la diplomatie ou par l'épéeEntre-temps, par les bravos de tous les auditeurs. Dansez, dansez, puisque tous vos quadrilles nous IOUS, Belges, soyons pms je.e, la Chacun a remarqué, uvec peine, que noire qui nous reste!!! SAINT SÉBASTIEN YS&LJ3 ©'TFmES, ETAT CIVIL. Pour les Pauvres a Je ne pais qualifier la manière dons vous Ce pianiste fait de grands progrès. Son doigter en êtes sortis// est d'une dextérité peu commune il semble Le Brilish and Forciez Review se Jou,er de la difficulte'. et s'identifie tellement publie un article rematquahle sur la pro- avec les dlvers sent.ments empre.uts dans la pension de Louis-Philippe tourner sa politique dans le sens de la Russie, contre tous les états constitutionnels!!! C'est ce que faiten core, en ce moment même, Louis- Philippe dans la ques i >n hollando-belge du traité des a4 articles!!... A tout prix empreints partition du maestroqu'il les fait partager a tout son auditoire. Un artiste de Lille a joué une romance Mais ai-je exagéré De ecetir je le voudrais Mes tableaux sout affreux Il ne sont que trop vrais Si vous sortiez de vos chaudes demeure» Pour aller visiter le pauvre en son logis Riches vous me croiriez Ce qu'ici je vous dis, Peut se voir toutes les heures. De tant de pauvreté vos cœurs se sont émus I ïl faut, pour Louis- Philippe et sa dynastie j,on parl{ <je sur le cornet a pistons, et un air varie sur Par la compassionenfin, vous êtes mus; la trompette fi cylindre monsieur Srnsoilliez Et vous allei soulager ces misères r i i -i i Le Gel vous bénira Donnez l'indigent a fait un très-grand plaisir; il attaque la note Des Renient*du pain, donnez-leur de l'argent avec hardiesse, et vivement. 11 sait tirer un Les pauvres sont aussi nos frères/ r ces instruments, qui, sous d'autres J i, i u r 1 -, Oh vous avez raison dansez, chantez, dansez Cadette eventuelle, que les puissances ub- levras, ne rendent bien souvent que des sons Dans ces brillants salons ob vous êtes pressés Solulisles ratifient, enfin, ce qu'elles ae sont bruyants cl criards.; lui en fait Sbxtir des Obaritjî, sa sœurla Bienfaisance encore que trop disposées nommer son accords suaves et mélodieux. usurpation Voilà le fond de la Puis, monsieur Boedt, amateur distingué de Écoutez/ la fête commence, question! voilà le nœud gordien!!... Nous cette ville, a exécuté sur la flûte, une romance 4 .9 a ri i j- c j *n* le £al Momus agite ses grelots \errons conimcut il se dénouera par oe 15crhtguier. îjcs accords ont cte accueillis Richesil vous couvie ses bruyants galops. nôtre dans la balance C'est la seule, jeune compatriote, monsieur de Smits, n'a joué De chez bien de pauvres familles;.'.'- c'est l'unique voie honorable, glorieuse, SUI1U accompagnement du grand air chanté par mademoiselle Moltzherger nous eussions désiré de l'entendre exécuter un concerto. Ce violoniste donne un concert, jeudi; serait-ce le motif qui l'a rendu si économe de son archet? Vous avez craint, peut-être, mon sieur de Smits, de blaser la curiosité!.... Vos craintes ne sont pas fondées croyez-moi, lorsqu'on possède un talent comme le vôtre, peut-on craindre que le Public se lasse de vous entendre? Rendez-vous plus de justice. Le 2 t fi 1 occasion de leur fete, messieurs Le concert fini) ]e ba, a commencé> Les es Sociétaires de 1 Arc en main, ont lait uiies qua(jr;|]es ]es valses» les galops se succédaient n»liurp rto ivhilon t lip/vnio at »nt «paphpo nno rapidement, lout le monde était gai, joyeux; Le Sebgf.it LANCLOTJ. SOCIÉTÉ DE Lu 19 au 22 Janvieri83g. œuvre de philanthropie, et ont procuré une délicieuse soirée fi nos dilettanti, en donnant un concert au bénéfice des indigents. Cette solennité avait attiré la foule. La recette s'est élevée fi 1,000 francs, sans y comprendre une collecte faite entre les deux parties du concert. Messieurs les archers ont donc eu une heureuse idée, puisqu'ils ont su faire tourner nos plaisirs au bénéfice des indigents. Deux musiciennes de notre ville prêtaient l'appui de leur talent fi cette soirée Made moiselle Moltzherger et mademoiselle Nagels. La première a chanté le grand air du Pré aux Clercsd'une ravissante manière sa voix est sonore, moelleuse et pleine d'expression; émue un peu en commençant, elle s'est remise par degrés, et a terminé brillamment ce morceau qu'Hérold a hérissé de difficultés. La 2mo s'est fait entendre dans le duo du i" acte du