HOFSTEDEKEN
NOUVELLES DIVERSES"
ci par l'ambassadeur français comte de
Flahaut au nom de l'auguste fiancée, et
par le ministre belge baron O'Sullivan de
Grass au nom du prince.
Le départ de l'envoyé autrichien la
diète, qui était sur le point de se mettre
en route pour Francfort, est indéfiniment
ajourné. Une indisposition de M. le comte
de Ficquelmont semble être la cause de
ce retard.
Un ouvrage intitulé FAutriche et son
avenir, produit ici une sensation extraor
dinaire. Tout exemplaire saisi est confis
qué est anéanti.
LE 15 AOUT 1821.
HTMNE A LA REINE DES ANGES.
Een schoon CrF.CC" Z7?S, die-
nende voor BAKKERIE, met omtrent
M aren Zaeyland, UYT'ER IIAND TE
KOOPEN, staende ter plaetse van Dra-
nouter,zig te adresseeren by sieur Ignatius
Verhaeghe, te Dranouter. (1)
SCHOON PATRIMONIEÉL
GEMEENTE VAN LANGEMARCK,
Ti K®®P>g INI.
GEMEENTE LANGEMARCK.
Les malles de l'Inde sont arrive'es Londres; les
journaux de cette capitale, publient en date du
6 mars, plusieurs lettres rapportant diverses cir
constances d'un affreux tremblement de terre qui a
e'té senti a Antigua et dans les îles voisines, le
8 fe'vrier au matin. Nous traduisons une de ces
lettres
Thumes, S'-Thomas, 9 février.
C'est avec peine que je vous informe que, hier
dix heures a5 minutes, arrivés devant le port
anglais d'Antigua, h une distance d'un mille et
demi de la côte, nous éprouvâmes plusieurs af
freuses secousses de tremblement de terre. L'équi
page s'imagina d'abord que le navire touchait sur
un roc, et je partageais celte impression. L'effet
que cet événement a produisit est inexprimable.
Tous accoururent sur le pont; pas un seul homme
ne resta auprès de la machine a vapeur; mais
le machiniste en chef, affirmant que quelque
chose était dérangé aux chaudières, se précipita en
bas pour livrer passage h la vapeur. Ayant tourné
les yeux vers les îles, une scène imposante se pré
senta a notre vue.
Des nuages de poussière s'élevaient dans toutes
les directions, et nous pûmes clairement distinguer
1er rassemblements sur les hauteurs de Shirley,
tout le monde avait abandonné les habitations:
j'ai cru voir tomber une maison; mais n'ayant reçu
aucune communication j'ignore quelle somme
se monte le dommage; toutefois j'ai lieu de croire
que des nouvelles déplorables seront apportées
par le prochain bateau a vapeur. L'île de Montser
rat, quoiqu'a une distance de trente millesnous
parut enveloppée, tout entière dans la poussière.
De fortes secousses furent senties en même temps
dans cette île. J'ai la satisfaction d'ajouter que
notre vaisseau n'en a pas souffert; mais la panique
fut telle que je n'en ai jamais vu d'exemple.
Les secousses ont duré de deux trois minutes.
Le temps était superbe, et il y eut une brise modé
rée de l'est. Le baromètre 5o, i5; le thermomètre
81. Votre, etc. Hast.
Une nouvelle postérieure cette lettre constate
que les douanes et l'entrepôt sont détruits.
Un journal américain, Telegraplie- Catho
lique, annonce que le père De Smet et revenu de
sa mission au-delà du Mississpi, apportant l'heu
reuse nouvelle que 1,900 Indiens de la trieu des
Tête-Plates ont embrassé le catholicisme.
M. Van Laethem laisse Bruxelles une mère
âgée et trois jeunes enfants. Les adieux ont été
déchirants. La famille même de la compagne qui
a cru pouvoir saisir cette occasion de séparer sa
destinée de la sienne, est venue aussi lui serrer
la main au moment du départ.
M.Van Laethem précédera M.Vandermeeten au
Brésil et préparera les travaux d'une vaste exploi
tation agricole qu'ils entreprendront de coucert.
