MAEYGRAZEN ANNONCES. TRAVAUX PUBLICS. POÉSIE. Avril. m a s» suKaaïii&s sûïuwjîs» II. Eugèhe Geks. 1D <B s» BEDRÏF-GRAS. Staet op 6,G5o francs. ALLERBESTE MAETGRAXEV. Staet op 2,5oo francs. Staet op 5,a5o francs. DIS Nous venons de recevoir ls Nxvigatios de la "Belgique vers ParisEtudes faitespour effectuer, en Belgique, la Jonction des Bassins de la Meuse et de l'Escaut, par un Canal de Mons la Sambre. Rapport présentéaux Chambre Législatives, le 24 février, 1840, par M. le Ministre des Travaux Publics. Avec une carte. Ce volume in-f°, de 33o pages, imprimé avec soinélégance et correction, sort des presses de Mme Çe fl. Remyimprimeur du Roi, rue Notre-Dame aux Neiges, Bruxelles. Mars, 1840. Le titre seul de ce nouveau Rapport de M. le ministre Nothomb, en indique, tout la fois, et la haute utilité, et la haute portée a la Navigation de la Belgique vers Paris. La Jonction des Bassins de la Meuse et de l'Escaut, par un Canal de Mons la Sambre. Qui ne voit, tout d'abord, qu'il s'agit, dans ce Rapport du chef du département des travaux Sublics, la législature belge, des besoins et es intérêts les plus vivaces de l'industrie na tionale, au point du vue, surtout, de la na vigation extérieure et intérieure?... Le Rapport répond au but que le gouvernement du Roi se propose d'atteindreet ce longutile et cons ciencieux travail fait le plus grand honneur M. le ministre, qui, l'on en convient unanimement, s'est élevé déjà si haut dans l'administration de son département, département hérissé de difficultés scientifiques, théoriques et pratiques, que, pour la plupart, il a heureusement aplanies, résolues ou vaincues. Il nous est impossible, on le sentira de reste, de suivre M. Nothomb dans son volumineux, dans son immense travail. Tout ce que nous pouvons dire, c'est qu'il est digne de son objet, et empreint du cachet de son incontestable talent d'écrivain.... Et que l'on n'aille pas direau moins, que nous, homme de la Presse et de l'Oppositionnous flattonsnous encensons un ministre!... Il n'en est rien. On doit le savoir de reste. Que faisons-nous donc La chose du monde la plus simple rendre justice, le cas échéant, même un ministre!!.... En un mot, c'est le quoique et non le parce que Bourbonien de la royauté de i83o.... Maintenant, comprenez- vous? Nous aimons le croire, et, surtout, pour vous. Nous renvoyons au Texte du Rapport, qui sert avant-propos h l'ouvrage. Et nous finirons, en disant, avec M. le mi nistre La jonction des eaux de la Belgique avec les eaux de la France, est un grand évé nement ce qui manque la Belgique, c'est une jonction du même genre avec l'AIlcmangne tel était le but du canal du Nord la Belgique se serait trouvée en rapport direct avec le bassin du Rhin, comme elle l'est avec le bassin de la Seine, u Espérons que tous ces grands travaux d'u tilité publique (t), seront menés bonne fin, et que les rapports internationaux et commerciaux de la Belgique, s'étendront de plus en plus, et sur la plus vaste échelle possible. L.*. La Si, depuis quelques numéros, nous avons cessé de reproduire les adjudications, concessions, eto., c'est que, d'une part, nous ne faisions, en définitive, que les répéter, peu près, sans utilité réelle et après coup, et que, d'autre part, elles ne concernaient pas les Flandres, surtout la Flandre occidentale, notre objet spécial essentiellement. 