UN BEL APPARTEMENT MMBCnSa VENTE TE PACHTEN EEN HERBERG SCHOONK HI3IZFN, EN HOVENIERHOVEN, PRUSSE. SAXE. Dresde, 8 mai. DANEMARCK. PORTUGAL. AUTRICHE. TOSCANE. ETATS ROMAINS. par ^(yT@fô[ITÉ[0)i<J)(y)8YI)©!Eo w(Signé) L37P5. A L O îTE R 2bfc une (Entrer particulière SUR LA GRANDE PLACE A YPRES, genaehd HET KLEYN STADHUVS, OP DE GROOTE MARKT TE YPEREN. MET MEDEGAENDE GRONDEN gestaen en gelegen TE SIST-JASS, NEVENS YPEREN, 1" Koop. Steel op 2,325 franken. 2" Koop. profil. Fi de vous, race de chiens meurtriers de la liberté A votre sortie, vous recevrez pour récom pense une volée de coups de bâtons! Fi Tels sont les cris qui ont retenti hier dans la tribune de l'église Si-Paul, où siégeaient les représentants des associations de Mars. De celte meine tribune on a craché sur les membres de la droite Aujourd'hui encore les tribunes et les galeries ont rendu toute séance impossible. L'urgence d'une interpellation au ministère n'ayant pas réuni la majorité suffisante, on s'est mis crier de toutes parts aux représentants Levez-vous levez-vous! Et comme ils ont eu le courage de ne pas obéir h ces sommations populaires, un tel tumulte a éclaté dans la salle qu'il a été impossible de rétablir l'ordre et qu'il a fallu ajourner la séance h midi. On a commencé par des crachats on finira par des coups de,fusil Nous marchons vers une sanglante catastrophe: la gauche veut expulser violemment les centres de l'Assemblée nationale, et tous les jours elle les fait terroriser par les galeries. Si elle réussit dans ce dessein, elle fondera, appuyée sur ses cent-cin quante voix, le règne de la terreur, et c'est ce qui devient de jour en jour plus probable. M. deGagern a eu la nuit passée 8 Autrichiens a son domicile. Il devait, dit-on, être assassiné. Si les démocrates engagent la lutte, elle sera terrible. Les soldats leur ont juré une haine a mort. Ils se sont donné le mot pour ne faire grâce a aucun d'eux. Francfort, le 1* mal. L'Assemblée nationale décide i° La grave infraction la paix de l'empire, dont le gouvernement prussien s'est rendu coupable par son intervention arbitraire dans le royaume de Saxe, sera réprimée par tous les moyens disponibles; a -2° En maintenant la tranquillité et l'ordre publics, on protégera contre toute répression vio lente les efforts du peuple et de ses représentants pour mettre en pratique la Constitution de l'empire définitivement adoptée. Le pouvoir central provisoire sera smnmé de mettre h exécution les décisions ci-dessus. Cette proposition a été adoptée au moyen de l'appel nominal par 188 voix contre 147. L'Assemblée nomme une députation de 12 mem bres chargée de notifier ces décisions au Vicaire de l'empire, en l'invitant a former le plus tôt possible un ministère décidé h mettre h exécution les résolutions de l'Assemblée nationale. L'Assem blée, en attendant la réponse de S. A. I., se dé clare en permanence. La ville de Dusseldorf vient d'être mise en état de siège. Les troupes sont néanmoius parvenues 'a dompter l'insurrection. Il n'en est pas de même d'Elberfeld, dont les insurgés sont maîtres. Les combattants prétendent qu'ils n'ont pas de tendances républicaines, qu'ils ne combattent que pour la cause allemande et sont prêts déposer les armes dès que le Roi aura reconnu la Constitu tion de l'empire. Quatre heures après-midi. Le combat con tinue avec acharnement et sans interruption. Les Prussiens ne font aucun quartier, et ils passent au fil del'épée tout individu pris les armes la main. Les dégâts dans la ville sont immenses. Quatre heures et demie. Le bruit est gé néralement répandu que Heintze, qui avait été fait prisonnier, a été condamné en vertu de la loi martiale et fusillé. Mais ce bruit a besoin de con firmation. Du 9 mai. Le feu a recommencé depuis cinq heures dans la vieille ville. Dresde est cernée militairement dans un rayon de deux milles. Si la ville ne s'est pas rendue d'ici 2 heures de l'après-midi, on emploiera l'artillerie de siège. Une dépêche télégraphique de Berlin annon ce que la ville de Dresde s'est rendue, discrétion, le 9 mai. Toutes les positions des insurgés avaient été enlevées la baïonnette. Le gouvernement provisoire est parti en emportant toutes les caisses. Les troupes impériales sont enfin entrées dans le Jutland. Un combat, qui a duré 7 heures, a eu lieu le 7 mai entre Wilsdrup et Gudsol. Les Danois