Plusieurs ouvriers maçons, charrons et forgerons
belges ont été engagés pour cette destination.
Vol considérable. Dans la journée
d'avant-hierun vol considérable a été commis
en cette ville par un adroit filou, et au préjudice
du sieur De Cbijoutier.
Un individu, qu'on présume être étranger a la
ville, s'était présenté déjà deux réprises chez ledit
sieur De Cpour faire choix de plusieurs ob
jets de bijouterietels que boucles d'oreilles en
diamants, broches, épingles d'or et montres, mais
n'avait pu tomber d'accord sur le prix. Il se pré
senta une troisième fois, pendant l'absence de
M. De Cacheta différents articles et con
vint du prix, le tout montant une somme de près
de trois mille francs. Pour n'éveiller aucun soup
çon, il annonça, a la dame avec laqelle il avait eu
affaire, qu'il reviendrait dans quelques jours pren
dre ce qu'il avait acheté contre la remise de l'ar
gent, mais en attendant il paya un compte. Au
même moment, il tira de sa poche un foulard dans
lequel il proposa d'envelopper le tout, de nouer
ensuite le paquet avec un ruban et de cacheter
ce ruban avec son chiffre. Ce qui fut fait, mais
avant de déposer les objets de bijouterie dans le
foulard, notre escroc voulut s'assurer lui-même
que chaque boîte contenait bien la marchandise
choisie. C'est en faisant cette inspection qu'il a
enlevé, avec une adresse merveillante, tout ce que
contenaient les boîtes. Le foulard ayant été ca
cheté, l'étranger quitta le magasin, en promettant
de revenir le plutôt possible. Quelques minutes
après son départ, on conçut des soupçons, le
mouchoir fut porté la police et ouvert ainsi que
les boîtes qui s'y trouvaient. Mais grande fut la
surprise de voir qu'elles étaient vides et que le
prétendu acheteur s'était emparé de tous les objets
précieux qu'on y avait soigneusement placés.
Le voleur paraît être un homme de 5o 60 ans,
et on pense qu'il a quitté la ville imméditement
après la perpétration du crime. Nouvelliste
On lit dans un journal de Lyon
Dimanche, quatre heures du matin, une jeune
fille de 22 ans, blanchisseuse dans le quartier
d'Ainay, dont on venait de célébrer les noces aux
Étroits, revenait accompagnée de toute sa famille.
Elle fut obligée de s'arrêter un instant sous la
voûte d'Ainay. On l'attendait; elle ne reparaissait
pas. On s'inquiète, on la cherche, mais inutile
ment; elle avait disparu sans qu'aucun cri, aucun
bruit eût fait soupçonner son enlèvement. Les re
cherches furent continuées toute la journée sans
succès.
Enfin, onze heures du soir, les parents appri
rent qu'on l'avait trouvée dans le bois de Tête-
d'Or, attachée a un arbre, les bras liés derrière le
dos; elle avait encore sur la tète le bouquet nuptial;
sa bouche avait été remplie de sable. Ceux qui
l'avaient découverte l'avaient déposée chez un
blanchisseur. C'est là que les parents furent la
chercher. Tous les secours possibles lui avaient été
donnés, mais elle n'a pu proférer une parole; elle
a succombé le mardi, quatre heures du soir.
Cet événement ne peut être le résultat d'une
vengeance particulière, car elle n'avait été dé
pouillée d'aucun de ses bijoux, et elle ne portait
les traces d'aucune violence capable de faire soup
çonner un autre crime. Seulement sa robe et sou
châle étaient déchirés.
On écrit d'Aubigny (Pas-de-Calais), 28
février
Un terrible événement vient de jeter l'effroi
dans la commune deThieuloie. M. Soyez, proprié
taire fort aisé, vient de périr l'âge de 81 ans,
sous les coups d'un assassin. Le meurtrier, qui
parait bien connaître les lieux, pénétra dans la
maison pendant la nuit de vendredi samedi, par
une fenêtre dont il brisa le treillis. Il eût pour
premier soin de barricader, au moyen d'un gour
din, la porte d'une chambre où couchait la ser
vante; puis, prenant dans le foyer un tison embrasé
qui lui servait de flambeau, il se dirigea vers la
chambre du vieillard. Il fut droit cet homme, et
lui demanda la bourse ou la vie! et, sans attendre
de réponse, il lui plongea un couteau dans le sein.
