mm B0SCHTÂ1LLIE EXTÉRIEUR. VEJSDITIE Ingesteld 5,525 frwtçs. IngesteUfjfcOtlO francs/] Ingesteld 2,500 francs. Ingesteld 2,325 francs. rappela et lui demanda son nom. BerghofF fut la re'ponse du vieillard. J'étais autrefois, con- tinua-t-il, sellier Brandebourg j'ai 23 ans d'honorables services sous les drapeaux glorieux de Frédéric-le-Grand, et j'ai mon congé comme sergent. Sans pension? demanda la reine. Sans aucune, repondit le pauvre homme. Ce monsieur, lui dit alors l'excellente princesse en montrant le roi, bien qu'il n'ait pas sa bourse sur lui, a cependant du papier, de l'encre et des plumes, adressez-vous, lui, je puis vous assurer que sa signature est aussi bonne que de l'argent comptant, a Le roi, que cette idée aussi naïve que pleine de bonté avait très-ému, quitta un instant la fenêtre et revient bientôt après avec un billet qui contenait ce peu de mots La caisse de guerre extraordinaire paiera une pension mensuelle de 12 thalers au vieux Berghoff. Frédéric-Guillaume. A la trésorerie de la guerreBerlin. Berghoif était prêt h s'évanouir, en lisant la signature du roiet il n'eut pas même le temps d'exprimer ses sentiments de reconnaissance au beau couple royal, car le roi avait déjà fermé la fenêtre afin de se soustraire aux remerciments du vieux guerrier, qui ne pouvait revenir de sa surprise, et qui tomba genoux pour rendre des actions de grâce la Providence et lui adresser une fervente prière pour le bonheur de ses augus tes bienfaiteurs. HOLLANDE. La Haye, 14 février. S. A. R. le prince Frédéric des Pays-Bas, après avois accompagné son auguste beau-frère jusqu'à Arnhem, a de nouveau traversé Utrecht, le 10, vers deux heures et demie du matin, retournant La Haye. S. A. R. était de retour en cette résidence, le même jour, vers 8 heures du matin. On écrit de Maestricht, le 10 février Hier, vers huit heures du matin, un des bateaux vapeur de la Société Derosne et Cailvenant de Liègea passé sous les arches du pont de la Meuse, et a continué sou voyage d'expérimenta tion jusqu'à Yenloo. On attend son retour au jourd'hui. FRANCE. Paris, 14 février. M. du Roux, comte de Bueils, issu d'une illustre et ancienne famille, page de l'infortuné roi Louis XVI, colonel et chevalier de l'ordre royal et militaire de S'-Louis, vient de succomber en sa terre de arennes,. après une courte maladie, dans la quatre-vingtième année de sa vie. Un correspondant du Toulonnais donne 1 effectif et la répartition des troupes françaises dans le nord de l'Afrique. Nous avoDS dans les provinces d'Alger et de Tittery 24,780 hommes; dans la province d'Orin 18,940; dans la province deConstantine 16,973; en tout, 60,695 hommes. Le correspondant parisien du Globe as sure, malgré les assertions en sens contraire du Times, que la convention concernant la traite des nègres, sera ratifiée par M. Guizot. Il ré sulte d'ailleurs des explications données au par lement que cette convention a été proposée par l'Angleterre et par la France aux trois autres grandes puissances Nous apprenons d'une manière certaine que S. A. R. M. le prince de Joinville conserve le commandement de la frégate la Belle-Poule. On nous écrit d'Amiensle 8 février A la citadelle de Doullens, on a logé dans les greniers de l'une des deux vieilles casernes des vétérans, MM. Orsi, Lombard, Bataille, Ala- denize et Persigny, condamnés avec 1e prince Napoléon. MM. Laity, Ornano, les Colonels Par- quim et de Montauban sont dans le bâtiment central. C'est au rez-de-chaussée du premier quar tier qu'a été logé M. Dupoty, rédacteur en chef du Journal du Peuple. Lundi dernier, vers nèuf heures du matin, le feu a pris dans le cabinet de M. Orsi, Mais ses efforts et ceux de M. Dupoty, accouru avec deux gar diens, ont suffi pour éteindre le plafond de la chambre