46 KOOPEN BOOMEN La Minerve, a GROOTE KOOPDAEGEN TE PACHTEN EEN HERBERG MSk&ikmm BES rEEXÙ ÉTATS UNIS. CAFRERIE. iiaa^aqaa. BY DE I1ERBEBGE DEN ZOBGVLIET. 197 KOOPEN Extra schoone en zwaere groote El KEN, IE PENABEELEN, ESSCIIEN, POPE- L1EREN EN WILGEN BOOMEN. HET KLEYN SATDHUYS, OP DE GROOTE MARKT TE YPEREN. Chirurgien-Oculiste. ÉTAT CIVIL D'YPRES, l'assassinai, l'ont accueilli par leurs sympathies et l'ont exploite'. Je ne nomme pas Mamiani, parce qu'il est en ce moment, Hit-on, mourant Gênes. Dès le matin, des affiches placarde'es dans les rues invitent le peuple romain se réunir dix heures la place du Peuple les carabiniers et le reste de l'armée étaient particulièrement iovilés a se joindre a leurs frères. n Dix heures du matin. Le peuple se réunit dentemeut; il y avait de l'hésitation. Pendant ce temps-l'a, les membres les plus influents et les plus honnêtes des deux Chambres, les chefs des légions de la garde civique, les offi ciers supérieurs de l'armée, convoqués par le Saint- Père, se réunissaient auprès de lui au Quirinal. Le Pape les assure de ses bonnes intentions de choisir un ministère conforme leurs désirs; il leur fait part des refus qu'il a éprouvés, il leur demande de proléger quelque temps encore la tranquillité pour qu'il puisse former une combinaison. Les réponses embarrassées qui lui furent faites durent lui laisser peu d'espérances, et néanmoins il résolut d'aller jusqu'au bout. Onze heures et demie. Les insurgés avaient fait battre le rappel, exciter domicile l'ardeur des retardataires, ils avaient fini par réunir la place du Peuple une foule considérable, gardes civiques, soldats, officiers, peuple. Ce rassemblement se met en marche pour le Quirinal portant des étendards sur lesquels sont les noms des ministres qu'ils veulent imposer au Saint- Père Sterbini, Mamiani, l'abbé Rosmini, etc. Le Pape, après avoir fermement refusé deux fois d'accepter les conditions qu'on voulait lui imposer et de céder devant la force, a dû faire fermer les portes de son palais en présence des menaces dont il était l'objet. Les insurgés ont alors voulu y mettre le feu, mais les 80 Suisses de la garde du Pape et quelques gardes nobles les ont repoussés, alors ils ont des cendu dans la ville appelant le peuple aux armes. Toute la garde civique, toute sans exception Tons les carabiniers Tout le reste de la troupe, se sont joints eux ils ont investi le palais, où il n'y avait toujours que les 80 Suisses et quelques gardes nobles, ont braqué un canon contre la porte principale, et ils ont donné une heure au Saint-Père il fallait céder ou faire massacrerses fidèles serviteurs et les Suisses, résolus mourir plutôt que d'abandonner le Pape Pie IX suivant en cela, du reste, les conseils du corps diplomatique réuni autour de sa personne, a laissé publier la liste et les conditions que vous trouverez dans tous les jonrnaux de Rome. 17 novembre. La tranquillité matérielle est en ce moment rétablie, mais il paraît que déjà le cercle populaire a créé un ministère plus avancé que celui d'hier, et fait de nouvelles menaces. Le Pape est au moment de quitter Rome. Le fils de M. Rossi, qui se trouvait dans la foule au pied de l'escalier de la Chancellerie, a été également en butte aux coups des assassins. Au moment où il s'élançait sur le corps de son père et le pressait dans ses bras, on a voulu le frapper. Heureusement il a pu être arraché aux meurtriers, et on lui a ménagé les moyens de fuir. Après avoir reçu le coup mortel, M. Rossi fit comme si rien ne lui était arrivé il prit son mou choir de poche, l'appliqua sur la blessure, et dit au Ministre des finances qui l'accompagnait: Ce n'est rien. Mais peine avait-il encore fait quel ques pas qu'il tombe sans connaissance. Les soldats de la police, qui se trouvaient dans le voisinage, se retirèrent. Un de nos amis, un Romain dit l'Ami de la Religion, nous écrivait au mois de juillet der nier, au sortir d'une longue et paternelle audience que lui avait accordée N. S. P. le Pape Le Souverain-Pontife m'a dit Il y aura bientôt des jours si affreux qu'il faudra tenir toutes ses fenêtres fermées pour échapper la mort. Mais, a-t-il ajouté, ces jours seront de courte durée. La mort de Mgr. Palma, tué la fenêtre du Quirinal, nous a rappelé ces paroles,et nousavons la confiance que ce présage, en quelque sorte pro phétique, se réalisera tout entier. L'Alba publie des nouvelles de Rome du 20 novembre. Suivant ce journal, rien ne s'était passé de nouveau dans cette capitale; la tranquillité matérielle a succédé la commotion générale; le programme du nouveau ministère n'a plu per sonne. Le correspondant de YAlba dit qu'on man que Rome d'hommes vraiment libéraux, énergi ques et capables il craint une nouvelle révolution. On écrit de Bologne, en date du 18, que le général Zucchi, récemment appelé au ministère de la guerre par Pie IX, venait d'échapper miraculeu sement au poignard de trois misérables