Aux cris de la victime, la servante accourt. Elle
aperçoit l'assassin encore penché sur le corps du
vieillard mourant, et le frappant de son arme.
N'écoutant que son courage, cette fille se pré
cipite sur l'assassin, le saisit par derrière, et lui
serrant sa cravate, le terrasse et le traîne dans une
pièce voisine. Mais bientôt, épuisée par ses efforts,
elle lâche l'assassin et court s'enfermer dans la
chambre de son vieux maître; elle s'appuie de
toutes ses forces sur la porte et appelle grands
cris un domestique couché dans une écurie de la
basse-cour. Celui-ci éveillé au bruit arriva bien
tôt, mais l'assassin avait pris la fuite, le vieillard
était mort; et quant la servante qui a déployé
un si grand courage, on espère que les coups de
couteau qu'elle a reçus dans la lutte n'auront pas
de suites fâcheuses.
CHOEUR DES JEUNES GARÇONS.
Vous êtes plus pure, Marie.
Que le cristal de l'eau,
Et le charmant ruisseau,
Qui coupe la prairie
D'un sillon argenté,
N'égale pas votre beauté.
O Marie!
CHOEUR DES JEUNES FILLES.
Vous êtes plus pure, Marie,
Que le lys du printemps,
Et cette fleur des champs
Si fraîche si jolie,
Emblème de pudeur,
N'égale pas votre candeur.
O Marie!
CHOEUR DES JEUNES GARÇONS.
Vous êtes plus pure, Marie,
Qu'un rayon matinal,
Et le char triomphal
De l'aurore fleurie,
Le charme de ses feux,
N'a pas la douceur de vos yeux.
O Marie!
CHOEUR DES JEUNES FILLES.
Vous êtes plus pure, Marie,
Que les anges des cieux,
Tout esprit glorieux
De la cité chérie,
Courbe ses ailes d'or,
Et devant vous s'éclipse encor.
O Marie
TOUS ENSEMBLES.
Comme au souffle des vents se détache un fruit mur,
Ainsi l'on vit tomber cette vierge si belle.
Ou plutôt elle alla vers la gloire immortelle.
Comme le doux parfum de l'encens le plus pur!
Le matelot dans la tempête,
Invoque l'étoile des mers,
L'étoile brille sur sa tête;
Et tu calme les flots amers.
O Marie!
traduit de maxioxi.
gestaen en gelegen binnen de
IN HET OPENBAER
Door bet ministerie van M'" DE LA VIE,
notaris resideérende te Poelcappelle, gemeente
Langemarck, zullen'er in het openbaer verkogt
wordende volgende schoone onroerende goe-
deren, te weten
Eerslen hoop. Eene Hofplaets bekleed
met Woonhuis, Scheurken, Koeye en Verken-
stallenen de hoeveelheyd van 5g aren 85
centiaren Lands, volgens titelen volgens ca
dastrale maet sectie F, n°® 5i4, 515 en 5i6
maer 5y aren 08 centiaren, onder grond van
gebauvven, hovenierhof en boomgaerd, met eenen
vvaegen of uitweg tôt aen de straete, abouterende
van oosten met den waegenweg aen de pro-
prieteyt van M. den advocaet Carpentier en
met de hofplaets^ae^4en 2e" koop de dooren-
haeghe alhier métfègàeniîèj van zuiden aen hetjand
vatule kyndçfrèn Fçrtry, vâïi vvesten ten deele aen
./^pfbfinètçYt van dezelve kyhderen Fortry en aen
kmjj»,;-çn van noorden 't land van
^Jgajpnes-ErapHs' Thoma-nï)g west met den
\aji dito Thoina en nog
LtAvà.. OJ ji-