ANNONCES.
PETITE FERME
ETAT CIVIL.
Overbeekvan Dievoetvan Volsem fils
Lavallée, Drugman et Mersmau ont été
nommés membres du conseil.
L'Indépendant publie ce malin un
article où il s'exprime ainsi quant aux
indemnités dues diverses natious raison
de l'iocendie de l'entrepôt d'Anvers
Des négocians de tous les pays, anglais,
français, américains, prussiens, autrichiens,
etc., ont eu leurs intérêts compromis dans
l'incendie de l'entrepôt ils font des dé
marches pour en être indemnisés et leurs
gouvernemens ont pris ces intérêts sous
leur protection bientôt les réclamations qu'ils
ont déjà faites se reproduiront plus vives,
plus pressantes; pour les prendre en con
sidération la Belgique ne doit pas attendre
davantage.
Les intentions des puissances intéressées
sont connues.
Le gouvernement des Etats-Unis, sur
une motion expresse du congrès, a envoyé
un agent diplomatique Bruxelles, avec la
mission spéciale de réclamer l'iudemnité des
pertes essuyées par les Américains.
Le ministère anglais a promis son appui
aux régnicoles qui l'ont sollicité.
Dans la séance du 11 juillet dernier,
la chambre des députée de France a montré
toute sa sympathie pour les intérêts froissés
par l'incendie du 28 octobre, et l'on a pu
remarquer, non sans amertume, que l'iritation
dont était animé le député du Havre qui
a traité ce sujet, était partagée par l'as
semblée.
Le moroeot étant venu d'en finir avec
ces réclamationsil serait assurément de
l'intérêt de la Beliquede se montrer disposée
y fuite droit, sans préjudice des négo
ciations ouvrir a ce sujet avec la Hollande.
On écrit de VVavre, 11 août
Une personne charitable de cette ville
qui ne veut pas être connue, vient de
faire l'abandon de la somme de 6,5oo fr.
çu faveur de l'hôpital piojeté Wavre.
Si l'on joint celte somme celle de 16.000
fr., produit de l'exposition, etc., et celle
provenante de différées legs, on atteint un
chiffre de 60,000 fr., qui nous permet
d'espérer que bientôt nous verrous le
nouvel établissement ouvrir ses portes aux
malheureux.
Depuis le traité de paix de la Bel
gique avec la Hollande, un hôtel de cette
ville a logé régulièrement chaque jour au
moins trois Hollandais, la plus grande partie
sont des négocians.
Hier soir la représentation de Robert
le Diableon remarquait un grand nombre
d'officiers hollandais, entre autres un officier
supérieur de la marine.
Parmi les premières publications de
mariage affichées hier l'Hôtel de ville de
Biuxelles on remarquait celui de monsieur
Fauconnier, professeur de piano, avec ma
demoiselle Guelton.
Parmi les objets en sculptures en
maibre que M. Geefs enverra l'exposition
prochaine, on remarque un pâtre des pre
miers temps du christianisme qui vient jeter
es fLurs sur la tombe de sou ami. Derrière
a
lui est un chien berger couché, qui semble
partager la douleur de son maître. Le même
artirte exposera un tombeau en marbre noir,
surmonté d'une femme de grandeur naturelle
en marbre blanc Ce tombeau est destiné
pour une des églises d'Anvers. M. Pollet,
élève de M. Geefs, y enverra également
une Esméralda en plâtre.
On écrit de Paris, 11 août
Le maire et les adjoints de Metz viennent
de se retirer. Une mairie par intérim a été,
d'après le vœu de la loi municipale, composée
des quatre conseillers municipaux les pre
miers inscrits au tableau.
Tout annonce que l'accord le plus
parfait règne entre la France et l'Angleterre
au sujet de la question d'Orient. Il est vrai que
le cabinet britannique avait demandé que
l'ai mirai Lalande se concertât avec l'amiral
Stopfort pour aller bloquer le port d'Alexan
drie, afin de contraindre Méhémet-Ali
restituer la flotte ottomane, mais le cabinet
des Tuileries n'ayant pas agréé ce moyen
de coercition, et ayant garanti, d'ailleurs,
la loyauté du pacha, la demande de l'An
gleterre n'a pas eu de suite.
