PUBLIERA OVERSLAG GOED E 1\ EN, PATRIMOHIELE ALLEMAGNE. PRUSSE. SUISSE AUTRICHE. Vienne, 16 novembre. ITALIE. ESPAGNE. Madrid, 15 novembre. EGYPTE. CIRCASSIE CHINE. van Gelegen in de Gemeenlen I100GHLEDE, STADEN en OOSTNIEUW- KERKE. Ingesteld met 43,910 franken. indisposée et qui avait été obligée de garder le lit pendant plusieurs jours après son arrivée a Rich- mond, est aujourd'hui presque convalescente. Le comte de Neuilly jouit d'une santé excellente. Il ne s'est que fort peu ressenti de l'indisposition qui atteint tous les autres membres de l'ex-famille royale. Les tuyaux de plomb et de zinc qui conduisent l'eau a Claremont vont être enlevés et remplacés par d'autres. On change aussi les parois et le fond des vastes réservoirs qui recevaient l'eau pour l'u sage de château, de manière que la possibilité de tout danger soit écartée. Les appartements de l'hôtel de Star and Carter, Richmond, n'ont été retenus que pour un mois. A l'expiration de celte période, l'ex-fa mille royale retournera a Claremont. On avait pensé au premier moment que l'eau de celte rési dence avait été méchamment empoissonnée, mais il est résulté de l'enquête qui a eu lieu que cette supposition n'avait pas le moindre fondement. La famille du roi Louis-Philippe vient d'é prouver encore une perte douloureuse: M*** de Montjoie, première dame d'honneur de la reine, vient de mourirb Richmond. Fidèle aux sentiments qu'elle avait voués la famille royale, M™ de Montjoie l'a suivie dans l'exil et a cherché b en adoucir les rigueurs par un dévoûment de tous les instants et une amitié h toute épreuve. Un membre du clergé anglican le révérend Robert Sconce, de l'Université d'Oxford, vient d'embrasser la foi catholique. M. Frôbel qui, a été condamné mort, b Vienne, avec Robert Bluin, et a été ensuite gracié, de retour au sein de l'Assemblée dont il est membre, a pré- senté un rapport sur le jugement dont il a été l'objet ainsi que l'infortuné député de Leipsick, et sur l'exécution de ce dernier. Ce rapport a été renvoyé la commission chargée des affaires d'Au triche. L'agitation paraît se répandre dans les provinces. On ne sait pas encore ce qu'il va advenir du refus d'impôt. Le Moniteur prussien continue b décla rer que le vote de l'Assemblée est nul; mais, dans les grandes villes surtout, on paraît très-disposé a le prendre au sérieux. Les adresses des provinces et même des Assem blées des autres États d'Allemagne continuent b affluer b l'Assemblée de Berlin. Le gouvernement en reçoit, deson côté, quelques nnesqui l'engagent b persévérer dans sou attitude énergique. Il ne parait pas, au reste, disposé b céder. L'Assemblée ne s'est plus réunie. On prétend que chacune de ses franctions délibère séparément, et que quand elles se seront mises d'accord, le président convoquera de nouveau l'Assemblée on ne dit pas où pour voter une proclamation au peuple prussien. On parle beaucoup de l'intention qu'aurait la Couronne de dissoudre l'Assemblée nationale. La Constitution octroyée, qui est, parait-il, une traduction de la Constitution belge, est déjà sous presse l'imprimerie de la cour. Il y a deux ans que M. de Bezelager, b l'occasion de son mariage avec une riche et noble héritière, et de moitié avec celle-ci, a assigné sur sa propre fortune et sur celle de sa jeune épouse, une somme considérable qui devait en être distraite pour la fondation d'un hôpital b Bonn. Le res pectable comte de Furslemberg s'adjoignit b ce sacrifice en fournissant la somme complémentaire nécessaire encore pour donner a cette institution plus d'étendue et un caractère plus grandiose. Ce bel édifice étant acgevé, ses illustres fondateurs appelèrent d'aix-la-Chapelle des dames Augustines auxquelles l'administration de cet institut, qui reçoit des malades, sans distinction de confession, est aujourd'hui confiée,A peine ces vénérables servantes des pauvres y ont établis, que tontes les voix se réunirent pour payer un tribut d'admiration a ces saintes religieuses, dont la charitable activité surpasse tout ce que les habitants de cette ville avaient cm pouvoir en attendre. Aix-la-Ch*pt*lIe, le 20 novembre. La publication du président supérieur de la pro vince, portant qu'on doit continuera percevoir les impôts, malgré la résolution de l'Assemblée na tionale, a produit une srande agitation. Si l'on devait la faire exécuter par la force, de déplorables conflits seraient b craindre. La garde bourgeoise a déclaré le même jour que, d'accord avec la résolution du conseil communal, elle ne coopérerait pasa la perception des impôts. Le conseil national suisse (Chambre des Députés) a décidé, dans sa séance du i4, b la majorité de 44 voix contre 43, que les députés de Fribourg ne seraient pas admis. Fribourg devra donc procéder b de nouvelles élections, qui pourraient bien amener des troubles sérieux, attendu la prépondérance numérique que le parti catholique a conservé dans plusieurs district. Ce qui est plus grave, ce sont les nouvelles de Bâle qui annoncent que le blocus dont le pouvoir central allemand a menacé l'autorité fédérale, a déjà reçu un commencement d'exécution. Il eu résulte que la Suisse a maintenant des complications sérieuses au nord et au midi. On élève des fortifications autour de Vienne. Deux des assassins du comte Latour ont été découverts et arrêtés. On pense que les troupes impériales se