HUIS MET BÀKKERY ftïRl&ra BOIS-TAILLIS PARURE DE CHEMINÉE BOOMEN, JI'liJMÏM M8M1M GEMEENTE DRANOUTRE. AU GRAND DEPOT Près du cabaret ayant pour enseigne les Quatre Rois. CHÊNESORMES, FRÊNES, SAULES, ROIS-BLANCS ET PEUPLIERS. Près le cabaret la Basse Ville. VENTE PUBLIQUE A LA SALLE DU TOMBOLA BEUKEN, ABEELEN JEN ANDERE kilUA) DIMINUTION DU PRIX-FIXE LE PLUS RAISONNABLE, îiu 15 ItûDcmbrf 1847 ou 27 2tonl 1848, chez la Veuve MORTIER et Compie, ESTAMINET-RESTAURANT, ZsJL 0£.EPS, MARCHÉ AU POISSON, N° 2, A YPRES. Par 100fr* 4-00. La grande Tonne 200-00. La demie Tonne100-00. Le quart de Tonne. 48 00. Le huitième de Tonne. 26-00. Le seizième de Tonne 12-00. Trois jours par semaine fraîches, LUNDI, MERCREDI et VENDREDI. fr' Par 100 La grande Tonne La demie Tonne Le quart de Tonne. Le huitième de Tonne. Le seizième de Tonne Deux jours, par semaine fraîches et VENDREDI. 4-25. 212-50. 106-25. 51-00. 28-00. 14-00. MARDI De la grande Tonne jusqu'au 16°" la Veuve payera les taxes municipales et celles de transit. Elle mettra Cempressement, le soin et la diligence les plus désirables pour satisfaire immé diatement aux commandes respectives, et en outre, par la bonne qualité, par la conservation et par le Prix le plus raisonnable puisse-t-elle continuer obtenir la préférence. (6) La Ve MORTIER et Coup". T 3 de ces comités, on a distingué particulièrement MM. Slabile et Scagiia, le premier négociant, le secood avocat. Ces troupes furent renforcées par un corps de 6,ooa hommes porté sur une escadre de neuf frégates vapeur que le Roi fit partir en toute hâte de Naples, et qui arrivèrent devant Palerme dans la journée du i5, quatre heures de l'après-midi. Après un séjour de vingt-quatre heures, le comte d'Aquita, frère du Roi, est réparti pour Naples avec deux de ces bâtiments deux autres bâtiments ont été détachés de l'escadre dan< la journée du 17, et il est resté cinq frégates en vue de la ville. Dès la nuit du >3 au «4 janvier, le fort de Castellamare lançait des bombes et des boulets sur la ville, quoiqu'il n'y eût encore eu que des engagements partiels et peu meurtriers entre les troupes et les insurgés. Aucun avis, aucun signal n'avait annoncé la partie inoffensive de la population le danger qui la menaçait, aucun délai n'avait été accordé aux divers consuls pour avertir et pour mettre en suleré leurs nationaux. Dès le lendemain, le commandant du bâtiment vapeur anglais le Bull-dog avait fait auprès du lieutenant du Roi des démarches infructueuses pour obtenir la suspension du bom bardement. Le i5, les bombes pleuvaient encore lorsque le consul de France, M. Bresaon, a cru devoir faire un appel ses collègues, dans l'intérêt des Français et de l'humanité. Se réunissant aux consuls de Sardaigne,de Suisse, des États-Unis, de Prusse et de Russie, il s'est rendu au palais auprès du duc de Majo, pour lui demander de faire cesser le bombardement. Après une longue discussion, le duc de Majo donna par écrit la promesse d'une suspension d'armes de vingt-quatre heures. i> Les jours suivants, la situation n'a pas essentiellement changé mais d'heure en heure les forces et la^confiance des insurgés devaient s'accroître, tandis que les troupes royales, entassées dans des endroits resserrés, voyaient diminuer leurs vivres et leurs ressources. C'est la porte Macqueda, qui n'est une porte que de nom, car il n'y a ni voûte ni barrière, que l'on s'est battu tous les jours avec acharnemeni. La menace d'un bombardement général, beaucoup plus terrible que ce qui avait eu lieu jusqu'alors, était toujours suspendu sur la tête de la population Le 19, sur l'invitation du conseil de France, tous les agents consulaires se sont réunis, et ont chargé M. Bressoo de rédiger une protestation collective contre cette menace incessente. Cette pièce n'a pas tardé être connue du peuple elle a produit un excellent effet elle a dû puissamment contribuer épargner de nouveaux malheurs la ville de Palerme. Un mouvement tenté dès le 6 Messine avait été com primé le même jçur; le i5,on ignorait encore dans cette ville les événements de Palerme. L'attitude du peuple était inquié tante mais l'autorité militaire prenait des dispositions for midables. 