HOLLANDE.
La Haie, 12 août.
Les commissaires belges ont donné hier
l'hôtel de l'Ancien Château d'Anvers
Utrechtun dîner aux commissaires
hollandais, auquel le gouverneur de la
province était égalemant invité.
Les cuirassiers que se trouvaient
Nimègue depuis i83o, sont partis pour
Arnhem.
Le désarmement continue. Les compagnies
le plus fortes, qui comptaient autrefois auo
hommes, sont réduites a 60 hommes. On dit
que la levée de 1837 va être congédiée.
On écrit de la Zélande, 7 août
Les forts de Nolle et Ruiter, eu dehors
de la forteresse de Flessingue, sont désarmés
et la poudre de ces fous, ainsi que celle
de ladite forteresse, sera en grande partie
conservée dans le frot Frédéric-Henri
Breskens. Handelsblad
Un arrêté royal porte, que dans les
parties du Limbourg qui sont rentrées sous
l'administration néerlandaise, seront suivis
tous les codes avec les lois et ordonnances y
appartenants, qui maintenant ont force de
loi Maastricht.
CII11UI) E.
Mon premieren tout temps, est le maître du monde;
Garde que mon dernier sur ta tête ne fonde t
Accumulénombreux
Toi, surtout, malheureux
Qu'une avare pitié semble aidermais repousse!.,.
Mon entier est un port d'Afrique, où plus d'un moussef
Insouciant et valeureux
Avant que d'abordersent son cœur li gêne....
Ae cherchez plus. Je sais vis-à-vis Carthagène.
Sphinxiphile.
Le mot du dernier Logogriphe,
Août, où l'on trouve la fête dite Tuindf
8 auguste, 1383la ci-devanttf'
Napoléon (1.5); a, o, u-, t; où,
au (a le.)
VIErX.E ®'SPR®8,
Du 10 au i3 Aoûti83g.
HiùltSSiilïŒIÊS,
Masculin1 féminin1 total9,
Un Mort-né, du sexe masculin.
Néant.
m t <G s»
Ange-Joseph de Graeve, 69 ans, journalier,
veuf de Colette-Thérèse-Antoinette Deheerle,
et d'Aiioable-Svlvie Leplat, rue des Chiens,
n° 83. Sylvie Seys, 1 an, 6 mois, rue
Basse, n° 9. Marie-Antoinette-Françoise
Carnerlynck, 71 ans, ménagère, épouse de
Jean Ramnen, rue des Chiens, n" 18.
Charles-Louis Delbeke, 2 ans, 6 mois, Marché
au Bêles, n° 9. Martin-Joseph Outriz,
72 ans, tailleur, célibataire, rue de Meriin,
n° 20. Jeanne-Thérèse Moeser65 ans,
couturière, célibataire, rue de Méninn* 20.
D'ORIGINE PATRIMONIALE,
SITUÉS A
PLOEGSTEERT,
Commune de Wamétonle long le chemin Delblanquet et tint
Oxéfici/é.juée J
A VENDUE PUBLIQUEMENT
Avec une prime d'un demi p. »j0 pour le plu»
haut metteur prix.
En vertu de l'octroi du Tribunal de première
instance Ypres en date du 14 Novembre 1858.
le Notaire RO.MMENS YVarnC.'un, de ITnter-
Venlion de monsieur le Juge de faix du canton
de Messines, Vendra publiquement, les biens
lin meubles et Rente ci-apiès désignés, apparte
nants aux suce, ssious de Jean-Baptiste TVerquin
cl Marie-Catherine ('ilet le son épouse, savoir
Premier Lot Le lieu manoir composé de
maison, grange, étable et autres batimens, avec