et le plancher du grenier supérieurqui déjà étaient en flammes. Quand les autres prison niers sont arrivéstout était fini. (Siècle.) On lit dans le Moniteur parisien D'après le National, la nouvelle serait ar rivée hier Paris, que les prisonniers du Mont- Saint-Michel avaient tenté de s'évader. Il résulte des informations que nous avons prises, que ce n'est point une tentative d'évasion qui a eu lieu, mais bien une révolte qui a éclaté. Nous attendrons qu'il nous soit arrivé des renseigne ments assez précis pour être publiés. On lit dans des correspondances d'Oporto que parmi les groupes qui proclamaient la charte, on a remarqué des Anglais, Les amis de la constitution de Lisbonne sont décidés combattre la résolution chartiste. Dans la réunion des députés, M. César de Vascon- celles a déclaré que si le gouvernement n'étouffait pas énergiquement la conspiration, il se croirait dégagé de tout devoir d'obéissance et d'accord avec ses amis politiques, il résisterait outrance pour sauver les institutions et la liberté du pays. Le général Concha est parti d'Oporto pour se rendre Marseille. On dit qu'il se rendra de là Pise et Florence, où il veut pour le moment fixer sa résidence. (El Corresponsal.) ALLEMAGNE. Francfort, 12 février. La princesse de Prusse a fait Liszt un présent aussi précieux que rare C'est une composition de la main de Fredéric-le-Grand et les œuvres musicales du prince Louis-Ferdinand de Prusse. (Gazette d'Augsbourg,) Il est certain qu'il sera conclu prochainement un traité de commerce entre la Belgique et l'asso ciation douanière allemande. Ce que dit ce sujet le Journal de Francjortdans son article de fond d'hier, reposesuivant toute apparence, sur des communications dignes de foi, car cette feuille n'a pas l'habitude de s'occuper de faits dont la source n'est que de simples bruits. van te Woensdag 9e11 Maert i842 's middags precieszal'er in het Domaniaelhuis het Munneken bewoond door den bregadier Vin cent-Louis Courlens in den Bosch van Hout- hulstbinnen de gemeente van Langemarck, voortsgevaeren tvorden tôt de openbaere ver- kooping van 101 bestekken aiderschoonste Boschlaillie op stam, ten meerderen deele zeer gedienstig voor bakkers en kuylsmoorders al staende in de partien genaemd Boulens- vyverKammermullebeke en Melaene in ge- melden bosch van Houthulstzynde de loten 3, 4, 5,6, 7, 9 en i3 van den hauw van't Gouvernement voor het gewoon i842. Nota De gegadigde zullen kaerten dezer venditie kunnen bekomen in het Domaniaelhuis het Munneken by gemelden Vincent-Louis Courtens, en by aile de boschwachters van het Bosch van Houthulstalsook ten kanloore van den Notaris D E L A VIE te Poelcappelle gemeente Langemarck resideérende. Deze verkooping zal gebeuren met gewoo- nelyken tyd van betaelingemits stellende goede en welbekende medekoopers en vyjtien ten honderden der hoojdkoopprysen comptant be- taelende. (1) Maekt het rucbtbaer. Zaterdag 26e11 February i842, ten 2 uren na middag, in de herberg de Drie Lelien, bewoond door Sr Karel Declerckin de Boter straet te Ypre, zal'er door den notaris RENTY, residerende binnen de zelve stad, voortsgevaeren worden, tôt de Définitive Toewyzing van i° Een hectare 37 aren 5o centiaren Bï GRAS en ZAEYLAND in Dickebusp Hallebast, gebruikt door Joseph Ifetilein. 2° Een hectare 3i aren 89 cent\ HUISGROND en HOVINGE, in Ôi^ebusch^ by de plaetse, gebruikt het gras door Philippe, en den linisgrond eaj^flvin|6sdoor d'heer Stojfel-Delmolte. A/y s 3° Eene party ZAEYLAïlDV groot 5i «jtin 3o centiaren in Dickebuschgebruikt doçr/de kinders sieur Arnoldus Onraet 4° Eene party ZAEYLAND, groot 52 aren, gelegen in Ylamertinghe, gebruikt door sieur Vandenbussche, niolenaer te Dickebusch.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1842 | | pagina 3