Pré aux Clercs Les Rendez-vous de bonne compagnie, et dans le trio de la Dame blanche. Cette jeune personne n'a pas la voix très-étendue, mais elle a de l'harmonie car on savait qu'en se divertissant, oti faisait une bonne action ÏT A a S 5 A (B f Masculin, 1; féminin, 2 total, 5. Néant. Gloire aux cceors généreux inspirés par l'aumônb! Delphine Gay. T.'hiver a secoué dans nos champs, sur nos toits, La neige, les frimas qui tombent de ses doigts Le temps est fioid, l'atmosphère est gri.vâtre. Dans vos pompeux hôtels, échautlés grands frais, Riches, vous le bravez, vous l'affrontez en. paix, Assis, en cercle, autour de l'âtre Mais les iudigents, eux, dans leurs tristes réduits, Où les vents, l'aquilon s'engoullrent jours et nuits, Sur un foyer sans feusans étincelles Cherchent, mais vainement, un reste de chaleur! Regardez-les le froid les couvre de pâleur, Et leurs dents se heurtent entre elles Ici sur un grabatce vieillard qui s'éteint Glacé par les frissons dont la fièvre l'étreint Pitié voyez, il est sans couverture TJik drap, tout eu lambeaux, un drap le couvre seul y Hélas ce drap peut-êtreil sera le linceul De sa prochaine sépulture 2) ji B S» et une grande flexibilité; elle a chanté avec beaucoup d'art. Ces deux jeunes et aimables A.h! si vous voulez voir UQ tableau de douleur, personnes ont été saluées par de nombreux P""1 tout homme qui sent dans sa poitrine un cœur, 1 1 r Jetez les yeux sur celte jeune mère applaudissements. Pour réchauffer son fils, sou enfant nouveau-né, Monsieur Duhayon, l'habile maître de eba— Pauvre femme elle n'a que son sein décharné pelle de notre cathédrale, assistait ces deux Par le malheur.par la misere demoiselles dans les différents morceaux qu elles Pauvre femme insensible l'horrible tourment ont chantés. Sa belle voix, si pleine dans les Du froid et de la faim qu'elle a daus ce moment, I 1 g 1 i| np 171 lu ii'o nli.e «tn'utio caiiIo nancAa cordes basses, faisait un admirable effet en s'unissant naires. Jean-Joseph Founnaulx1 an1 mois, rue au Beurre, n° 67. - Alexandre-Joseph- Alexis Levasseur, 90 ans, sans profession, veuf de Marie-Françoise PalejourBéguinage, n° 00. Hortense-Clémence Vallaeys, 1 an, 1 mois, rue des Plats, n° 17. - Pierre- Léopold Vallaeys, 2 ans, rue des Plats, n° 17.- Antoinette van Besien 79 ans, dentellière, Kauwekind,|n° 11.- Colette-Engénie-Joséphine Marquette, 72 ans, veuve de Joseph Vnnhecke, rue de Ménin, n° 20. - Mélanie-Sophie Soenen, 21 ans, célibataire, rue des Tuiles, fi® 2. - Hortense-Clémence Vandermeersch18 ans sans profession, rue de Lille, n° 38. - Théodore- Louis Styn 2 ans, rue de Tourhout, n° 62, Elle ii7a plus qu'une seule pensée aM""»«x"v, v. 11 Ksv V.U gon fils!... Pour éloigner tout le froid qu'il ressent, cl Celles de ses charmantes parte— Ehe a vu que son sein n'est plus assez puissant, Il nous a fait entendre aussi les Voyez sa bouche s'est plaoée (1) élèves de son cours musical, qui ont exécuté Sur Ies pi,ds de penfaDt!... Elle les attiédit!... - le chœur du Postillon de Longjumeau^ et un D'un soutire insensé, pauvre mère elle rit, chant fantastique de Carulliintitulé: Les k Lorsqu'eUe croit que m débile haleine ni» »'U A ce sang précieux a rendu la chaleur Sylphes. Ce dernier morceau a surtout ete chante Vain espoir l'enfant meurt Ainsi tombe une avec un ensemble parfait. Que le vent brise dans la plaine! Monsieur Verhille a joué sur le piano, des L'Industrie linière depuis nombre de siècles si florissaute en Belgiqueet qui aujourd'hui encore n'y occupe pas moins de sept cent mille bras, cette industrie si précieuse et si intéres sante ayant chaque jour de plus en plus a lutter contre les ingénieuses inventions et immenses ressources de nos voisinsse voit presque menacée d'une décadence ruineuse pour notre pays. Cet état de choses a ému plus d'un cœur généreux. Soudain une asso ciation nationale s'est formée en Belgique pour la conservationl'encouragement et les fleur progrès de l'industrie linière. Elle veut con server au pays sa supériorité dans la fabrication joue sur le p.ano, des (l, u, eujambemeut n'étonnera pas le, lecteur, des d,e ,a toile de lin Se.C0Urir en U ^ariations sur des motifs d un opéra de Czerny. poètes modernes. "classe ouvrière occupée par cette fabrication

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Le Propagateur (1818-1871) | 1839 | | pagina 2