ont été débusqués de toutes leurs positions, et se sont retirés derrière les remparts de Fridericia. Pendant ce temps-là, les Prussiens marchaient d'un autre côté contre Veil, qui s'est rendu après une faible résistance de la part des troupes danoises campées dans cette ville. On annonce la mort de la Reine Dona Maria. L'Empereur d'Autriche est parti pour la Hon grie. Une lettre de Florence, du 5 mai, publiée par le Journal des Débalsdit qu'un corps de 10,000 Autrichiens est entré sur le territoire toscan, du côté de Massa, se dirigeant par Pietra-Santa sur Lucques. Les Espagnols interviennent dans les Etats de l'Eglise, en même temps que les Français, les Autrichiens et les Napolitains. Les troupes de la Reine Isabelle ont débarqué Terracine. Une lettre de Terracine, datée du 29 avril et publiée parle Galignanis Messengercontient ce qui suit Ce matin,la pointe du jour, l'escadre espagnole a paru devant celte place en la sommant de se rendre, ce qui a été fait sans résistance. Le drapeau papal a été arboré au milieu des acclamations des habitants. Quelques heures après, le roi de Naples est entré dans la ville. Les troupes espagnoles ont remis les forts, avec les formalités ordinaires, aux forces napolitaines qui marchaient précédées du Roi. S. M. a ordonné que les marins et les artilleurs espagnols marchassent côté de lui, en avant de sa garde, dans le défilé de la colonne. La ville est tranquille et paraît très-joyeuse. Plusieurs prêtres, accusés d'être de conni vence avec les Français, ont été fusillés. Ferdinand II, voulant ajouter sa royale hospitalité un acte de dévoûment personnel envers Pie IX, s'est mis lui-même la tête d'une division de huit mille hommes qui sera suivie, au besoin d'un autre corps de dix mille. Celte petite armée est partout acceuillie bras ouverts et rétablit sans obstacle le drapean pontifical sur son passage. Le Roi a couché le 3o avril dans la ville de Velletri. Il s'est porté de là sur Albano et 4 lieues de Rome. Le paquebot-poste \e-Lycurgue, en passant a la hauteur de cette ville, qui se trouve 5 lieues du rivage, a entendu une très-forte canonnade. En effet, l'approche du Roi, Garibaldi avait quitté Rome avec sa colonne pour marcher la rencontre de la division royale. Il faut espérer qu'il a été vigoureusement reçu. Grâce aux derniers renforts arrivés de Toulon et de Marseille, le général Oudinot dispose au jourd'hui de seize dix-sept mille hommes et le surcroît d'artillerie qu'il vient de recevoir doit être d'un puissant effet dans la guerre de rues qu'il faudra recommencer. On fait savoir que le VENDREDI 18 MAI 1849b 10 heures du matin, commune de Dra- noutre, en la maison occupée par FidélieLouis et Basile Caestecker, boutiquiers et cabaretiers au dit lieu, on procédera la Vente de MEU BLES et EFFETS saisis, consistant en Us tensiles de Ménage, Marchandises, tels que Tabac en feuilles, coupé et en poudre, Sucre, Chicorée, etc., etc. Celte Vente se fera sur le lieu, en vertu de l'autorisation du Tribunal de 1" instance d'Ypres, au plus offrant, dernier enchérisseur et au comp tant Cet Appartement se compose d'un Salon au pre mier, plusieurs Chambres Coucher, Cuisine, Cour et Écurie. S'adresser au Bureau du Journal. (5) VAN Op ZATERDAG 26 MEI t84g, len 4 uren namiddag, tôt net zelve Sint-Jans, nevens Yperen, in de herberg den Hert, bewoond door sieur Petrus Degryse. Een grooten schoon HUIS, zynde eene van ouds welgekalante BROODBAKKERIEen Wynkel 00k knnneude dienen voor aile andere neringen, met Schure, Koeye- en andere Slallingen toedies 4 aren 58 centiaren Laud, waer op ailes is staende en medegaende, te Sint-Jans, nevens Yperen, gehugte bel Wielken, al den noord kant langs de kalsyde van Yperen naer Brugge, palende west en noord Petrus Degryse, gebruikt door Joannes Pylyser tôt 1" October i84g, Oost aen, en al den noordkant langs gemelde kalsyde, een ander HUIS met 3 aren Land waer op het zelfde is staende palende noord gezeiden Degryse en oost den behnisden grond van Francis Boudry, bewoond en gebruikt door CharlesLouis Fan Costenoble en andere tôt 1®" October i85o, Staet op 525 franken. De veil voorwaerden en titels berusten len kan- tore van den Notaris DELA VIE, te Langemarck, ter plaets van Poel-Cappelle verblyvende. i elk zegge h et voorts.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1849 | | pagina 3