itoo.» i:iv. BOOMEN TE RENINGHELST. VLAWSERTSNGHE influences étrangères. Il désapprouve l'acte posé Pégard d'un journal d'Anvers, le niauque de prudence et d'habileté du gouvernement daus l'affaire de Home. Le ministre des tra vaux publics réj-oud M. Malou et aussi M. De Decker qu'il ne peut admettre que nos luttes reposent sur un malentendu et soutient que le pouvoir précédent était asservi au joug de l'épi-^copat, notamment dans l'exécution des lois sur l'en seignement. Il donue lecture de correspondances des évéques. AI. Lejeune adhéré aux principessigu<Jésdaus le programme et dans le discours du trôue, mais comme le projet d'adresse va plus loin, il s'abstiendra. M. Denterghem se rallie aux paroles de M De Decker et volera l'adiesse pour douner une preuve de sou désir de coopérer la conciliation et au bien-êlie de la patrie. M. Orts remercie le ministre des travaux pu blics de la communication qu'il vient de faire. Il s'éleve ensuite contre la peiue des coups de corde appliquée aux sol dais de la mariue et eu demande la suppression Le ministre de la justice déclaiequc le gouvernement fera droit au obser vations présentées par MM. Castiaux et Oits eu ce qui con cerne certaines peines batbares. Al. de Alrode s'étend sur la valeur et la vraie portée du mot libéral. Il tie peut approuver ni l'adiesse qui consacre un système iliihéial celui des desti tutions préventives. Al. De Theux exprime .«-ou étouuemeut sur la communication faite par le iniuistre, de documents con fidentiels étrangers d'ail leurs son département. Il justifie les ad ministrations précédentes du reproche de dép« udunceau clergé. Le Alinislre de Cintérieur répoud M. Malou et trouve qu'on exagère la triste situation des Flaudrcs. M. Malou est eucore entendu. Séance du 1S .\ovenibre. Le ministre de la justice déclare que le gouvernement est étranger l'affaire de l'interrogatoire d'un éditeur de journal Anvers. df. Alntuu est couvaiucu que le procureur géné ral n'avait pas le droit de faire Ce qu'il a fait. M. Deschamps veut appuyer le gouvernement autant que ses actes le per mettront. Il voudrait et il espere une transformation des parlis- M. Deschamps désire que l'intervention du clergé dans les élections ait un terme. Quant la lettre des évéques, lue par M. Frère, le gouvernement u'a pas adhéré l'opinion qui y était exprimée; ce qui prouve l'indépendance réelle du gou. verneiuent. L'honorable membre donnera, dans le cours des débats, des explications sur l'incident de Rome. Al. De Ilaerne insiste pour que le gouvernement fasse cesser nu pins tôt l'iucideut avec la cour de Roine. Il attend avec confiance des mesures en faveur des Flandres. Le ministre des affaires étrangères maiutieul que le gouvernement a agi avec la pru dence et les égards couvenables daus l'affaire avec le S1 Siège. M. Van /Juffel examine les résultats du 8 juin et s'éleve coutre la loi du fractionueuiaut, la loi des bourgmestres, des dispositions de la loi sur l'instruction primaire. l a séance est levée. Demain séance publique. Ordre du jour suite de la discussiou de l'adresse. bourse de bruxelles du 19 novembre 1847. Etnp1 5 °/o i8jo. 99. P. id. 4 '/2 1841/2. A. id. 4 °/o 836. 