre, une mesure sanitaire préventive d'hygiène publique. Cependant, les places et rues ne seront jamais entretenues dans un état de pro preté couvenable, si le balayage ne se fait, au moins, trois fois la semaine, et si, sur tout, la police ne tient la main ce que qui que ce soit ne jette d'immoodices, sur la voie publique, après l'beure et hors des jours de nettoyage général. Il est en core une chose des plus essentielles exé cuter c'est de faire balayer, tout aussi bien que les places et rues passantes, les ruelles et autres endroits ou passages où des amas de boues et d'ordures restent Stationner. Nous citerons, entre autres, la ruelle de la Nouvelle-Caserne, dite den Doorgangqui est, généralement, d'uoe saleté-modèle Nul doute que la police, avertie, ne veille, partout, la sulubrité, i la propreté publiques, et ne fasse exé cuter (1), par les babitans mêmes de ces localités, les ordonnances et réglemeus sur la petite-voirie. Au fond, cela leur in combe directement, et plus qu'à tout autre. C'est par erreur que, dans notre avant - dernier numéro, rubrique Ypres, nous avons désigné le dépôt du a* régiment de chasseurs-à-cheval Maiiues comme (1) C'est ce que les boueurs ont fait, dans la «satinée du samedi, i5. Il j'agit, maintenant, de continuer. venant tenir garnison ici, en remplacement de la 5e batterie montée, ier régimeDt d'ar tillerie c'est le dépôt du 1" chasseurs- à-cheval qui vient, de Maiiues, Ypres. L'école des Elles pauvres, de Dixmude, a reçu un subside de 900 francs, sur les fonds du trésor. - M. Parquin a adressé la lettre suivante au Courtier du Bas-Rhin Zurich le 5 avril i837. M. Je lis l'instant dans le journal minis tériel la Paix, l'annonce que j'ai donné ma démission et que le roi l'a acceptée. Puisque Ce fait est rendu public je lieDS faire Con naître les motifs qui m'y ont déterminé. Ac quitté par la cour d'assises du Bas-Rhin, le 18 janvier dernier je me suis rendu immé diatement dans ma propriété en Suisseet de là j 'ai fait part M. le ministre de la guerre, par mon excellent frère l'avocatd'une de mande tendante rester chez moi sans solde les a années que j'avais encore faire pour attendre ma retraite car la restauration m'a fait perdre 6 ans de service.) M. le ministre de la guerre m'a fait répondre que ma requête ne Serait point admise, et il ajoutait que j'allais être appelé devant un conseil de guerre, pour avoir été àl'étraDgersanssa permission Merci! merci M. Bernardpour votre conseil de guerreje vous le dis franchement, se préfère le jury; et je o'ai rien de mieux faire, d'à près voire refus et votre menace, que de vous en voyer la démission d'un grade qui m'a été conféré il y a 34 ans, sur le champ de bar taille par S. M. l'empereur, Je déclare mes concitoyens que si je ne compte plus parmi les officiers supérieurs de l'armée je conserve toujours mon épée au service de mon pays. Si jamais ses fron tières étaient attaques, sous quelque gouver nement que ce soit (car la France en a changé sept fois depuis quarante ans) ceux qui me connaissent savent que je ne ferai point défauL Ma devise moiest et sera toujoursla patrie avant tout. J'ai l'honneuretc. Ch. Parquin offii cier de la légion-d' honneur. - On aprend de Woerden que le fameux Constant Polari, qui achève sa peioe dans la maison de correction de cette ville, s'occupe en ce moment rédiger et préparer pour la publication un récit détaillé du vol de diamans commis par lui en 1839 au palais de S. A. R, le prince d'Orange Bruxelles. - On a omis hier par erreur les ligues soi* vantes qui terminaient le discours de M. Rodeubacb Messieurson a cru dans cette enceinte et hors de cette enceinte que j'étais intéressé dans la question je pense donc devoir dé clarer ici et même jurer que je ne suis in téressé daDS aucune distillerie depuis plu sieurs années, ni dans tout autre établissement industriel. C'est parce qu'on a lancé quelques épigrammes contre moi dans certains journaux que je crois devoir faire cette déclaration la face de la chambre et de la uaiioo aussi je coopérerai élever le chiffre de l'impôt au tant que je le croirai utile aux intérêts du payset j'appuierai constamment le mi-? nistère quand il s'agira d'extirper l'immo ralité de la fraudeainsi que mon mandat de député me le commande impérieusement. Journal de la Belgique Bruxelles17 avril. Le Courrier belge dit que c'est pour pour féliciter de roi sur la naissance du der nier prince que le conseil communal de Brux elles s'est rendu au palais. Seulement il a saisi celle occasion pour appeler l'attention

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Le Propagateur (1818-1871) | 1837 | | pagina 1