qui l'ont assailli la sortie de son hôtel. Le général Zucchi s'était rendu Bologne pour surveiller de près les menées révolutionnaires auxquelles donnait lieu la présence de Mazzini et du père Gavazzi, qu'il avait dû faire mettre en sûreté. L'élection du général Taylor est confirmée. Il a réuni 173 suffrages. La majorité absolue n'était que de i46. Les nouvelles du cap de Bonne-Espérance vont jusqu'au 28 octobre. Elles confirment le fait de la complète soumission des Boers. Le gouverneur général sir Harry Smith a déclaré annexé aux pos sessions britanniques le territoire sur lequel l'in surrection avait éclaté. Il a offert 1,000 liv. st. pour l'arrestation de Pretorius, le chef de l'insurrection. ^E[îM©©[M© TE DICKEBUSCH, MAENDAG 18" DECEMBER 1848ten 1 uren naraiddag just, in degarzingen der hofsteden gebruikt door sieur Huyghebaert en de weduwe Cannaert, gelegen achter de herberge den Zorg- vliet in Dickebusch,zal'er Venditie gehouden wor- den van 46 koopen Iepen, Esschen, Abeelen, "Wilgen, Karden, Notelaeren en Appel- boomen dienstig voor Tiuimerlieden Wagen- makers, Klompkappers en ander werken en een deel voor brandhout. Deze Verkoopinge zal gebeuren met gewoonen tyd van betaling mits door de koopers goede en welbekende medekoopers te stellen en aen de con- ditien te voldoen. (1) Elle zegg hel voorts. van »h:ow— i® Te Poperinghe in den I.yssenthoek by d'herberg den Cromraenboom, ter Hofstede ge- bruykt door Martinus Verdonckwelke zal plaets hebben den Maendag 4e" December i848 ten 11 ueren voor middag precies bestaende in n4 koopen. 2° Dynsdag 5'n December i848 00k te beginnen ten 11 ueren s'morgens, ten voor- schreven Hofstede en der gonne gebruykt door Pieter Denys bestaende in 83 koopen. Deze Verkoopingen zullen geschieden met tyd van betaling mits stellende borg en betaelende den tienden penning en verdere bespreken in handen van den Notaris GHELEIN, te Poperinghe resideerende. (7) Elk segge liet voorts. GENAEMD M. IIENRI VAN LERRERGHE, On peut le consulter tous les Samedis Ypres, hôtel de la Tète d'Or rue de Lille, les autres jours Courtrai place de la Station du Che min de Fer N° 2. Les pauvres sur la simple exhibition d'un certificat signé par un des mem bres du bureau de bienfaisance de la commune qu'ils habitent sont traités gratis. (95) Établissement d'Assurances mutuelles sur la vie, autorisé par le gouvernement français, est celui qui, en 1847, a recueilli le plus de souscriptions (t4,324 contrats) et qui eu a réuni le plus en Belgique, où il compte 3,000 familles assurées. M. le comte DU CHERRAYdirecteur spé cial de la Minerve, voulant organiser par lui- même une direction centrale en Belgique et en Hollande, étant venu cet eftet s'installer d'abord Bruxelles, demande des inspecteurs connais sant la partie, des directeurs et des agents pour les deux royaumes. Ceux déjà porteurs d'une commission de lui ou de ses inspecteurs, devront les faire renouveler et s'entendre avec lui sur la marche la plus convenable suivre pour arriver une organisation complète. MM. les souscripteurs pourront également s'a dresser lui pour tous renseignements désirables. Tous les jours de 9 2 heures, ou par lettre affranchie, rue des Petits Carmes, 11, Bruxelles. l>u tO Novembre au Décembre inclus. NAISSANCES. 7 Du sexe masculin, r„ o rx c lotal- lo. o Du sexe féminin Un mort-né du sexe masculin. MARIAGES. IDehollander, Ignace-François, âgé de 25 ans, serrurier, et Smais, Narcisse-Caroline, âgée de 28 ans, dentelliere. DÉCÈS. 1. Vanthomme, Emmanuel-Louis, âgé de l\i ans, boulanger, époux de Caroline-Cécile Baelde, rue de Lille. 2. Roussel, Marie-Sophie, âgée de 17 ans, dentellière, rue de Kauwekind. 3. Deuaghel, Bernard, âgé de 68 ans, journalier, veuf de Fran çoise Du Bois, rue de Menin. 4. Vandamme, Rosalie-Françoise, âgée de 48 ans, dentellière, épouse de Charles-Joseph Segher, rue de Menin. 5. De Meester, François, âgé de 4^ ans, journalier, domicilié Roulers, rue de Lille. 6. Engclaere, Amélie-Françoiseâgée de 57 ans, dentellière, épouse de François Yerhaest, Place de la Prison militaire. 7. Leupe, Eugénie, âgée de 6t ans, journalier, veuve de Fran çois Yaudaele, lue de Meuiu. 8. François, onstance-Joéphine, âgée de 81 ans, dentellière, rue de l'Hôpital Sl-Jean. ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS. Masculin Féminin. a Tolal- NtlIi'HE D TPHRi. Du t Décembre. MATURE DES GRAINS, LÉGUMES, VIANDES ET PAIN. s e. -« g sH 5 Prix MOYEN. PA( Kilog. FR c. F H. G. Froment, par hectolitre 43q l6 00 1 n Seigle, par idem Feves, par idem. 39 IO 60 56 9 3o Avoine, par idem Pommes de terre, par idem. 22 6 .8 9 5 67 1) Id. blanche 25 5 5o a Beurre frais, le hiloq, 39 -saler, par idem. 11 1 10 n I 00 I 10 1 10 11 I 10 Pain, par idem *9 Ypres, Imprimerie-Librairie de Désiré Lambin-Mortier* éditeur-propriétaire, rue de Lille, io, près la Grand Place.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1848 | | pagina 4