9 TE IIEEKEN, Zig te adresseren by M. VANDENDRIESSCHE, Tourhoutstraet te Ypre. (2) COMMUNE DE WYTSCHAETE, VENTE PUBLIQUE de iT>TÂII 1\ 1ÎW consistant en Le Mardi 22 Février i848 k 2 heures de relevée, il sera procédé a une Vente publique de 5o Marchés de BEAUX ARBRES, consistant prin cipalement en: Chênes, Ormes, Frênes, Bois- Blancs, Saules et Peupliers dit Canadas; par leur qualité, grosseur et longueur propres a toutes sortes d'ouvrages, croissant sur la ferme occupée par la veuve de Pierre-Antoine Accou a Wyt- schaete, sur les confins de la commune, près du cabarèt ayant pour enseigne les Quatre Rois, le long de la route pavée d'Ypres a Warnêton et dont le transport peut se faire avec beaucoup de facilité. La Réunion k la Ferme de la veuve Accou et au cabaret les Grands Quatre Rois. Cette Vente se fera avec long terme de crédit, moyennant d'établir des co-acheteurs solidaires, a l'apaisement du Notaire NEVEJAN a Messines. A DOMICILE, M h L& M ON. I5n seul homme peut k son aise moudre un hectolitre en trois heures. Les personnes qui dé sirent examiner ce nouveau MOULIN peuvent s'adresser chez l'inventeur V.-L. ANGILLES, méuuisier, rue des Récollets, N° 5. k Ypres. (1) COMMUNE DE ZYNDVOORDEj de ipiast$!©ït Le Lundi 28 Février i848, h 2 heures de relevée, au cabaret nommé le Tilleul Vert, oc cupé par Pierre-André Lignel Wylschaete, près d'Hollebeke. on vendra publiquement, le BOIS-TAILLIS, dgé de 8 ans, croissant sur environ 7 hectares 92 ares 90 centiaressitué Zandvoorde, près le cabaret la Basse Ville, appelé den Grooten Oramelhoop, ou Hoogen Bosch, tenant de levant au chemin de Zand voorde a Zillebekede midi le bois de M. De Coninck Ypres et le labour occupé par Catleau, de couchant la propriété de M. De Coninck, au-delà le chemin d'Houthemà Zon- nebeke, et de nord ledit chemin de Zandvoorde Zillebeke, divisé en 1 9 marchés. Les Plançons marqués dans l'écorce croissant dans ledit bois, seront vendus séparément. Le garde Jean-Baptiste Pattyn, demeurant près ledit bois, indiquera les marchés aux ama teurs. Cette Vente se fera avec long crédit, moyen nant caution solvable. Le prêt stipulé pour chaque marché et le qo"1* denier devront être payés comptant, et les prix principaux de la Vente sont payables chez M ad' Veuve VICTOOR Messines, chargée de la recette. (1) Qu'on se le dise. VENTE PAR ACTIONS de la QUI A ÉTÉ EXPOSÉE JL ?C?3?.:iTGE3. Le tirage aura lieu le 13 février i848, k deux heures de relevée k la dite ville, k l'estaminet Dunkerke. 1 van schoone en zware BOSCH—TALIE EN PLANTSOENEN. WOENSDAG 20°° FEBRUARY i848, om 10 vren 's morgens zal men ter plaels publiek Verkoopen de naerschreven HOUTTEN ge- legen op Dranoutrete welen 10Op de huisweide der hofstede gebruikt door sieur Bouckaert, by d'herberg de Halve Maene, 19 koopen Boomen. 20 Op een bosch genaemd den Zandput, 32 schoone en zwaere Beuken Boomen. 3° Op een stuk zaeiland, by d'Halve Mnen, 7 koopen Beuken. 4"De Talie oud 8 jarenmet 4i geleelencle Plantsoenen op ontrent een hectare 3o aren, ge- legen te Dranoutreagter d'Halve Maenver- deeld in 3 koopen. En 5° De Talie oud 6 jaren staende op ontrent 88 aren 20 centiarengelegen le Dra noutre, palende zuid 'l land sieur De Berdl, en noord de slraete. De Talie zalnaer heteindigen de verkooping der Boomen, ontrent de 3 uren na-middag, verkogl worden in de herberg de Halve Maene bewoond door Vrambout te Dranoutre. Deze Verkooping zal geschieden met langen lyd van betaling mils door de koopers te stellen goede en wel bekende medekoopersen betael- baer in handen van Madm" weduwe VICTOOR te Meessen met den ontvangst belasl. Klk zeKKC liet voort*. ANGLAISES. DE CANCALE. BENEFICE POTB LES COMMANDES.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1848 | | pagina 3