SêSi BEESTIALEN. ftti,! Lord Brougltam doit qnittpr Paris VtfB- ÂNNorrcteîs. *T> s /j> nnin'i .i 0 Ô7Î «S.21 ÉRF G E fA L. =a= ftto BO'FSTË'ÉÎÏ WLMËII «OOBtlVfî ftife trftrÔfclL des provinces orientales né sdri.t pas du pour litre -. Très-humble remontrances tput pacifiées, si toutefois la-parx publique de Timon au sujet d'une compensai içm n'est point troublée. La plus gtanîle agitation d'un nouveau agence, que la liste çivrle règne, ditron, Cn'ésen; il y aurai| aussi prétend établir eutre quatre millious qu'elle de 'l'inquiétude Colin, dans la Pi-usse doit au trésor et quatre millions que le oiieniale et occidentale,-il y aurait ample ;trésor ne lui "doit Tps®. matière feinienlatinn, et les même, «lis- Plusieurs journaux s'occulpeht des positions se remarqueraient en Silésie. L'ar- mouvemens de troupes sur la frontière du rcbevéqtie de Breslait es-t d'aiileufs'en grande Nord. D'après le Tempsle moins ac- -eslime art>près du gctavtTiwinebtèt On »e "crédiré "des jôuïnSïïx mîffisTertelsTè rôi nOir.ine fréquemment, parr al-fusiètrà cft+airte de Hollande acrrah précédemment, menacé Tien minuten zityd-west van de~pl(ïeT8e proposition, le prince primat de l'église d'exécuter les 24 articles sur Veuloo, langst den voetweg leedende na IFest- catholique prussienne. O.i avait dit qu'on comme nous faVons fait st/r Anvers. La tenait piété uneLrigade de Pomérauie, mais Prusse aurait déclaré sa neutralité dans *1 «'en est enéoTé fret». cette affaire. La France que l'entrée du Par centre il çe fcob&rwe qu'on réunit premier soldat hollàndats ou prussien sur «tes troupes fbsses sur Ut frAînli&rfr. le territoire conteste, serait immédiatement OVBRLEDEN IS, STAESDE IN DE CEMEENTE VAN J î-.v... 'Y-V, -• ou ter K.OOPIMG, Op DYNGSDAG naest aa8U Mey i858, ton -sftSUrè qu'on èiailil què le grAnd-dïitbte suivie rie l'entrée d'ïniè armée française eu noudi^^vani' 1 1 o nooaigvan ailes len gemclden Steilkuys te «lé PoMîtt et le Ydywlrtïië Ue rafagnè rte Belgique. A cet ellef, do^noo hommes bevynden bestaende namentlyk in se réunissent pour agir ensemble. Du uibWs sciaient depuis 10 jotirs échelonnés sur la il y a des gens qui verraient cela et même frouiiëre. JVlEUBEtEN. «ne insurrection avtô joie ài.endu que la La Pressefournil ministériel plus ac- A,s Stoeîen. TaÇ. Koffer8 Schapr y* guerre )dsl.fie le dfoit de là guêtre et crédité, pteiend qu on ne remarque dans tiorlogic riict k'assé, KoperTinïz'-r,. Galeys qu'il y aurait là une bonne occasion d'en les gàttiisbns tj'rie les m'oilvetiiebs habituels; en Aerd^werkiBeddingen«ncnagic J./nwàert la nationaliié ce joui «ml ajouté que lulfaire de Strassèh ùràen Zakken, Hoinnyà Çakkcn, en me, r «rider portugaise. Mais les Poldnrris paraissent sur finir tout d'un coup avec la nationaliié ce joui uni ajouté que portugaise. Mais les Polonais paraissent aura, Corinne lèS lUcideus àiiteHéurs 1 tlîi qrp'p0,!!