M. le baron de T'Serclaesenvoyé les grains étrangers dans nos ports? Mais de donner la main aux insurgés. Le dan- extraordinaire auprès de quelques membres depuis le 29 mai 1838depuis quinze ger devient tous les jours plus immipent de la confédération germanique, a été reçu mois, l'entrée du froment est entièrement pour Maroto. le g par S. A. S. Mgr le p.iuce de Lippe- libre et il n'y a pas eu d'importations. Un post-scriptum d'une lettre écrite Delmold au château de Schiiederet le La raison en est très-simple; c'est que le des frontières de Navarre, le i5 août et 12 par S. A. S. Mgr le priuce de Valdeck, navire parti chargé de grains de la mer publiée dans le Mémorial des Pyrénées au château de Pirmont. Notre envoyé est Noir ou de la Baltique ne pouvait songer du ,^Ij porte ce qui suit accueilli, suivant ce qu'on rapporte, de la venir Anvers alors qu'il avait l'espoirc manière la plus flatteuse. tIndépendla certitude d'un placement Londres eP eures e emie. outes les Lundi est arrivé en cette v.lie, venant =5 ou 3o p. c. plus haut. Abolir la loi P[°™ Bl declarees c°D're. M»roto, de Londres, le baron Gustave van Zuylen de 1834 ce serait donc ne rien ajouter P usieurs P® 1 s orts se sont eja rendus van Nyeveitchargé des dépêches pour aux chances de baisse, et ce serait multi- aux. ,nsur8es fS 0 ?C1"S e aro>ee de le gouvernement. 5 plier réellement les risques de hausse, en W™»" ont déclaré Maroto traître. Est arrivé en même temps le baron van supprimant la limite qui se rencontre dans en me e ef Vrenées Zandt, colonel daos l'armée anglaise, chargé l'interdiction prévue de l'exportation. es atai onsf asflUeS conliuuaunt a se d'une mision près de S. M. le roi de Hanovre. Voilà ce que le gouvernement répondra m°n,re.r e" faVeUr d,e Ma.ro,°- Ce mem® M. Brummelqui vient de mourir sans doute au conseil communal deVerviers. ^0UrDa„, a'°"le cependant commandant de la maréchaussée en Hol- - Nous nous faisons un plaisir d'an- MalSre la Variele des nouvel,« de lande, est natif de Btuxelles. Il a servi noncer que c'est par erreur qu'on a dit lafr0Dliere etdes provmces, nous pouvons l'Autriche sous I'ampire, el commandait que le jeune Lanciers qui a été blessé 3 irmer 4ue es a,,^,marol,sles commuent 111. corps de Cosaques l'entrée d-s alliés l'imprimerie de M. de Mat, était mort; a m0n,r" U"e *>'ra,nfe resolut'°n dans en Belgique. Il prit alors service dans la ou a au contraire l'espoir de le voir se Se S°"1 e^a eraPares maréchaussée des Pays Bas et serv.t Gu.l- rétablir bientôt. d Ehzondo, Vera, Zugaramurdy el Lesaca. laumeen Hollandeen i83o. M. Brummel, - M. le procureur du roi ayant ordonné d,t auss' qtw.de" bataillons navarrats qui a servi presque tous les pays excepté l'autopsie du cadavre de l'avocat Bde ®'aieIil venus s incorporer aux re >e es. le sien, était décoré d'uu grand nombre Bruges, dont nous avons annoncé la fin n atten,. a c laqu® instant auo m qui, d'ordres. malheureuse près la porte de Laeken, il a «s qu .1 parait, s est soulevé avec deux On lit ce qui suit dans le Journal a été constaté que la mort était de résultat esca rous Cava ene' M de la Belgique y du 22, relativement d'une apoplexie pulmonaire. Des ordres viennent d'être donnés pour la dénonciation de M. Ad. Bartels contre MM. Moreauprofesseur de mathé- la rentrée dans leur garnisons ordinaires, M. Vléminckx malhiques, de Moor, lieutenant d'artillerie, d®s troupes qui avait été dirigées vers le Autorisé dire son avis sur la marche de Bruxelles, et Louis, fils d'un ancien Luxembourg. Nous apprenons que celle la plus simple et la plus facile suivre officier de Jodogne, sont pariis le 20 par mesure a été prise, parce que toute apparence pour parvenir la découverte de la véiité, la diligence de Paris, l'effet de se ren- de conflit relativement Malelange a il a exprimé l'opinion qu'il fallait com- dre Nantes pour faire partie de l'expédiiion disparu, et que les plus satisfaisantes ont mencer l'audition des témoins par deux de du navire l'Hydrographequi va faire 0111 été reuouvelées par le cabinet de ces messieurs, les docteurs Feigneaux et un voyage auiour du monde. La Haiepour la remise entière du différend van Caoegliem habitant l'un et l'autre On écrit de Bayonne, le 17 août aux délibérations des commissaires-démar» Bruxelles et qui sont même d'éclairer Nous apprenons que six compagnies du cateurs. Indépendant l'instruction sur les demandes poser ti« de Navarre sont entrées Elisondo