bor neront b occuper la frontière de la Hongrie, en attendant le printemps. Les trois assassins de Latour et Messenhauser seront pendus demain sur les glacis, b moins que ce dernier n'obtienue son pardon au moment de l'exécution. Trois personnes du civil ont encore été fusillées hier soir. Le programme du comte de Stadion est de telle nature qu'il n'est guère probable qu'un arran gement puisse avoir lieu avec la Chambre telle qu'elle est aujourd'hui. Le Ban Jell^phich aura le commandement en chef en Hongrie. Un décret du feld-mare'chal Radetzky, qui im pose une contribution extraordinaire b toutes les personnes qui ont coopéré moralement on maté riellement b la révolution de Milan, en mars, a produit une très vive sensation dans tonte la haute Italie. Ce décret laisse le chiffre de la contribution pour chaque individu b la discrétion de Radetzky, M. Borrome'o a été imposé b un million. A la ré ception de cette nouvelle b Turin, le Roi Charles- Albert a rassemblé, dit-on, son conseil en séance extraordinaire et convoqué la consulte lombarde. L'ambassadeur d'Angleterre et le représentant de la République française ont immédiatement en voyé une copie du décret h leur gouvernement respectif. Toute la diplomatie est en mouvement et le ministère sarde va, dit-on, déclarer nulle par avance toute vente de meubles ou immeubles faite eu vertu de ce décret. La pacification de l'Espagne s'achève décidé ment. Des négociations sont ouvertes avec Cabrera, qui consent b cesser la guerre, sauf quelques con cessions pécuniaires et autres de la part du gou vernement en faveur de ses compagnons d'armes. Cabrera ne demande du reste rien pour lui-même et refuse d'accepter aucun grade dans l'armée. Il compte retourner en France. Une correspondance particulière de Caire ap porte au Giroale romano la nouvelle suivante Ibrahim-Pacha ayant appris, par le consul de Rome au Caire, que S. Em. le Cardinal Altiari désirait avoir quelques blocs d'albâtre pour l'érec tion d'un monument et pour d'autres travaux b execuler dans la basilique de Saint-Pierre, s'est empressé de donner les ordres nécessaires pour que ces blocs fussent extraits de la carrière b Be- nesuef et immédiatement dirigés sur Rome. C'est un hommage qu'il adresse au Saint-Père, dont il est grand admirateur. Le Saint-Siège pourra se glorifier d'avoir enrichi les deux insignes basiliques de Sainte-Pierre et de Saint-Paul des présents de deux des souverains musulmans les plus éclairés que l'Égypte ait eus depuis les Ptolémée, b savoir Mehemel-Ali et Ibrahim. Chamylayant fait dans les premiers jours du mois de septembre invasion dans le cercle militaire du Samour, et le colonel Roth n'ayant pu l'arrêter avec l'aide de la milice indigène, le corps que commandait ce dernier se réfugia dans le fort d'Akty. Chamyl alla aussitôt l'assiéger. Après plusieurs attaques acharnées, ses Murides étaient sur le point de s'en rendre maîtres, lorsque le prince Dolgoroukiinformé de ce qui se passait, vola au secours des assiégée. Après avoir surmonté les plusgrands obstacles,il parvint, le 22 septembre, au pied de la montagne où Schamyl s'était fortifié dès qu'il avait été instruit de l'arrivée de renforts russes. Assailli dans cette position formidable, Schamyl opposa une vigoureuse résistance, mais, a la fin, il dut céder. Il se retira en désordre, laissant sur le champ de bataille 5oo morts, 70 prisonniers et 3 élendarts. Daos leur fuite, les Murides perdirenten outre, i4i des leurs. Un de ces ouragans, qui, vers la fin de la mousson d'été, causent souvent de si grands désas tres dans les mers de la Chineun typhon a éclaté dans la nuit du 3 1 août sur les côtes de la province de Canton. C'est un des plus redoutables qu'on ait jamais vus, et les sinistres qui en sont résultés sont épouvantables. Plus de vingt navires européens se sont perdus, et le nombre des bateaux chinois détruis jusque dans les ports de Hong-Kong de Macao et de la Typa est effrayant. Le chiffre des victimes n'est pas connu, mais il doit être immense. Le baromètre, qui, comme on le sait, se tient or dinairement b la hauteur moyenne de 760 milli mètres est descendu b 721 millimètres au plus fort de l'ouragan. Jamais peut-être il n'est des cendu si bas. Ben Notaris SOENEN residerende te Huogh- lede, zal, ten overslaen van den bevoegden heer Frederegler, op Woensdag 29" No- vember i848 ter herberg Sleyhaeghe te Hoogh- lede, zuyd-west der kerklangslden Yperschen sleenweg, bewoônd duôr Frederyck Bomrne- laereom 3 uren des namiddags voôrlsvaren tolde DEFINITIVE TOEWYZING van de vol- gende Goederen 1° Eene schoone wel betimmerde HOF- STEDEgenaemt den Bonten Hert, ter groutte van hect" 17-51-10 centgelegen te Hooghlede, zuyd-west der kerk palende aen de /ancien van MM. den baron Dons De Lwencleghem, Boutens en Fan Dewalle te Moùrs/ededen Yperschen sleenweg en Pieter-Joseph (Fillaert gebruykt doôr Jacobus De Ceuninck mede- verkooper, le fr. i,o85-i6 c. boven de las ten per jare, met recht van pagt lot Bavo 1849. 2° Noord-oosl aen de voôrgaende, een fraey en wel bebouwcl HOFSTE DE KEN, groot hecta 5-g6-4o centpàlende aen de lariden van MM. De Brouckere te Roussetaere, Bou- tens en Fan Dewalle te Moorslede. M. Demey en de Ceuninckx-hoeck straet; gebruykt duor

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Le Propagateur (1818-1871) | 1848 | | pagina 3