FERME, ANNONCES. PATURES et PRÉS état civil. s*-. belle vente (3) juste que cette délié sôit supportée l'a venir exclusivement par la Belgique. ce L'intérêt a iji p. c. sur la portion de cette dette que l'on Bomme active, de même que le fonds pour le rachat de la portion qu on nomme différée étant évalués 750,000 florins des Pays-Bas, d'intérét et aDDuel, la Belgique devra supporter de ce chef une autre dette de 750,000 florins d'intérêt. La conférence s'est aussi aperçue qu'il était juste de revenir sur la première dé cision qu'elle a ptise en ce qui concerne la dette gallo-belge. Le protocole susmen tionné portant La coùférence constamment guidée par les principes de l'équitéa trouvé qu'une autre dette, qui a été originaire ment supportée pâr la Belgique avant sa réunion la Hollande, la dette inscrite sur le grand livre de l'empire français et S|ui, suivant ses budgets, monte 4,000,000 r., ou a,000,000 fl. de Pays-Bas d'intérêt annuel, devait être aussi mise la charge du trésor belge. A l'égard de ces déiix points, la Bel gique obtient des modifications, et la Hol lande est appelée supporter uu sacrifice considérable. Comme compensation de la réduction des trois millions et detnl de florins, on offre la Hollaode de la dispenser de l'obliga tion, qui lui était imposée par l'arrangement Erimitif, de rembourser la Belgique la alanoe de l'empruut de 68,600,000 florins, laissée l'époque de la séparation des deux pays, entre les mains du Syndicat d'amor tissement: et de la mettre ainsi l'abri de toute espèce de réclamation que la Belgique pourrait faire relativement atix transactions ou aux obligations de cette institution hollandaise. La Hollande de son côté dot! renoncer toute réclamation concernant les arriérés de la dette réunie Telles sont les bases sur lesquellesles représentai des cinq puissances ont terminé, il y a quinze jourscette longue affaire. Mais le comte Sébastiâtii a cru devoir avant d'apposer sa signature àu traité, eu référer sa cour pour demander des ins tructions sur quelques points que nous Cfoyons être d'une légère importance finan cière. Ou attendait line réponse immédiate du gouvernement français et cependant au cune réponse n'est encore arrivée, et l'on pense qué ce gouvernement a renvoyé la Côur de Bruxelles les communications du comte Sébastiani. Le public aura bientôt l'occasion de vérifier l'explication que nous venons de donber sur la position actuelle des affaires, par le disCôlifs que le roi des Belges doit prononce l'ouverture de la session des chambres législatives et par les explications subséquentes que donneront naturellement Ses ministres. Le langage qu'il emploiera dans cette occasioo, fera aisément conjecturer si l'arrangement aura l'çdhesion de la Bel gique, ou si les eflorjc tic ceU/-puissance tendront encoré en prolonger indéfiniment la solution. Dans les cerOles diplomatiques les mieux informéstabt Londres qu'à La Haie -, on s'attend que cette affaire sera entière ment terminée avant le 17 du mois pro chain, jour auquel les chambres françaises ont été convoquées par Louis-Philippe. On pense assez naturellement que le roi des Français, de qui il dépend maintenant de hâter oii de retarder la conclusion, doit désirer pouvoir annoncer, dans son discours, pour l'ouverture de la session législative, la conclusion défioitive d'un diffé rend, qui a si longtemps occupé la diplomatie européenne et dont la prolongation ne serait pas sans danger pour la paix générale. Le Courrier, journal semi-ministeriel qui reproduit l'article du Morniog-Post, ajoute entre autres ce qui suit Comme ce sujet est important nous croyons nécessaire de donner quelques explications ultérieures d'après lesquelles on verra que l'article du Post est exact sur tous les principaux points, mais entièrement erroné dans la couclusiou qu'il eu tire, que la décision finale de la question serait aussi prochaine qu'il le prétend. La question belge est aussi éloignée que jamais d'un arrangement définitif. Les dif ficultés viennent maintenant de la part du gouvernement français. Au moment ou la conférence de Londres paraissait sur le point de prendre une décisiou, le géuéial Sébastiani a reçu des instructions pour n'adhérer aucun arrangement que le roi des Belges ne serait pas prêt ratifier. Il parait que lord Palmerston a proposé une rédaction de trois millions et demi de florins dans la part de la dette imposée la Belgique. Il a aussi insisté pour la libre navigation de l'Escaut, et a obtenu, sans grandes difficultés, l'adhésion formelle cet effet des représentations du roi de Hollande. La question territoriale n'a jamais été posée dans la conférence. L'arrangement proposé par lord Pal- mérston a été approuvé par l'Autriche et la Prusse. L'ambassadeur de Russie a hésité, déclardtit que soti consentement dépendait de celui de la Hollande. L'ambassadeur français a chaudement appuyé la proposi tion de lord Palmerstron et paraissait im- Îialient de la voir adopter. Cependant orsque la conférence était sur le point d'en venir une décision finale, le général Sébastiani a annoncé qu'il avait reçu de nouvelles instructions, qu'on attribue au séjour du roi Léopold Paris. Ses représentations ont été appuyées par le comte JVloléet le roi des Français a fait envoyer alors de nouvelles instructions sôn ambassadeur en Angleterre. Pour le moment, la décision finale de la conférence peut être regardée comme in définiment ajournée. Du i5 au 19 Novembre, 1838. Masculin4 féminino total4. Un mort-né, du sexe fémenin. Néant. o& il s Louis-Joseph Leroy, 6 joursMarché aux Bêtes, n° 25.Pierre Lesage, 2 mois, Saint- Jacques lez Ypres. Casimir-Pierre-Noël Dumord, 2 heures, rue de Jansénis, n° 3. Reine Vandevelde, 56 ans, dentellière, veuve de Pierre de Grou, rue de Kauwekind, n° 11. d'une A ZUYENKERKE, UITRÉRKE, SAINT-PIERRE sur la digue et SLYPE. Le Notaire DE BUSSCHERE, k Bruges, Vendra publiquement en dehx séances, sans plus, dont la première pour la Mjsë-à-frix est fixée au Samedi 24 Novembre i838 et la seconde pour I'AdjudicatioN Définitive au Samedi 8 Décembre suivans, k 4 heures du soir en l'Hôtel de Ville, k Bruges, Salle des Ventes par Notaires. i° Une FERME avec 12 hectares 56 ares 00 centiares, mesure cadastrale et suivant titres de propriété i3 hectares 10 ares 20 centiares de TerresPâtures et Prés, située en les communes de Zuyenkerke, Uitkerke et Saint-Pierre sut la Digue, divisée par affiche en i5 Lots, actuellement occupée par le sieur Corneille Freyne, k Zuyenkerke. 2° Neuf hectares 01 are 07 centiares, mesure cadastrale et suivant titres de propriété 9 hectares 18 ares 5o centiares, Terres, Pâtures et Prés, situés en la commune de Slype, divisés par affiche en 8 Lots, actuellement occupés par le sieur Benoît Mus k Slype. Avec gain d'un demi pour cent au profit du plus haut enchérisseur au jour de la Mise- k-prix. Lés titres, plans et conditions de Vente se trouvent en l'étude dudit Notaire DE BUS SCHERE, Place de la Bourse k Bruges. 3i8. - 1.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1838 | | pagina 3