EXTRAIT HOFSTEDE BOOMEN, WINDMOLEN, mat srnMsm JUGEMENT DÉCLARATIF DE lî&ttlL&Iîta» Sur la déclaration de la cessation de ses paiements faite par le sieur NICOLAS KILSDONK, marchand boutiquier, demeurant Ypres, le Tribunal de pre mière instance Ypres, jugeant commer cialement, a, par jugement en date quinze Février mil huit cent quarante trois, déclaré le dit sieur NICOLAS KILS- DONK en état de faillite, dont l'ouver ture est provisoirement fixée au quatorze du dit mois de Février. Monsieur le juge DE CONINCK est nommé commissaire la faillite et le sieur LOUIS LAHEYNE écrivain Ypres, en est nommé AGENT. Ypres le dix sept Février mil huit cent quarante trois. Ii< LAHEYNE» Le soussigné commissaire la faillite du sieur NICOL AS KILSDONK, marchand boutiquier, demeurant Ypres, invite les créanciers la dite faillite comparaître le deux Mars mil huit cent en la chambre du Conseil du Tribunal d'Ypres, l'effet de présenter une liste triple du nombre des syndics provisoires qu'ils estimeront devoir être nommés pour continuer les opérations de la faillite dont il s'agit. Ypres, le dix sept Février mil huit cent quarante trois. (i) Y. DE CONINCK. VERKOOPING TE 1IOLLEBEKE. Ingesteld maer 5,450 francs. De voorwaerden berusten telkx inzage by de nolarissen LAMBIN en VAN EECKE te Yper, Van schoone en zware Eyken, Iepen, Esschen en andere DEFINITIYEN OYERSLAG GOEDE ZAE nace de la peine de mort s'ils reprenaient la plume. On voulait même interdire le Diqromais, sur l'observation qu'uge feuille d'annonces commer ciales était indispensable dans la ville, on le tolère jusqu'à nouvel ordre. On annonce que la garnison va recevoir du renfort. Les patrouilles et les piquets sont toujours en activité. On dit que, dans une maison d ou l'on aurait jeté des pierres sur les soldats, dix- huit personnes ont été arrêtées et conduites la citadelle. Les abonnés au Conslilutional de Bar celone ont reçu a la place du journalun avis ainsi conçu Aujourd'hui 3o janvier le journal a suspendu sa publication par ordre du capitaine- général. Nous avons de nouvelles de Barcelone du 6 février. Les journaux ont pu paraître après une suspension de sept jours. Le Constitucional dit qu'il n'a pas cédé a la peur, mais a la force que son imprimerie a été constamment gardée par des gendarmes pour empêcher la publication du journal. On écrit d'Agen Le 3 de ce mois, vers cinq heures du matin, alors que se dessinaient les premières lueurs du crépuscule, la cloche de l'église de Meylan an nonça d'abord l'Angelus, puis on entendit quelques sons extraordinaires qui finirent par s'apaiser in sensiblement. Cependant Jeanne Lelague, la femme du caril- lonneur, qui remplaçait quelquefois son mari dans ses charges du matin, ne rentra pas au logis; ses parents, inquiets, coururent au presbytère, et, sur leur prière, la servante du curé prit les clés de l'église pour en faire la visite; h peine y était-elle' entrée qu'on l'entendit pousser des cris épouvan tables. On accourut, et on trouva cette femme qui s'était évanouie en se heurtant contre un corps inanimé. C'était celui de la malheureuse Lelague, qui s'était pendue h la corde de la cloche qui annonçait aux fidèles l'heure de la prière; on s'empressa de détacher le cadavre, mais il était glacé, et tous secours furent inutiles. On ignore les causes de cet étrange suicide. M. N..., ancien courtier de commerce retiré des affaires, était sorti lundi dernier accompagné d'un superbe chien de Terre-Neuve qu'il a élevé. De retour, M. N..., qui vit seul, s'aperçut que la porte de son appartement avait été ouverte a l'aide d'effraction, et bientôt il reconnut qu'un voleur s'était introduit chez lui; mais il s'était borné h dépouiller le buffet de tous les comestibles qu'il contenait, et a s'emparer de quelques vêtements de peu de valeur. Une mauvaise casquette appar tenant au voleur, selon toutes les aparences, était restée dans la salle a manger. M. N..., la fit flairer h son chien, puis