89 P. NOUVELLES DE SUISSE# Le Journal des Débats donne en post-scriptum les nouvelles suivantes, qui lui sont arrive'es par voie extraordinaire Un combat sanglant a eu lieu le i3 dans l'après-midi, en avant de Fribourg. La ville a demande' une suspension d'armes de douze heures pour délibe'rer. Le lendemain i4, Fribourg s'est rendue; et a dix heures et demie du matin, la ville a été occupée par les troupes radicales. Voici maintenant un succès du Sonderbund Le général de Salis-Sogiio a pénétré dans l'Argovie, et s'est emparé, ce qu'on assure, de l'importante position de Zofingen. On lit dans la correspondance de la Presse Au moment de fermer ma lettre, je reçois la presque confirmation d'une nouvelle qui m'avait été donnée dans la journée; mais dont je ne voulais pasd'abord vous parler jusqu'à plus ample informé. On dit que des dépêches parvenues ce matin au vorort ont annoncé qu'un corps de sept mille Lucernois a fait une irruption sur Argovie,ya rallié un grand nombre de catholiquesêt se prépare envahir le canton de Saint-Gall. O11 annonce de Berne qu'un engagement a eu lieu avec les petits cantons, que plusieurs estafettes venant des frontières de Lucerne sont parvenues dans cette ville, et qu'on envoie de nouvelles troupes. On a entendu Zurich, pendant la journée du 12, de dix heures midi-, une forte canonnade dn coté de Zug. Des signaux ont été donnés du haut de l'Albis, et on a fait partir de Zurich un bataillon de landwehr et un bataillon saint-gallois.» Dans la soirée du x 5 il est arrivé Berne un assez grand nombre de chariots remplis de blessés, victimes des combats livrés la veille soit Morat, soit au passage de la Singines. Ces combats out été plus meurtriers pour les troupes radicales que ne I out dit les journaux du parti. Les journaux sont toujours en désaccord sur le résultat réel de l'expédition des Lucernois en Argovie. Cependant une lettre de Neuchàiel donne comme incontestable la prise de Zofingen. Les courriers se succèdent Berne pour y demander des secours. Une partie de la division Burckard a déjà passé le i5 au soir Morat, venant de Fri bourg; elle va protéger Arau que menacent les Lucernois, auxquelles les troupes fédérales n'ont jusqu'à ce moment opposé qu'une assez faible résistance. Berne, x\ novembre, 5 heures du soir. La nouvelle arrive l'instant même du quar tier général de Belfaux que la ville de Fribourg a ouvert ses portes aux troupes fédérales, en vertu d'une capitulation signée par Odel, syndic de la ville, et par Mussli, et qui assure une soumission complète; les troupes fribourgeoises et le land- sturm sont désarmés. Voici le texte de la capitulation, tel que le donne la Gazette de Baie i° Le gouvernement de Fribourg renonce formellement au Sonderbund a" les troupes fé dérales occuperont la ville de Fribourg dans la journée; 3° la ville logera et nourrira les troupes suivant les règlements fédéraux; 4° le gouverne ment de Fribourg licenciera ses troupes. Les armes du landsturm seront déposés dans l'arsenal, et un état sera communiqué l'autorité fédérale; 5° les troupes fédérales occuperont les postes, garantiront la sûreté des personnes et des propriétés, et prête ront main forte l'autorité pour le maintien de l'ordre. S'il se présentait des difficultés non mili taires, la Diète les déciderait. Belfaux, le 14 novembre 1847. Le général en chef des troupes fédérales, Signé G.