M. Dubus de Ghisigniesdésigné chacun des autres témoinsel les pièces avec l'ordre exprès de défendre la ville par l'opinion publique comme devant être exiger du ministère. et de tenir jusqu'à l'extrémité dans le cas nommé l'ambassade de La Haieva L'Indépendant termine aussi un où les révoltés tenteraient un coup de main, dit-on, quitter aujourd'hui son chàieau article relatif la pétition de l'adminis- Il paraît que le i3« el le 5e de Navarre pour se rendre dans cette capitale où il Iration communale de Vervieis allaient se soumettre lorsque l'arrivée du aura une conférence avec S. M. le roi On demande l'abolition de la loi du 3 c 12e de Navarre a changé brusquement toutes de Hollande. C'est du résultat de cette juillet 1834; et eu quoi donc celle mesure les dispositions. Don Carlos quitte le 14 visite que dépendia l'acceptation de M. pourrait-elle avoir pour effet de remettre Sao-Estélai) pour aller passer en revue Dubuscarsi le roi de Hollande qui jes prix au taux où il se trouvaient anté- les bataillons navarrais dans l'Ulzama et lui accorde la plus haute estime, témoigne rieurement Cette abolition ferait-elle affluer lâcher par-sa présence de les empêcher qu'il lui serait agréable de le voir rppré- iious avons la plus haute idée du tact, de la et de notre littérature nationale, courageux, in— écrivains et nos critiques belges-français!... logique,du bon goût du poète, en vérité, l'humeur fatigables ouvriers au grand œuvre de notre Surtout, si l'on veut atteindre ce but, d'ailleuis euménidienne nous déborderrait ici, et torce nous Renaissance, nous voilà les noms, les noms si louable, si éminemment patriotiqne, plus de serait de nous, écrier, avec l'enseignement tradi- ceints de l'auréole poétique, que la Belgique, récriminations, plus d'hostilités, plus de décla- tionnel stéréotypé, les extrêmes se touchent;» quoi qu'il arrive, citera, désormais, parmi ses mations provocatrices, -— en un mot, plus de en d'autres termes, «du sublime au ridicule, il gloires artistiques et littéraires!!! gallophobie n'y a souvent qu'un pas! La Menge/poëzy y prendra rang et date. Concluant, la Mengelpoëzyde M. F.-J. Du reste, une chose semble excuser, littéraire- Œuvre modeste, fugitive, il est vrai, mais œuvre Bliecke st l'œuvre d'un écrivain d'élite (5), ment parlant, le kunstkolos rimant arendve- empreinte du sceau d'un talent du premier d'un poète du premier ordre. L. D. W. derbos c'est la noble amitié, l'honorable ordre, elle coopérera puissamment, osons l'es- Die selfs aen 't kwyuendste 00. d een drokker leven sebeok^ fraternité qui existe entre ces deux rivaux de pérer du moins, ranimer l'étude de la Den handel door 't heelal doen Hraven op huu werkeu - talent et de gloire. langue et de la littéarture flamandes, raviver Die bladcn, eer de buer zyn Renaudot bezat, On le sait. M. Blieckquatre ou cinq fois le feu sacré, les réconcilier, mieux connues, Ontviug Venetie reed» van Belgrcs handelstad! lauréat aux concours littéraires, soit du gou- et, partant, mieux appréciées, avec les littératures De Felgen, Beminnaers vauKunstenenWetenschappefl, vernement, soit des sociétés de rhétorique, s'est contemporaines, et, surtout, cher nous-mêmes, P' (51 No!,' cette fois-ci M F-J.BliscK placé, dès son début, au premier rang de nos ici en Belglque, avec la Presse (4), avec nos SJ des vérilles orthographes ou grammaticales.... Ce- poètes nationaun^/lamandspendant, nous ne saurions l'approuver, aveuglément, pn Lai MM. Pvan DuyseCh. Lédeganck (4) Avec la Presse, que le poète a si noblement caractérisée tout, et, particulièrementen ce qu'il avance, V Errata, '.Rens, Wm"' van Ackère, née Maria Uoolaeghe, dans ces beaux vers au sejet de l'accent flamand, - prononciation, - dans y 4i 1 IIP I i I ri 1 1 1 Die rU'll V M il VI t 11 O n e f îrnrol ,1 l'/srl/ï ,1 I nV r*— S A..lr«M nllCTlfTI» PII OH I 00 i t Die bladeu die,'t is waer, door bitse lasterwoordeu, y substituant eecomme bleeven, de Ujnrnp" (3) Car nous ne pouvons tout citer, sous aller sombrer Te vaek eens burgers rust en die eens ryks voor moorden, bleven. A sou imprimeur, nous dirons de ne plus coulbudte, contre les técifs de la Biographie quasi alphabétique eu Waer die de fakkels zyn waer de aerde zich aen licbt, l'avenir, comme il le fait, J, majuscule de avec 1, miniature!... Waei domheid voor yerdwyut, waerdwiuglandy voor zwicht; capitale de L t). W.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1839 | | pagina 2