il dit Cherche, Surin, cherche, cherche bien tu dois le trouver cher che Le chien sortit, tourna deux ou trois fois sur lui -même, puis il prit sa course, se dirigeant vers la rue de l'Hôtel-de-Ville. Arrive devant une mai son de l'apparence de plus misérable, il s'arrête, flaire de nouveau, puis il s'élance dans une allée sombre et étroite. Son maître le suit, et tous deux arrivent a la porte mal jointe d'un grenier; là ils s'arrêtent, et ces parole arrivent aux oreille de M. N...: Mangez, enfants mangez bien aujour d'hui, car demain je n'aurai rien et je n'aurai pas le courage de recommencer. Puis, après quelques instants de silence, il se fit un bruit terrible. On entendit des cris, des hur lements, le bruit de meubles que l'on brisait. M. N... pénétra alors dans la mansarde où il aperçut trois enfants en bas âge cherchant se soustraire a la fureur de leur père qui, l'œil hagard et les traits décomposés, semblait vouloir exterminer ces pau vres petits d'ont l'aîné n'avait pas dix ans. M. N... courut droit au père et le désarma. 11 tenta ensuite de le calmer; mais ses efforts furent vains. Le mal heureux, poussé au vol par les cris de ses enfants mourant de faim, était devenu fou. Ce malheureux père a été conduit l'hospice de Charenton, en même temps que ses enfants étaient recueillis par une association religieuse. Comment se fait-il que, dans Paris, la première ville du monde, un malheureux ne puisse avoir, sur la seule constatation de sa misère, un morceau de pain a donner ses enfants succombant aux premiers besoint de la vie quarante trois, a deux heures de relevée, van eene gelegen Op Zaterdag 25'n February i843, om i ueren namiddagfix, in d'herberg S'-Laurens Hondslraet, binnen de stad Ypre, zal er open- baerlyk verkogt worden, een behuisd en be- plant HOFSTEDEKEN in eenen blokgelegen in de gemeente llollebekenoord van de kerke groot h. 5-o3-65 p.door Jacobus Vander- marliere(en pryze van 198 francs s'jaers boven de laslen, met redit van pacht lot ien October i85i. en lot 43 aren 12 centiaren door Ignatius Delannoy, mils 22 francs s'jaers, boven de laslen, met recht van pagt tôt i*n October i845. (1) Elk zegge t'voorts. [&©®[P!!M© ter gemeente YAN SINT-JAN BY YPEREN, digt ry pilckem. WoENSDAG Asdldag eersten Maerte i843, ten 11 uren voormiddag preciester scbaephofstede gebruikt door S* Joannes-Baptiste Smagghe te vooren Engel-Albert Donck, gelegen te Sint-Jan by Yperen, by t'gehuchte genaemd Pilckem, zal'er gehouden vsrorden koop- dag van de hier na beschreven Boomen waer onder veel schoone en zware EykenIepen Esschen en andere Boomen, dienstig voor schip, molen, kuip timraer en andere werken, als volgt i° In de Schaepweide. 24 koopen. 20 In den Boomgaerd. 36 koopen. 3° In den Motebosch, houdende aen gezegden boomgaerd. 17 koopen. En 4" In het vloogskenpalende aen den Botmeersch. 5 koopen. Nota De vergadering ter bofplaetse van ge zegden Joannes-Baptiste Smaggheen dezen koopdag zal gehouden worden met tyd van beta- linge behoudens door de koopersgereed voldoende den io°" penninck en voordere bespreken als 00k stellende salvabel, welbekende en in het arron dissement van Yperen gehuisveste medekoopers, ter aenveerding van den notaris COMYNver- blyvende te Langemarck met den koopdag en des zelfs ontfangslen belast. (1) Dat rnenhet ruchlbaer make. van eenen scii00nen K.OORN- EN OLIE en te Kl KllEIBIEKIEj in het dorp. Op Woensdag 22e" February i843, teD 3 ueren na raiddag, zal te Zonne- beke in het dorp ter herberg bewoond by sieur Pieter Hardy, geschieden door het ampt van den notaris CHR1STIAENden Défini- tiven Overslagvan eenen schoonen Koorn- en Olie WINDMOLEN, met Woonhuys en 3hectaren 17 aren 3i centiaren alderbeste Zaey- land, staende en gelegen op Zonnebeke in het dorp, palende aen de eygendommen van MM. Iweins-FonteyneIweins-Hynderick en Vctn- dezande te Yperen, den steenweg en de Be-

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1843 | | pagina 3