-H. Dufour. uns. SCHOON EîS? KOOPDAG VAN 142 KOOPEN El KEN, IEPEN, ABEELEN, ESSCHEN, LIN DEN, P RU 1)1- PEERE- APPEL- EERZE EN ANDERE tïl DYNSDAG 5o" NOVEMBER i847, ten tien ueren s'morgens jnist zai'er Venditie gebouden worden van gemelde Boomep staende op de na- volgende goederen. TEN EERSTEN, 75 KOOPEN BOOMEN op eenen Grasbilk gebrnykt door de weduwe van sieur Augustinus Verdonck alwaer vidua Louis Rassalle woontgelegen by het gehucht den OUDERDOM, langst de Kwakkel Straete, op dry minuten der calcbiede leedende van Reninghelst uaer Ypre. Nota T is op dezen Grasbilk dat de Venditie zal beginnen met de gestelde uer. TEN TWEEDEN, 4o KOOPEN BOOMEN op bet behuyst Gras der Hofsiede weduwe sieur Verdonckgelegen langst de Kriek straete en ne- vens de Meessen of zoo genoemde Poperinghe straete, tusschen gemeld gehucht deu OUDERDOM en de berberg het Wielken. EN TEN DERDEN, 27 KOOPEN BOOMEN op het behuyst Gras der Hofsiede van Mynheer Ernest De Gheus-Mazeman, grondeigenaer en regter van instruclie by den reglbank van èersten aenleg tôt Yper, gebruykt door sieur François Soldergelegen langst de Cassel straete, aen het gescheet van Reninghelst met Poperinghe, by gezegde berberg het Wielken. Nota Veele van te Verkoopen Boomen, beb- ben de dikte van 2 172 raeters (acht negen voeten. Langen tyd van betalinge voor de koopsomme principael, mits stellende voldoende borg, gedo- micilieert onder het geregterlyk arrondissement Yper, den tienden penning en andere bespreken contant te betaelen in handeo van den Notaris LUCIEN, te Reninghelst, belast met deeze Ven ditie en ontvangst. De Vergaedering op den Grasbilk n° een, alwaer de weduwe Rassalle woont, en deze Venditie zal beginnen, onder de voorwaerden aldaer af te lezeu. (1) Elk zegg' het voorls. GEMEENTEN NVELVERGIIEN EN DR ANOURE. K©@PQ KO© va!* «o koopex IEPEN, ABEELEN, WILGEN, CANADAN EN POPELIEREN Den Dynsdag i4'n Decf.mber 1847, te be ginnen ten tien ueren 's morgens, zullen open- baerlyk Ferkogt worden, 60 koopen BOOMEN, te weten 10 Op het Hofstede gras van sieur Marcus Blanckaert, te Wulverghem, 29 koopen Iepen en een Eyke. 2° Op eenepartie Meersch, nevens dlHofstede nu gebruykt door sieur Cleinenlius Louf, te Dranoulre, 17 koopen Kanadan en sclioone Abeeten En 3° Op eenen Meersch, gelegen te Dra noulre by ddierberg de Marie Brug, gebruykt door Fredericns Messelier, i4 koopen Wilgen, Popelieren en Iepen. Deze Boomen zyn dienslig voor timmer- liedenwagenmakers klompmakers en voor brandhout. De vergadering ter Hofstede van sieur Blanc kaert. F.r zal langen tyd van betaeling zyn mits stellende goede borge. Den Notaris V AN EECKE, te Nieuwkerke, is met dees verkooping en ontvangst belast. (1) Elk zegge het voorts. BlITENGEWOONE VENDITIE tot vcin 116 koopen allerschoonste EEKEN,IEPEN, ESSGHEN, ABEELEN, WILGEN EN POPELIEREN Dicnstig door hunne sclioone kwalileijten tôt aile slag van werken. Op MAENDAG wezende den 27- DECEMBER 1847 ten 11 uren voor middagprecies te be ginnen op eene partie bosch en op de hofstede gebruykt door sieur Joseph Vandakle beyde by malkanderen gelegen tôt Vlamertinglie langts de Groene straete Juopende na Elver- dinghezal men openbaerlyk verkoopen 4g koopen BOOMEN in eene partie bosch ge- naemd de. Vloge houclende van noorden aen de hofstede garsingen gebruykt door sieur Phi- lippus Roiumens en 67 koopen op de hojstede van sieur Vandaele. j Naer het verkoopen van de Boomen fin dé O Vloge zal men nog verkoopen eenige &vatre J'. Iepen en Esschen staende in eene partis gars I. by de zelve Vloge gelegen. 5 Deze Venditie zal gebeuren met tyd betaelinge mils stellende goede borge of mecle- koopers, de bespreken comptant te betcujç'^^A - Elk *egt het \oé fi ïf* f Hsi ."T?1 Jaj m -•S

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1847 | | pagina 3