™ 'OBDfcR WE PStllE fort bien les comprendre, et leur résistance molivëtfieiit pdfcill'que ei raistibtiablé. UJU SCi i YN,J G E11ALKI^'gGh bl51''JEzVn paiail devoir étiv d une nature toute passive. Eiili'u le Jourrï'al dé Pdriàqui est in jaER i58o. considéié comme l?ora«iie du ministère /Jruitet/eg 11 mat. .s,.. precedent, rapporte Us nouvelles des cou- Ce n'esl pis 4rir!ëftfPrit ïlafif les dépar- ceritralibils de tioupes en ajoutant qîiè Vien le met s du Nord et du Pasrde-Calaisqu'eut n'annonce pour le rîiohltùt bn évënemé jftêl pd'u 1 reçu l'ordre de partir, dans les 46 de là Frtfnée fépbddè'tii ce quq jreut Al 00k aiferbande sldg Vàffi Boérullâéin ■s, pour la frontière du Nord. Ces dvctir tfe lëëbsçhnt pouf la Êiélgiqué la déclaration du coiumaudaut de là forteresse fèdéialë. ont heures bataillors, ayant besoin d'être féofganisés, ne partiront que le i3 mai. D"ûu autre côté, on lit dans L*Industriel de la Champagne Quatre bataillons du 46e de ligne ont reçu l'ordre de quitter Mézieres, pour aller Civet, et sont c» elfel paft'rs pouV cette destinaiiot) rubis il est probable que ce déplacement n'a aucUtrô cause politique sérieuse. On lit dans le Cduffîef français Un journal fapptjrté que dés ordf'es ont te expédiés du dëpartértiénf dé là' gUelfe pour qu'un corps d'arméè ëoliiposé de 3i>;eoo'- hootimesi ef 4' piècis de cation sé unisse ommandé ÉtAT Cftïi. Du i'€ htt 18 Ftc&j t858. KiAïaaf^éis» A lovon/lrn Moccioan n4. onc foîTlmih 1 est Twee gemonleëràe Wagens ;Aïy Karren, Toile, Kafn,&S 2 ft-almolens, Vans, F^auwen, Snaen, Ifan vvnussen, VrJrk'en, Gictyeitf Drytanés,' Ifo'oV Sp'aééiiz. VRUGTEN. .^,w'Jnhg bectoliUrs (Koqrn?)eene groote quan- tî'êjft gedôsjcuèn Bôonen çn. Haver letoa Uoon ichoevenIwe'ers'cri en Klavtr BoejG\ey en Strooj. KÙYPERY. Als Keern^rneiK Kùypèn,* ÙofeVmyne, Seulen, Carteelen, liauwt Standen en anderè. BR'AriTbHÔTjt.- iei sonnes 'est question que de renforcer nos gar- isorrs depuis Ulle jfisqmà ifetz, afîrr d'ëfre ni mesure', le cas échéant', de foittieF en peu; de jotirs" Ucf corps d'armëé drspdritble. a toutiiure qhe prennent Iris ëvénemeDà u Luxembourg ofrt mdtivè dflt'â'pïé'càliildfii! A a 3 3 A fi <S Masèulin, 3 fè'mibilt 2 lotàl nSdttbûé', du- sêxé ferriiriin. IttAvVLk Parts, if mai. ÎD Wa gen Arnascb, als 00k de vrugten, zullcn den Dyngsdag Ver'kogt wo'rden. - Deze Venditiç zal gesebieden met tyd.yan betaiing-, mrts stellende So! vabefc en bekendé borge 1 gedomicibeert in het arrondissement van, Yper, vdo'r de' koopen boven de 10 franken z.ulleiide d'égeene' va'ri' 10 franken en daer bened'eii,' ^ïs 06k dèn tiènden penning en a'infer vboTbWjjiek contant niuètén*bétaelt wrirJen. dredi ptocltain pour aller faire1 urée- visite St-Jèân,'ri4 iT, .-- - Den Notaris LUCIEN, resideerende te Renin- Françots Senunet, 2 ans, 6 mois, rue ac gbelst, is belast nièt deze Venditie en ontvangst. 118.-

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Le Propagateur (1818-1871) | 1838 | | pagina 3