2 I. Voici qu'Avril effeuille, au penchant du coteau, Les merisiers en fleur où chantent les fauvettes Les colzas vont s'ouvrir; les chastes violettes Cachent leurs doua parfums sous ces buissons d'ormeau. L'été va revenir. Que son réveil est beau! Les enfans, dans les prés, cueillent des pâquerettes, Ou s'amusent, sous l'œil des mères inquiètes, A faire ricocher des cailloux plats sur l'eau. Tout rit autour de moi, tout s'éveille et tout chante; Nature se revêt de sa grâce touchante A ce soleil nouveaumon âme s'ouvrira N'est-ce pas, mon Dieu' qu'à ces tièdes haleines, Du printemps qui renaît, comme la fleur des plaines, Dans mon cœur désolé, l'amour refleurira? Vingt ans; de grands yeux bleus, pleins d'une ohaste flamme; Un front candide, empreint d'une douce pâleur; Des lèvres ignorant que l'amour les réclame Si rêveuse souvent, qu'on en devient rêveur C'est la femme et l'enfant; un bouton déjà fleur; L'esprit qui doute encor de l'éveil de son cœur; C'est l'enfant qui se mire aux grâces de la femme; C'est la candeur qui veille la garde de l'âme. Oh! dites-moi, mon Dieu, n'est-ce pas elle encor? Elle que je rêvais? mon auge, mon trésor?... Dites, si ce n'est elle, où donc la trauveiais-je J'aime! j'ai soif d'aimer! pourquoi m'en défendrais-je De mon aride été mon printemps est si loin! L'amour seul y ramène, et j'en ai tant besoin! La Renaissance, liv. VII". ETAT CIVIL. Du 1" au 5 Avrili84o. ÏTAISSASTSISS» Masculin, 1; féminin, 4 total, Un mort-né, du sexe masculin. Néant. ALLERBESTE PATRIMONIEELE EN Jeanne-Thérèse Strubbe, 73 ans, boutiquière, épouse de Philippe-Jacques de Coster, rue de Ménin, n° 3i. Amandine-Sopbie-Caroline Vanboutte, 1 an, 6 mois, Marché aux Bêtes, n° 28. Lucie-Virginie-Natalie DemeyerR, i4 ans, 4 mois, dentellière, Chemin de Terre, n° 12. Henri-Alphonse SpinneiVyn, 2 ans, Quartier-Neuf, n° 19. Me Cuvelier médecin-accoucheur, rue de la Préfecture, n° 9, a Lille, tient une maison de santé pour les accouchemens. Cette maison est convenablement distribuée, et a un beau jardin. Les soins les plus minutieux sont donnés a ses pensionnaires. GELBGEIT IN DE HIER NÀER GEMELDE GEMEENTEN, OPENBAERLYK. TE KOOPEN tde dfad ftren. Eersten koop. Eene partie zeer goed hedryf-gras, groot volgens cadastrale mate sectie A, n" 525, den nomher van een hectare 74 aren 3o cenliaren, gelegen in de gemeerde van Merkemdigle aen den Cayenne-Molen, langs den Ketsweg van den Yper-vaert hy de drie Grachten, strekkende oost en west palende van oosten aen liet gras van Francis Ghyselte Bixschotevan zuyden aen hel gras van de kinderen Bruneel te Roozebeke en aen de drie Grachten, van westen aen gemelden Ketswegen van noorden aen jujfrouw de weduwe Vermeersch, le Merkem. Gebruykt, met de vier eerstvolgende koopeu, door Philippe Magry, landsman te Merkem, wonende by de drie Grachten, tôt eersten October i845. Tweeden koop, Noord van daereent partie maeygras, groot volgens cadastrale mate sectie An" 49 5, den nomher van 65 aren 20 cenliarenpalende van oosten aen den eerstvolgenden koopvan zuyden aen de Begynne-weede, compelerende d'heer de Grave, le Dixmude, van westen aen gemelden Ketsweg en van noorden aen hel meersch van genaemde jujfrouw de weduwe Fermeersch. Derden koop. Oost daer aeneene partie maeygrasgroot volgens cadastrale matesectie A, n"' 491, den nomher van 1 hectare 43 aren 70 centiaren, palende van oosten aen den eerstvolgenden koopvan zuyden aen de zelve Begynne-weedevan westen aen koop 2en van noorden aen hel maeygras van gezegde jujfrouw weduwe Vermeersch. Vierden koop.Oost daer aen, eene partie maeygras, groot volgens cadastrale mate sectie A, n" 4g3, den nomher van 1 hectare 0 aren 90 centiaren, palende van oosten aen den eerstvolgenden koop, op half dyk,

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1840 | | pagina 2